qui ne sont ni fiction ni complotisme…

Par Daniel Desurvire

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De terrifiantes réalités
qui ne sont ni fiction ni complotisme…

Chapitre 23

Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité

C – Entre métadonnée et phéromone, l’étiologie du gène humain se partage en deux allèles : la robotique et le termite

a) Renseignement et surveillance : les deux mamelles de l’inquisition oligarchique

Côté rue, aux revendications syndicales et autres mécontentements populaires, se mêlent aux défilés des bandes de briseurs de manifestation venant des cités arabophones, rameutés par l’Exécutif pour tourner les cortèges en émeutes incendiaires. Ce stratagème est jeté en pâture aux journalistes par le Gouvernement pour discréditer les protestations légitimes et les faire connaître pour des agitateurs. Ainsi en fut-il avec les Gilets Jaunes, les antivax, les légions de Français contre la réforme des retraites, etc. Tout ce qui va à l’encontre de la toute-puissante machine élyséenne doit être écrasé sans écoute ni débat contradictoire que refuse obstinément le chef d’État. Ce Président se présente comme le premier des grands élus du la 5^ème République à imposer avec brutalité ses réformes, sans se soucier de consulter préalablement les responsables syndicaux, corporatifs, associations ou collectifs, dont il s’exonère avec mépris d’étudier le pragmatisme argumentaire de terrain. En écartant les Parlementaires durant la crise, Emmanuel Macron aura même réussi à mettre au placard le corps législatif durant l’état d’urgence, en administrant le pays à coup d’ordonnances et de décrets. De sorte que le Président français s’est constitué en dictateur.

Pour combler le vide laissé par l’absence de dialogue, le ministère de l’Intérieur dédouane sa hiérarchie élyséenne en laissant se propager la colère des manifestants, lesquels s’examinent comme des activistes. En se gardant de dénoncer les véritables agitateurs, que sont les bandes insurrectionnelles de voyous venant exprès des banlieues arabophones pour se mêler à ces rassemblements de Français, laisser se perpétrer la casse du mobilier urbain profite à la contre-offensive médiatique de l’État-Macron. Le solde de l’hooliganisme, des incendiaires ; émeutiers et vandales exogènes profite à l’Exécutif. Une haie d’honneur, encadrée par des CRS, leur est parfois réservée depuis les portes de Paris pour diriger ces casseurs sur les lieux de rassemblement, et franchir les barrages des forces de l’ordre et des vigiles mis en place par les organisateurs de ces manifestations autorisées, de la sorte vilement discrédités.

Côté numérique, moins visibles mais tout autant efficaces, des logarithmes parasites (ou boîtes noires) en ligne ou en réseau sont clandestinement implantés dans les microprocesseurs hôtes des victimes par des traqueurs de droit privé, souvent contre des internautes ciblés par des équipes de hackeurs soudoyés par l’Exécutif, car discrètement désignés par le pouvoir tutélaire qui en fourni les listes, consignes, matériels et logiciels offensifs (hardware et software). Les blackbox, vers ou virus sont des armes redoutables contre les essayistes opposants au régime, que des voyous à la solde de l’État signifient en accablant lesdits détracteurs de rumeurs malveillantes et de mouchards-espions, à renfort de financements et des moyens techniques dédiés. Le tout est transmis discrètement à des collectifs de pirates, tels des sleeping giants pour faire taire les indésirables, sinon dissuader les prétendus « auteurs maudits de la République ». La perfidie de gens de pouvoir consiste à se retrancher derrière un écran capturé ou une page blanche, où se dissimulent des forbans informatiques pour frapper l’indésirable, à la façon mafieuse de lancer un contrat contre une cible à éliminer.

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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