L’EUROPE UNE FATALE ILLUSION


Ce qui aurait dû être un succès s’est vite transformé en un retentissant échec

Par Le Citoyen Lambda

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L’EUROPE UNE FATALE ILLUSION

Plongez dans l’illusion européenne avec un regard critique sur le désenchantement populaire et la confrontation brutale à la réalité, tout en explorant la nécessité impérieuse d’une refonte de l’Europe.

Dans une Europe éprouvée par les récentes crises sanitaire, économique et migratoire, le rêve d’intégration continentale semble plus que jamais battre de l’aile. Le malaise est palpable, nourri par un désenchantement grandissant des citoyens face à une institution jugée lointaine et impuissante. Cette situation soulève des interrogations cruciales sur son futur immédiat avec la confrontation entre l’illusion d’une unité européenne harmonieuse et les réalités discordantes des États membres.

L’illusion européenne

Le mirage de l’unification

L’europe, une vision née de la détermination à unir les peuples sous une bannière commune, s’est transformée en un essaim technocratique de nations déséquilibrées. Cette prétendue cohésion apparente cache adroitement des stratégies nationales divergentes et des tourmentes économiques continues. Astucieusement camouflées derrière le rideau de la coordination européenne, ces disparités majeures entre les États membres tendent à discréditer l’idée d’une Europe véritablement homogène.

La promesse non tenue d’une politique commune

Cette image trompeuse d’unité est encore amplifiée par l’échec flagrant de l’instauration d’une politique migratoire partagée. Si ce projet nous avait été présenté comme celui du partage équitable des responsabilités et missions relatives aux migrations, il est clair que chaque nation semble agir selon ses propres priorités. Ainsi, loin d’être uniforme, l’espace européen se révèle plus fragmenté que jamais face à ce défi crucial, alimentant ainsi le sentiment croissant que l’Europe tant espérée demeure malheureusement une chimère insaisissable.

Le désenchantement populaire

La désillusion vis-à-vis de l’Europe est un sentiment largement partagé parmi les résidents du vieux continent, comme le démontre une analyse effectuée par Le Monde en 2018. Cette amertume émane d’une suspicion croissante envers les autorités européennes, considérées comme inaptes à proposer des réponses adéquates aux défis contemporains. Non épargnée par cette apathie généralisée, la France observe son leader politique, Emmanuel Macron, adopter une attitude presque débile face à ce contexte. Plutôt que d’essayer de fédérer et rehausser l’image de l’Union pour faire face à ce raz-de-marée de scepticisme populaire, il semble se préparer pour la guerre, une guerre qui ne sera pas la nôtre. La situation actuelle souligne également une certaine dualité dans la relation que les citoyens entretiennent avec l’Union Européenne : ils s’y sentent liés tout en ressentant cet étrange sentiment d’éloignement et de dissociation. C’est là toute la complexité et le caractère paradoxal -pour ne pas dire schizophrène- qui définissent aujourd’hui notre lien avec l’Europe.

La confrontation à la réalité

La France face à l’Europe: répercussions et réalisme

Devant la confrontation avec la dure réalité européenne, la France est prise dans une tornade de contradictions. Face à l’incompréhension grandissante, il devient ardu de se soustraire aux retombées :

  • Une économie stagnante sous le fardeau des réglementations européennes.
  • L’affaiblissement du pouvoir politique national face aux injonctions de Bruxelles.
  • Tensions sociales croissantes dues à une immigration mal gérée.
  • Un sentiment de perte d’identité culturelle ressenti par les Français.
  • Frustration accrue face au sentiment d’impuissance pour inverser ces dynamiques.

L’opposition confrontée à ses illusions

Pour l’opposition également, c’est un violent choc avec le réalisme. La contradiction entre leur position traditionnellement pro-européenne et le mouvement anti-UE qui s’intensifie parmi leurs électeurs représente un défi colossal. Les partis doivent dès lors jongler entre défendre les idéaux européens tout en tenant compte du mécontentement grandissant.

La nécessité d’une autre Europe

L’envergure du défi auquel l’Europe est confrontée : l’ascension des mouvements écologistes, gauchistes et marxistes. Ces dynamiques centrifuges mettent en péril l’intégration européenne, une réalité qui illustre sans équivoque que le renouveau est indispensable. L’exigence d’une Europe différente se fait de plus en plus pressante, une Europe qui ne serait plus un mirage trompeur mais un projet politique réalisable, performant et démocratique.
Seule une Europe des Nations permettrait un tel renouveau.

