L’UNRWA : nerf de la guerre du terrorisme 1


Par Daniel Desurvire

Temps de lecture = 4 minutes

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Il faut dire ce qui est et là on assiste à un crime contre l’Humanité !

1°) Les réfugiés ne furent pas ceux que la bien-pensance cherche à nous faire croire

Les arabo-musulmans qui s’opposèrent à leur propre indépendance au motif du « tout ou rien »,furent seulement enjoint à quitter provisoirement leur domicile par les corps expéditionnaires d’Égypte, de Syrie, d’Irak et de Jordanie, aux fins d’éradiquer par les armes l’État hébreu de la région. Ipso facto, seule cette alliance islamique martiale fut responsable de ce court exode de leurs coreligionnaires, notamment en Jordanie, pour les protéger des risques collatéraux d’une conflagration génocidaire perpétrés sur des millions de Juifs de l’État d’Israël. Certes, les armistices en 1949, faisant état de la débâcle des troupes islamiques dans ce conflit, installa les déplacés Palestiniens dans une situation de retour ou de siège, comme ce fut le cas vingt ans plus tard avec le coup d’état avorté par les Fédayins (OLP de Yasser Arafat) contre le Roi hachémite de Jordanie (dit Septembre noir de 1970).

En contrepartie, où sont les textes onusiens qui reconnaissent la réalité du sort des réfugiés juifs, autochtones de Palestine ? Que nenni, rien ne transpire au travers les bonnes consciences qui n’ont qu’une seule logique, celle de défendre les minorités prétendument opprimées, autant dire celle des Palestiniens arabo-musulmans, qui depuis l’hégire n’ont jamais cessé d’expulser et d’occire l’ennemi juif autoproclamé dans le Coran et la Sunna. Alors qu’aucun témoignage ni enseignement occidental de l’histoire académique n’atteste que le Foyer national juif, sous le mandat britannique, aurait chassé des Musulmans de Palestine, inversement ici, ce furent des Juifs qui furent frappés d’ostracisme ou assassinés par les forces islamiques faisant corps avec la Schutzstaffel (SS) ou la Sturmabteilung (SA). Entre d’une part, la diplomatie pacificatrice de la lettre de Sir Balfour et de la Société des Nations qui approuva, et d’autre part la rhétorique propalestinienne, donc passablement antisioniste de l’ONU qui se répandit XXIème siècle, nonobstant le plan de partage élaboré et voté à New York le 29 novembre 1047 par cette dernière, observons deux poids deux mesures !

À l’aube de la Seconde Guerre Mondiale, des villages de familles juives et les kibboutz furent évacuées et leurs habitations détruites à Jaffa par les attaques incendiaires et les razzias arabes islamo-nazies, dès 1936 jusqu’à la fin de la guerre 1939-1945 (Photos Z. Kluger). Observons ici la preuve irréfutable des razzias musulmanes qui participèrent de la débâcle des Juifs autochtones durant la seconde Grande Guerre. À ce jour, des politiciens et historiens osent prétendre que de telles pratiques d’expulsion auraient été commises par Israël à l’encontre de Palestiniens musulmans de l’époque, nonobstant les photos d’archives, les dates et les preuves tangibles de l’histoire. Et là précisément, n’est plus réfugié celui que l’on croit, même si le raciste antédiluvien, donc récurrent de l’islam, pousse au révisionnisme, voire au négationnisme.

Or ces faits qui ne relève pas de la propagande, ni ne s’inscrivent dans les manuels scolaires de la société européenne plutôt préoccupée à « calmer-le-jeu ». Il restera donc aux citoyens loyalement informés à s’exprimer devant l’inexcusable d’une mémoire tronquée. Mais il importe pour la social-démocratie pusillanime, de ne pas provoquer les foudres de l’islam eu égard à ses crimes, par esprit d’apaisement, et qu’il vaut mieux placer sous cloche une réalité qui dérange, laquelle lorsqu’elle s’offre erga omnes dans le respect des annales, peut susciter la menace, voire le chantage aux violences des émeutes insurrectionnelles et des vagues de vengeances meurtrières d’activistes musulmans. Il en retourne que le mensonge d’État de la bien-pensance occidentale, dispensateur du « politiquement correct », sert fatalement de refuge au crime jusqu’à l’encourager par laxisme, et laisser se perpétuer cet état de non-droit au mépris de la postérité. Mais peut-être que l’exode des Juifs serait une seconde nature héritée des Hébreux, sans risque de confusion avec le sort des réfugiés ?

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE


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Sommaire :

Préambule

1°) Les réfugiés ne furent pas ceux que la bien-pensance cherche à nous faire croire

2°) Comment l’islam d’aujourd’hui reprend le cours de son histoire nazislamiste

3°) Gommer l’État d’Israël de la carte ; un graal antisioniste du monde arabo-turc qui a la vie dure

4°) Tuer l’ennemi auto-proclamé dans le Coran, suffit à combler l’existence obscurantiste des décérébrés mahométans

5°) L’argent de la guerre concentré autour de l’UNRWA

6°) Il faut plonger dans les viscères de l’UNRWA pour disséquer l’imposture

7°) Le Coran, chancre de la dégénérescence d’une civilisation perdue

8°) Épilogue

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4 réponses à « L’UNRWA : nerf de la guerre du terrorisme 1 »

  1. Avatar de Guillaume Cramoisi
    Guillaume Cramoisi

    Toutes ces associations financées par les contribuables et qui servent la cause terroriste devraient être éradiquées. Facile de critiquer Trump mais lui au moins agit.

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  2. Avatar de Margueritte
    Margueritte

    Encore une fois, voici un excellent article très bien documenté comme on aimerait en lire dans nos pauvres médias.

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  3. Avatar de Serge Moreau
    Serge Moreau

    Les organisations internationales comme sous Hitler sont complice des barbares. C’est malheureusement vrai aussi ici pour la majorité des politiciens et des médias.

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  4. Avatar de Christian Lacour
    Christian Lacour

    Il n’y a pas de réfugiés palestiniens, pour être un réfugié il faut avoir quitter son pays et ce n’est pas le cas. Mais la propagande a suffi à l’accréditer.

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