Savent-ils, tous ces déglingués du bulbe, qu’une drag-queen ou un gauchiste, à Gaza, avec ou sans keffieh, se ferait décapiter illico presto

Par Claude Picard

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Mêmes mots et mêmes maux

Partout, dans le monde occidental, se manifestent une flambée de violence et un ensauvagement des comportements qui génèrent une insécurité quotidienne préoccupante, constamment alimentée par des vagues successives d’une immigration islamisée incontrôlable. Parce que cette immigration est non seulement porteuse d’une idéologie conquérante monolithique, imperméable à la Charte internationale des droits de l’homme, mais elle a le soutien de nos islamo-gauchistes et autres farfelus gauchisants. Pour en arriver à un curieux cortège multiculturel, qui appelle à l’Intifada, avec des relents antisémites à peine voilés, dans toutes les manifs de soutien aux terroristes du Hamas, en faisant défiler pêle-mêle, des islamistes, des gauchistes et des drag-queens qui arborent fièrement leur keffieh palestinien. Savent-ils, tous ces déglingués du bulbe, qu’une drag-queen ou un gauchiste, à Gaza, avec ou sans keffieh, se ferait décapiter illico presto ? Par des islamistes ! De quoi perdre la tête, réellement ! Déboussolés, nos gauchistes et tous les adeptes du genre et duracialisme, nous refont leur sempiternelle petite clownerie antifasciste. Là où ils ne risquent rien ! 

Heureusement, dans ce multiculturalisme improbable, il faut admettre que tous les islamisés ne sont pas des voyous, encore moins des terroristes. Et, individuellement, cahin-caha, de ce côté-là, l’intégration se fait. Mais c’est leur nombre qui pose problème. Car, comme disait le général de Gaulle, avec tout son bon sens : « On peut intégrer des individus ; et encore, dans une certaine mesure seulement. On n’intègre pas des peuples, avec leur passé, leurs traditions, leurs souvenirs communs de batailles gagnées ou perdues, leurs héros« . Cependant, avec la complaisance de tous les immigrationnistes patentés, c’est un peuplement islamisé qui se répand aujourd’hui dans tout l’Occident. Spécialement, en France, depuis que la gauche a bien compris le constat de Terra nova, association proche du Parti socialiste, qui stipulait : « La France de la diversité est aujourd’hui la composante la plus dynamique, tant électoralement que démographiquement, de la gauche en France« . Message, reçu cinq sur cinq par toute la gauche, qui a compris que les immigrés, notamment ceux de troisième ou quatrième génération, devenaient une bonne affaire électorale. Par contre, ce que la gauche n’a pas compris, c’est que cela ne calmera pas la violence. Car elle en est, en partie, la pourvoyeuse.

Surtout, parce que, par calcul électoral, par laxisme ou par inconscience, tous les spécialistes du prêt-à-penser gauchiste du « vivre-ensemble » et de « l’immigration, une chance pour la France« , soufflent continuellement sur les braises de la repentance coloniale et du racialisme. Et avec un hystériquedéballage d’arguments saugrenus, le plus souvent dénués de tout fondement historique, ils brouillent les pistes de l’intégration et encore plus de l’assimilation. Macron, notre président, n’est pas en reste quand, dans son discours lors de son déplacement au Maroc, il fait l’apologie de la colonisation arabo-musulmane (711 – 1492) en Espagne… Pour nous persuader que cette colonisation avait tout de même bien fonctionné et que, par contre, l’expansionnisme français au Maghreb, un « crime contre l’humanité » avait-il déclaré en 2017, n’avait apporté aux autochtones que la misère et la destruction ? Faudra-t-il encore faire repentance ? Et quand, pour ce voyage, Macron ose amener avec lui quelques personnages sulfureux pour le moins encombrants etaux frais des contribuables (en ces temps de disette budgétaire, ça la fout mal), on se demande quel est le message…

Nos gauchistes patentés, en pleine dérive, se croient tout permis ; aujourd’hui, entre autre incongruité, ils en arrivent à proposer une loi contre l’expression « travail au noir« … Parce que cela serait raciste ! La belle affaire, quand on n’aura plus le droit d’aller boire un « petit noir » ou un « petit blanc » au bistrot du coin et que l’on n’aura plus le droit de « broyer du noir« … Peut-être qu’on sera en meilleure santé, mais cela ne réglera aucun problème d’intégration et encore moins d’assimilation. Mais, en même temps, on peut s’interroger sur la santé mentale de certains de nos députés, qui disent lutter contre la drogue, le matin et qui, l’après-midi, vont s’approvisionner en drogue sur un quai de métro. Tous ces tartuffes ne savent même plus où ils habitent. 

Ils touchent le fond, mais ils creusent encore !

Claude Picard

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