Pourquoi des apprentis-sorciers s’exercent-ils à jouer avec de pareils dangers potentiels, les transporter et les bricoler, comme on allumerait une allumette dans une fuite de gaz ?
Par Daniel Desurvire
Le Covid-19 est un Frankenvirus à n’en pas douter
Première partie
La pauvreté dans le monde, liée à une surpopulation planétaire qui enfle à raison d’un milliard d’humain désormais tous les 12 à 10 ans, fait l’objet depuis quelques années d’études démographiques et scientifiques discrètes par les sphères influentes d’Ouest et Est, pour contrôler simultanément les risques écologiques et les conséquences géopolitiques majeures de l’immigration de masse depuis les PMA et le quart monde. Ces intrigues qui se montent entre des multimilliardaires, des ONG tels Melinda & Bill Gates Foundation (membre éminent du Forum de Davos*), et des chefs d’État de tout bord (dont Emmanuel Macron) issus de nombreuses régions du monde que l’on retrouve au cœur de la secte World Economic Forum*, ne laisse jamais poindre les intentions ténébreuses déjà mises en œuvre autour de cette démographie surnuméraire, que le contrôle des naissances, sous l’action discutable et embryonnaire des plannings familiaux, ne parvient pas à contrôler.
Or, les vaccins-Covid à vecteur génique aussi délétères dans le temps que la Covid-19, sont ensemble le produit d’un vaste marché souterrain, où les laboratoires biochimiques de recherche sécurisés, de concert avec le Big Pharma, fabriquent ensemble des frankenvirus et leurs antidotes prophylactiques, mais parfois aussi dangereux que le virion ou la bactérie censé être combattu.
Il s’agit de patchworks de souches virales dont on retrouve des allèles issues de différentes pandémies et de gènes du VIH notamment, lesquels semblent indiquer une réponse pour réguler le rythme des naissances sur la planète, et introduire un mondialisme intercontinental, sous le paradigme d’un ordre nouveau introduit par le WEF* ; un échevinage idéologique capitaliste et collectiviste entre des puissances politiques, industrielles et financières.
Le SARS-CoV-2 est un virus conçu entre différents laboratoires de recherche à la croisée des chemins entre les États-Unis et l’Espagne notamment, dont les pistes convergent vers l’Institut de virologie chinois « IVW » (laboratoires « P3 » et « P4 » à Wuhan). Puis l’apparition spontanée de vaccins ad hoc ne saurait être le fait d’une simple coïncidence, ni d’une promptitude devant un risque majeur fomenté, dès lors que cette opportunité aura permis une expérimentation bâclée, quasi simultanément à l’apparition du virus Covid-19, à l’échelle mondiale de vaccins à vecteur génique, dont la formule passa entre les mailles de tous les principes de précaution exigés lors de la mise sur le marché (AMM) d’un médicament exploratoire. Or Pfizer, choisi par Ursula von der Leyen pour l’Union européenne à raison de 80 % des commandes, est un laboratoire véreux qui fut épinglé à de nombreuses reprises pour des faits de corruption et de pratiques prohibées, principalement par la justice américaine en 2002, condamné à payer une amende de 2,3 Mds de US $.
Faut-il rappeler l’étrange lien pathogénique du dérèglement du système immunitaire humain entre le VIH et le SARS-CoV-2 (Voir p. 63/64, « L’idéologie néfaste du Président Macron », éd. L’Observatoire du Mensonge) puis encore de l’étrange coïncidence des fuites de virus conçus en laboratoire avec l’apparition suspecte, car spontanée, de remèdes vaccinaux prétendument prophylactiques (même ouvrage, p. 74/75) ? Combien de virus manipulés par l’homme sont-ils congelés dans les laboratoire « P4 », dans l’attente de quoi et pour qui ; comme celui reconstitué depuis un cadavre exhumé où fut secrètement prélevée une souche de la grippe espagnole (A H1N1), laquelle rappelons-le, tua entre 20 à 50 millions d’êtres humains entre 1918 à 1919 sur la planète ?
Pourquoi des apprentis-sorciers s’exercent-ils à jouer avec de pareils dangers potentiels, les transporter et les bricoler, comme on allumerait une allumette dans une fuite de gaz ? Doit-on accepter que des chimio-microbiologistes en recherche fondamentale soient autorisés à jouer avec la dangerosité de micro-organismes en éprouvette, comme avec le gène viral « 5 » associé au MERS-CoV, dans le centre national de biotechnologie de Madrid, même si prétendument il fut détruit, car rien ne l’atteste ? Alors pourquoi l’avoir bricolé en laboratoire pour se constituer un frankenvirus hautement génocidaire, sûrement à l’aide de financements occultes qui ont permis de telles manipulations, lesquelles s’avèreront ultérieurement productives de profits démoniaques ?
En prétendant vouloir jouer un coup d’avance sur l’évolution hypothétique de bactéries supposées mortelles et vectrices de pandémies, en les manipulant pour les rendre toujours plus dangereuses afin d’en mesurer la nocuité, n’est-ce pas jouer avec le feu ? Autrement dit, prendre de tels risques prétendument au nom de la science, pour fabriquer des vaccins et médicaments ; n’est-ce aussi risquer d’en transmettre les codes séquentiels aux laboratoires pharmaceutiques qui les transformeront en millions de dollars pour fabriquer des vaccins soi-disant préventifs, sinon à destination de forces armées terroristes, via des trafiquants, dans le but de déclencher un conflit bactériologique ? En arguant que les antibiotiques font évoluer la résistance des virus, des bacilles ou spores, devrions-nous préférer acheter les inhibiteurs d’infection en pharmacie, plutôt que chez le boucher qui propose de la viande bourrée d’hormones et d’antibiotiques aux éleveurs de bétail, précisément fabriqués et fournis par ces mêmes labos ?
Bien des d’expériences laborantines sur des micro-organismes dangereux sont initialement mis en éprouvette depuis des laboratoires « P2 » et « P3 », donc en-dessous des normes de sécurité qu’offrent la classe « P4 ». Des échantillons de virus sont même souvent baladés par envois postaux, avec tous les risques de perte ou de détournements que de tels expéditions comportent en chemin, par air, par route ou par rail. Tel fut le cas avec une souche matrice de la Covid, dont nous apprécierons plus bas l’étrange cheminement de cette progéniture issue de travaux réalisés en sécurité précaire, voire très insuffisants entre la Chine, les États-Unis, l’Espagne et autres sites expérimentaux rattachés à l’Institut Pasteur. Au final, ces virus congelés sont revenus à leur point de départ à Wuhan qui en laissa vraisemblablement échapper le virion, soit depuis un animal ou par un laborantin ou autre personnel d’entretien contaminé par zoonose… sinon volontairement avec la corruption au bout !
Certaines séquences génétiques, depuis le réservoir de coronavirus prélevés sur des chauves-souris dans les massifs karstiques en Chine, aboutir mystérieusement entre 2010 et 2015 à l’Université de Caroline du Nord. Une chimère, produit de bricolages génétiques, coupla la protéine Spike du virion RsSHC014 au squelette d’un SRAS modifié. Puis en 2017, huit autres chimères de ce virus cultivés in vitro sont venus rejoindre en RDC la mystérieuse matrice de cette duplication susmentionnée ; autant de clones synthétiques disposant d’un tropisme susceptible d’infecter les cellules humaines.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
♣ ♣ ♣
Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
♣ ♣ ♣
Vous pouvez acheter le livre ou le lire en format Kindle en cliquant sur l’image ci-dessous

