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Épitaphe en guise d’épilogue
Par Daniel Desurvire
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Autopsie du dernier des rois maudits
Chapitre 12
XII – Épitaphe en guise d’épilogue
Au nom d’un mondialisme réducteur de liberté et de souveraineté, c’est précisément cette confession, un culte sectaire qui tend à effacer la culture française que Macron lui-même dénie, et la civilisation « des Gaulois réfractaires », qu’il conspue, que ce chef d’État veut introduire. Sous le prétexte d’un multiculturalisme que précisément l’islam intolérant rejette depuis ses écritures sacralisées, ce chef d’État poursuit cette queste d’un grand remplacement ; « la relève » selon l’un de ses laquais idolâtre du ministère de la Culture. Bien entendu, tous les massacres ne sont pas de nature islamique, mais force est de constater qu’au fil de l’histoire, le monde musulman fut l’un des plus redoutables prédateurs, eu égard à l’intransigeance et le racisme qui s’inscrivent en toutes lettres dans leur livre de culte (Voir, « La conquête de l’Occident : d’un islam subversif à la France fourre-tout » en bibliographie in fine).
Dans une moindre mesure, la crise du Covid en France fut également, sous l’angle anamorphosé de l’histoire, le vecteur d’un crime contre l’humanité. Ce chapitre récent de la législature présidentielle française, consacra une rupture de la démocratie qui se désagrège au fil des viols manifestes des libertés fondamentales. Ce chef d’État s’en donna à cœur vaillant entre 2020 à 2023 pour gommer la séparation des pouvoirs et s’accaparer, au nom d’une prétendue crise sanitaire, de toutes les manettes de la justice, du corps législatif et des médias. Le système politique français n’était plus rien d’autre qu’une dictature présidentielle, provisoire certes, mais parfaitement ficelée, avec des sociétés conseils qui prirent le relais des ministères, des parlementaires de la justice civile ; tout cela dans l’interdiction des réunions, des débats en séances plénières et de la capture des médias sous contrôle de l’Arcom.
Sous l’empire d’une pandémie conçue et fabriquée en laboratoire et répandue dans le monde par des esprits criminels, des vaccins expérimentaux sortirent du chapeau simultanément. D’apparition soudaine donc suspecte, cette prophylaxie s’avère aussi dommageable pour la santé que le virus censé être combattu. Macron se servit des vaccins comme d’un instrument du pouvoir, en politisant le statut des personnes vaccinées, ses gardiens sanitaires, et en faisant des personnes non vaccinées, un parti pris à abattre ; les antivax. Ces deux factions, redues hostiles car placées dos à dos, devaient servir une cause prophylactique, celle de distinguer quels sont les bons sujets dans la société ; ceux qui protègent leurs compatriotes avec un carnet de vaccination à jour (le QR Code TAC), et les dissidents, des criminels en puissance qui pouvaient à tout moment transmettre le virus en contaminant les populations.
Mais il fallut beaucoup trop de temps pour que la plupart des citoyens censés comprenne, avec le recul des faits, que le vaccin de protégeait pas des contaminations, et que piqués ou non, tous pouvaient transmettre le virus. Puis dans une autre étape, nombre de personnes vaccinées contractaient la maladie avec des effets secondaires plus longs à disparaître, voire perdurer jusqu’à en mourir. Aussi irresponsables que menteurs, les pouvoirs publics avançaient, sans preuve ni études scientifiques ou statistiques, que lesdits vaccins devaient protéger les personnes des formes graves de l’infection. En dépit de cette réalité attestée que confirmèrent les instituts de contrôle des médicaments, ainsi EudraVigilance entre autres, la loi de discrimination de Macron (article 12 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021) fit des uns ses vigiles ou inquisiteurs, et des autres les parias ou pestiférés de la Nation.
