Cette action répétée de façon frénétique provoque à tout le moins de l’exaspération chez qui a gardé deux sous de réflexion.
Par Gilbert Malaval
Le matraquage du mensonge, appelé aussi propagande…
Cette action répétée de façon frénétique provoque à tout le moins de l’exaspération chez qui a gardé deux sous de réflexion.
Cependant cette même exaspération peut produire des effets différents quasi antinomiques qui démontrent à quel point la chose est pernicieuse.
Ainsi, pourrions-nous affirmer qu’il y a le camps des exaspérés qui rentrent en révolte aux limites de l’insurrection pour survivre, et celui de ceux qui ne veulent plus rien entendre et ferment les écoutilles pour ne pas sombrer, submergés.
Et c’est à partir de ce moment là, précisément que les auteurs de la propagande ont gagné dès lors qu’ils ont divisé l’opinion en deux, dont la moitié ou presque sera neutralisée.
Oui, nos gouvernants du moment, corrompus et vicieux n’en attendent pas moins que de pouvoir continuer à avancer en divisant l’opinion.
Évidemment, il y a pire qui est représenté par les LR dans le PPF (paysage politique français) qui pourrait être aussi bien le PPD que je vous laisse imaginer, l’un dans l’autre, et toujours réversible.
Il n’en reste pas moins que cette propagande est un poison qui se distille lentement mais très sûrement qui paralyse certainement comme un soin palliatif qui permet de mourir sans regarder la mort arriver.
Et ne me dites pas que l’on ne peut rien faire, puisque qu’entre la propagande et la résistance, il est une même constante qui est le matraquage du verbe.
Car à défaut de pouvoir se défendre les armes à la main, prêcher la bonne parole et éveiller les esprits, peut-être aussi redoutable que l’intoxication propagandiste.
« Qu’on » se le dise, et que ceux qui ne veulent pas le rester, réagissent en affrontant la dure réalité, les yeux et les ouïes grand ouverts, en s’exprimant sans peur à gorges déployées.
N’oubliez pas que la médisance de nos tortionnaires s’assoit sur la répétition dont il se vantent justement que c’est à force de le faire, qu’il finit par en rester quelques choses!
Gilbert Malaval
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