Idiosyncrasie : manière d’être particulière à chaque individu qui l’amène à avoir tel type de réaction, de comportement qui lui est propre.
Définition du Larousse
Par Daniel Desurvire

Nous publions régulièrement des livres pour réinformer face à la caste politico-médiatique hors de nos réalités quotidiennes.
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L’idiosyncrasie présidentielle
Article en quatre parties
SECONDE partie
Sommaire
1°) Ce qu’il s’écrit et se dit depuis l’international sur la santé mentale d’Emmanuel Macron
2°) La transsexualité à l’honneur par l’État-Macron facilitée par le langage woke et le courant LGBT
3°) Entre la pratique d’un droit mou (soft law) et les opportunités médicales, l’enfant mineur se trouve sexuellement broyé
4°) Et l’éthique dans tout ça ! Quid du devenir des enfants manipulés ?
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2°) La transsexualité à l’honneur par l’État-Macron facilitée par le langage woke et le courant LGBT
N’est-ce pas, pour ce régime abâtardi, une dérobade afin d’en simuler une variation des règles de vie, sinon à donner le change pour ne pas s’impliquer directement. En confiant l’orientation de ces mœurs à l’appréciation de médecins branchés LGBT+/ou et à la seule compétence de pédopsychiatres, mais aussi de chirurgiens au mobile vénal, puisque la chirurgie esthétique en constitue le sésame selon le Conseil de l’ordre, la science médicale dans ce domaine se définit toute seule comme un cercle d’encouragement pathologique. Cette discipline émergeante qui rôde autour des milieux transgenres s’auto-définit comme à une institution spécialisée, mais en toile de fond, elle professe à l’appui d’une déviance devenue normalité derrière la novlangue bardé de wokisme et de mystifications, car curieusement soutenue par un couple présidentiel.
Ces dispensateurs de soins « trans », à l’orientation suspecte, ne peuvent honnêtement se réclamer du corps médical des personnels soignants, sachant que cette division aléatoire de la médecine est fortement controversée en termes de santé et de déontologie médicale. Pour les initiateurs de ce sordide virage des mœurs, il en retourne que les droits et les devoirs des citoyens s’expriment en force par les voies d’une sexualité que d’aucuns jugent dépravée, mais qu’il faut satisfaire à une époque de permissivité politique et d’ouverture libertaire. Exit les standards de la famille légitime reconnue et légiférée au Code Napoléon (Livre I, titre V), même si le sort de la femme restait à améliorer ! Si l’homosexualité est un accident de la nature, non un délit ou une maladie comme encore récemment, l’humain ne saurait être une créature androgyne. Mais rappelons sur cette transition, que le désir de changer de sexe est assimilable à une psychose socio-culturelle. De surcroît, en conforter politiquement et médicalement la pathologie constitue une perversion sociétale.
La dysphorie transgenre et transidentitaire est désormais soutenue par une chirurgie qui a l’audace s’adjectiver son art de « réattribution » ou de « réassignation » (CRS). Il fallait des mots nouveaux pour corriger les oublis ou les fautes du passé, car il était temps de refaire l’histoire de la médecine ; comme de réassigner le code de déontologie et de réattribuer des devoirs paramédicaux au corps médical. Ici, le langage wok permet d’édulcorer ce qui n’est autre qu’une intervention non thérapeutique, en inversant le genre de patients souffrant d’une névrose liée à des rejets perturbants d’apparence. Dans une didactique plus précise, il s’agit d’un ensemble de procédures techniques, médicales et juridiques pour modifier les caractéristiques initiales des genres, afin que des individus en souffrance sociale et/ou psychique, puissent obtenir la physionomie du sexe opposé. En échange, la phalloplastie, qui consiste à prélever un morceau de peau pour reconstituer un pénis, reste une opération de reconstruction en cas d’accident, sinon un acte de chirurgie esthétique controversée, car non médicale, dans une opération qui vise à implanter un ersatz de sexe masculin chez une femme.
Les interventions chirurgicales, ainsi l’ablation d’un sexe ou sa transformation, restent illusoires, car inopérationnelles en termes de fécondité, de plaisir et de thérapie pour ce type de pathologie psychosomatique. Par ailleurs, entre impuissance et confiscation de la jouissance sexuelle, la vasectomie (stérilisation sans ablation), demeure une opération bénigne pour stopper la fécondité dans le cadre de la contraception, notamment au registre du contrôle des naissances. Cette méthode chirurgicale a pour objet de bloquer l’éjaculation des spermatozoïdes et de la testostérone. Le plaisir du coït peut s’en trouver atténué, mais pas sûr, car seule l’impuissance s’exprimera ici en termes de fécondation. Quant à la féminisation faciale, les multiples manipulations et charcutages au bistouri sur un être humain consentant, auxquels s’ajoutent et les traitements hormonaux de fond et à vie, car liés à l’opération transsexuelle, nous entrons ici dans le scénario d’un film d’épouvante, car la douleur du corps et les dégâts psychotiques sont à venir.
Le transexualisme est classifié dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, cependant juridiquement admissible notamment en France aux traitements des patients transgenres. La dysphorie coexiste dans ce manuel avec la schizophrénie ; une comorbidité dont les vecteurs sont évalués dans le DSM-5-TR susvisé. Rappelons que l’impact psychologique de soutien, entre le psy et le patient, induit une installation de la pathologie ainsi juridiquement institutionnalisée et médicalement inscrite dans une normalité, laquelle conforte ledit patient dans son traumatisme, d’où une légitimité médicale instituée. L’Association professionnelle mondiale pour la santé des personnes transgenres (WPATH) se consacre à la compréhension et à la confiance au traitement de la maladie. Mais en soutenant qu’il est normal de demander à changer de sexe, la société se rend coupable de la détérioration de la santé physique et mentale du demandeur.
Or celui-là, au moment de sa conclusion, ne saura jamais la triste réalité qui l’attend au terme d’un parcours qui l’emmènera à davantage de désordre mental, comme à devoir traiter chimiquement une maladie somatique que le patient n’avait alors pas besoin d’ajuster à de lourds traitements hormonaux. Au surplus, pour maintenir un corps dans la peau d’un genre artificiellement inversé, de nombreuses autres interventions chirurgicales l’attendent au fil des années, où les anticorps du sujet ne cesseront jamais de l’attaquer, pour tenter d’en revenir à sa véritable nature. Les inhibiteurs d’hormones destinés à bloquer la puberté implique des effets pathologiques indésirables, de nature physique et cérébrale.
Ces prescriptions exigent des posologies sans discontinuer sur des enfants dits transgenres. Ces molécules endocriniennes messagères empêchent la croissance des organes sexuels, freinent les caractéristiques secondaires comme la mue de la voix et le développement de la pomme d’Adam, puis encore retardent le développement des seins et des menstruations. Ce fut sur une note culturelle que l’Europe, au XVIIIème siècle, s’enthousiasma autour de la prodigieuse agilité de soprano coloratura des timbres vocaux des castras, lesquels se produisaient dans les concerts de musique après avoir été stérilisés dès l’âge de sept ans.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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