Le mondialisme ou comment mourir à petit feu


On sait depuis longtemps que nos gouvernants ne sont plus en capacité de prendre des décisions autonomes. Parce que l’État a perdu sa souveraineté et que cette dernière a été remplacée par une « souveraineté européenne« , selon l’expression chère à Macron.



On sait depuis longtemps que nos gouvernants ne sont plus en capacité de prendre des décisions autonomes. Parce que l’État a perdu sa souveraineté et que cette dernière a été remplacée par une « souveraineté européenne« , selon l’expression chère à Macron. D’autant que par-dessus ce néologisme, c’est un mondialisme sournois qui nous impose ses diktats : implantation d’entreprises multinationales, au détriment des entreprises locales, favorisant ainsi des inégalités économiques territoriales, et un multiculturalisme imbécile avec le fameux slogan, très vite périmé, « vivre ensemble« , qui détruit les traditions culturelles locales en organisant le nivellement par le bas de tous les citoyens. Qui sont manipulés par la peur du changement climatique, les mensonges politiques et les impostures d’un art conceptuel ou de cancel culture (En français : culture de l’effacement) qui n’a plus rien à dire. Et qui n’apporte rien. Le mondialisme nous fabrique un monde de pauvres idiots. Quelquefois utiles, souvent inutiles !

En exagérant les conséquences d’un possible dérèglement climatique, le mondialisme encourage la peur, la sidération et l’impuissance. Résultat : la relégation et la division des individus. Qui les oblige à se regrouper en clan d’opinion où, envers les uns des autres, la liberté d’expression et les débats d’idées n’ont plus leur place. Les tribus ancestrales primitives sont de retour ! Avec le lot de conflits qui va avec. L’unité culturelle et économique du pays n’existe plus. Comment après ça, peut-on intégrer des personnes venues d’ailleurs ? S’il n’y avait que ce problème ! La tartuferie s’installe partout et pour toute chose. L’école fait semblant d’enseigner, les administrations n’administrent plus rien, nos politiques brassent du vent et les citoyens ne sont plus que des zombies consuméristes insatiables qui veulent le beurre, l’argent du beurre et le cul de la crémière. Que des droits et jamais de devoirs ! Une totale inversion des valeurs !


Autre amplificateur de la mondialisation : l’art moderne. Surtout, depuis qu’un urinoir (« œuvre » de Marcel Duchamp, 1917) peut être exposé comme une vraie sculpture. Par la suite, le canular est devenu la norme, en poussant le bouchon le loin possible : c’est à qui sortira l’esbroufe la plus sensationnelle. Où la beauté n’aura plus sa place et où plus rien n’aura d’importance ! Même pas le talent ! Seuls comptent les gros sous que cela peut générer pour les petits malins qui font du business sur le dos des ahuris fortunés « progressistes » qui ne savent pas quoi faire de leurs magots ou pour des institutions véreuses en quête de buzz. Évidemment, le petit monde des « artistes » suit le mouvement en innovant toujours plus de niaiseries qui encombrent les musées et les galeries d’art contemporain. Mais aussi les musées d’histoire, qui se croient obligés d’exposer des horreurs dites conceptuelles, comme « le vagin de la reine« , un énorme truc en ferraille rouillée, exposé en 2015, dans le parc de Versailles. Dessiné par Le Nôtre ! Et ailleurs, c’est dans l’espace public que la FIAC (Foire internationale d’art contemporain) avait installé, en 2014, sur la place Vendôme, en la défigurant et en insultant Paris, un plug anal (jouet sexuel) géant de 24 m de haut, ou encore, en 2019, la mairie de Paris qui exposa, porte de Clignancourt, un gros machin, pavé de 3 800 carreaux de faïence, perché sur un mât, à 9 mètres de hauteur. Pour ce bidule, appelé « Cœur de Paris« , la mairie d’Anne Hidalgo avait déboursé… 650 000 € ! Avec les impôts des Parisiens ! 

L’impact de toutes ces inepties, provocantes et sans consistance, bouscule notre société et met à mal son unité. Une unité qui n’a rien à voir avec l’uniformité imposée par le mondialisme et son alter ego, la culture wok ; deux concepts idéologiques qui sont des insultes à l’intelligence ! Le mondialisme, par opportunité et pour gagner quatre sous de plus, peut aussi s’acoquiner avec une autre idéologie : l’islamisme, sa réplique inversée. Cela fait que désormais, ce sont trois dogmatismes – le mondialisme, le wokisme et l’islamisme – qui nous pourrissent la vie. Et que les patriotes de tous bords, pour leur survie, doivent combattre en faisant preuve d’une ténacité sans faille. Pour reconquérir une véritable éthique de vie et le bon sens des rapports humains ! 

Claude Picard


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Quand l’Occident se meurt

La « désoccidentalisation » de notre monde se fait vers un monde qui sera barbare et invivable.

Par Henri de Gramond

https://observatoiredumensonge.com/2023/09/18/quand-loccident-se-meurt/


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23 réponses à « Le mondialisme ou comment mourir à petit feu »

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  18. Avatar de Brigitte Van Peel
    Brigitte Van Peel

    Il est normal que le mondialisme veuille plus de migrants pour faire encore plus de profits…

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  19. Avatar de Henri Lamazère
    Henri Lamazère

    Deux citations qui confortent votre article :
    « Si la mondialisation néolibérale est un cadre indépassable, alors nous ne sommes déjà plus en démocratie, puisque, quels que soient ceux qui seront élus, ils ne pourront mener que des politiques identiques à des nuances près. » « Les peuples n’ont pas élu leurs gouvernements pour que ceux-ci les « offrent » au marché.

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    1. Avatar de Vincent Carlier
      Vincent Carlier

      Et celle-ci très pertinente de Grangé :

       » On vit à l’heure du consensus mou et du politiquement correct. Personne ne croit plus en rien sauf aux causes qui coûtent pas un rond : l’écologie, l’altermondialisme… « 

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