La solution à ces problèmes pourrait résider dans une refonte approfondie des institutions dirigeantes du continent. Les politiques économiques inégales, les déficits démocratiques manifestes sont autant d’arguments qui militent pour une réorientation majeure de la situation actuelle. Cette rénovation devrait viser à repenser nos idées traditionnelles de souveraineté nationale dans le contexte d’un monde mondialisé où aucune nation ne peut subsister isolément.

En somme, ce qui est requis n’est pas moins qu’une métamorphose radicale de la manière dont fonctionne aujourd’hui l’Europe. Cela nécessitera un effort soutenu et suscitera incontestablement beaucoup d’oppositions. Mais si nous voulons empêcher notre continent de plonger dans le chaos et les perturbations engendrés par la gauche qui détruit la société par le Wokisme alors c’est une bataille que nous devrons livrer ensemble – non pas uniquement pour survivre, mais pour s’épanouir au-delà de cette fatalité trompeuse que nous appelons « Europe ».

Le Citoyen Lambda

 

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10 commentaires

  1.  » dans le contexte d’un monde mondialisé où aucune nation ne peut subsister isolément »

    Le dogme énoncé, il ne reste plus qu’à trouver les arguments pour justifier la promesse – toujours annoncée depuis 40 ans, jamais tenue puisque institutionnellement irréalisable – d’une « autre Europe ». Où avez-vous vu que les nations souveraines sont isolées ? Ce raccourci est un défi au bon sens, qui sert uniquement de justification à un parti pris idéologique qui ne repose sur rien. Près de 200 nations de part le monde ne sont membres d’aucune organisation politique commune, prenons l’exemple de la Suisse qui nous est proche ; cela les empêche-t-elles d’exister politiquement, d’échanger et de commercer avec le reste du monde via les traités internationaux ? Non, bien évidemment. Mais bien sûr, il faut taire cette réalité pour donner crédit au slogan de la propagande européiste : « seuls, nous ne pouvons rien faire face à la Chine, la Russie et les Etats-Unis ». Et ensemble, que faisons-nous ? Nous ne sommes mêmes pas capables d’éviter la guerre et d’y mettre fin sur notre continent ; en revanche, prendre parti pour une grande puissance, qui utilise l’UE et ses instances comme cheval de Troie pour la manipuler à son avantage, la France « non-isolée » ne trouve rien à y redire, bien au contraire et croit pouvoir jouer avec le feu nucléaire de manière totalement irresponsable. Il est grand temps de voir la réalité en face : l’UE est devenue un carcan bureaucratique qui nous conduit à une version occidentale de l’ex-URSS en comparaison de laquelle l’actuelle fédération de Russie passera pour un modèle de démocratie libérale … C’est dire l’ampleur du désastre !

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  2. L’Europe, telle qu’est est, est invivable pour les autochtones en danger. Cette Europe doit être repensée intégralement ou nous devons la quitter.

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  3. Nous sommes tellement dans le négationnisme que cette Europe est devenue pourrie et gangrenée par le progressisme et son clone le wokisme. Résultat des courses : l’islamisme triomphe ici en France avec les kapos de service, en Belgique, en Allemagne, en Espagne etc. Comme le peuple a été anesthésié depuis 1981, et qu’il n’est plus en mesure de se réveiller, il faut croire en un miracle pour retourner cette situation… Mais qui peut encore u croire ?

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  4. Avec l’Europe, on nous raconte n’importe quoi. Exemple avec le BREXIT anglais qui serait soi disant un échec… Qui dernièrement a été à Londres a pu constater que c’était plutôt un succès. Mais nos journalistes ne travaillent plus que dans les bureaux de leur chaîne à Paris.

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  5. L’Europe, c’est une succession d’échecs graves et qui a transformé les pays adhérents en terre d’accueil pour l’islam qui en profite pour envahir l’Europe. Et vous avez raison, il faut recréer une nouvelle Europe avec moins de centralisation des pouvoirs et rendre aux pays membres leur nationalité.

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