✽ ✽ ✽ ✽ ✽ ✽ ✽
Article(s) à lire :
La plus terrifiante affaire judiciaire de l’UE porte désormais un nom : Ursula von der Leyen
SCOOP !!!
Par Daniel Desurvire
Suite et fin
La plus terrifiante affaire judiciaire de l’UE porte désormais un nom : Ursula von der Leyen
SCOOP !!!
Par Daniel Desurvire
Le dernier livre de Daniel Desurvire vient de paraître : c’est du jamais lu !!!

Vous pouvez acquérir le livre de Daniel Desurvire en cliquant sur l’image :

(existe aussi en format liseuse)

(existe aussi en format liseuse)
Retrouvez les livres de Daniel Desurvire en cliquant ICI
SCOOP EXCLUSIF
Futur passeport carbone de l’État-Macron
♦ ♦ ♦ ♦ ♦
Abonnez-vous gratuitement à notre chaîne en cliquant ICI
Un site comme le notre ne peut pas survivre sans votre aide !
Vous pouvez nous aider de diverses façons :
- nous suivre gratuitement, lien disponible sur chaque article,
- partager nos articles au maximum,
- commenter,
- acheter des livres que nous publions, c’est ICI
Ou
Ou :
Ou choisir le montant qu’il vous plait :


















Répondre à Margueritte Annuler la réponse.