Entre deux, ce fut la psychose et l’hypocondrie qui de surcroît frappèrent les populations. Cet épiphénomène de la peur instillée dans un climat anxiogène, se retrouve dans tout système politique autoritaire ; dictature monarchique ou militaire, oligarchie ou théocratie, pour conditionner les sujets à l’obéissance, voire à une soumission sans réserve devant un pouvoir sans partage ni compassion. Or Macron, depuis la recette en grandeur nature de cette expérience du pouvoir totalitaire, où moult citoyens ont joué le jeu de cette théâtralisation d’un état d’urgence, en conserve une nostalgie qui résonne comme d’un coup d’essai, pour faire entrer la France dans ce fantasme mondialiste. Frappé du syndrome d’hubris, Macron persiste cependant à jouer d’une autorité usurpée, tel un immature qui se joue de l’uchronie dans l’utopie d’un pouvoir alternatif. Ainsi se comporte-t-il en faisant sa guéguerre en Ukraine.
Lorsqu’un esprit, à l’intelligence maligne, parvient tout seul à endoctriner et corrompre la société, puis à emmener avec lui un peuple égaré par la peur qu’il propage, plus aucun garde-fou ne parvient à stopper les dérives d’un tel individu. À l’appui de mensonges et d’appels à la haine d’une partie de son public contre les antivax, soyons convaincus que cet imposteur ne lâchera pas prise, forgeant l’opinion collective sur la voie de l’intolérance, de la discrimination et à présent de la guerre. De cette guéguerre, ce personnage suffisant et vindicatif ne cesse d’en agiter le leitmotiv morbide. Protégeons-nous des briefings de propagande de ce pensionnaire de l’Élysée, où son hostilité contre ses adversaires légitimes se traduit par d’odieuses rumeurs et d’avanies, sans égard du devoir de réserve qu’impose sa fonction, jusqu’à prodiguer des contre-vérités pour mieux enfumer son auditoire.
Lors des one-man-shows télévisés de ce comédien d’opérette, ses exhortations sont truffées d’artifices et d’intrigues, dont l’individu s’est constitué le maître de l’art jusqu’à s’en repaître. Gageons que pour ce dispensateur de diatribes enflammées, à la façon de dictateurs volubiles comme il en fut avec Hitler, Castro ou Staline en leur temps, l’ignorance, le dénuement et la souffrance sont vecteurs de pulsions délétères dans les esprits tourmentés, fragiles et perméables aux exhibitions d’endoctrinement démonstratifs. De surcroît, il est plus facile de convaincre et d’embrigader les foules dans un climat social anxiogène, tapissé de psychose et d’hypocondrie organisées ; ainsi qu’il en fut avec ladite crise sanitaire, où tout fut mis en place pour emmener l’opinion collective à emprunter le même cheminement. Cette voie tracée fut celle de la vaccination discriminante, en dressant les uns contre les autres pour mieux seconder les tribuns de l’Exécutif, et au bout du compte servir la corruption du Big Pharma.
Ce que nous pourrions accepter de l’histoire martiale en des temps reculés, sans pour autant tout justifier, il n’est pas admissible que des augures à la tête de pays civilisés d’Occident, a fortiori issus de démocraties, s’ingénient à recopier pour faire le mal ; ainsi les guerres de territoires. Cette participation illégitime du chef de l’Élysée, à la belligérance qui se déroule en Ukraine, place la France dans une situation ambiguë, eu égard à l’absence de motif d’intervention dans un conflit où il n’existe aucune alliance politique et historique, ni d’enjeux économiques ou juridique pour justifier une telle participation de la France.
Venir au secours d’une partie de l’Ukraine (les euromaïdans) pour frapper leurs concitoyens de l’autre partie de ce pays en partition (les russophones), relève de l’arbitraire, voire d’une ingérence criminelle dans un conflit civil, tant il est vrai que de mémoire, ce pays abrita les premières dynasties des tsars, donc de l’histoire de la Russie elle-même. En prétendant lutter contre un adversaire transversal, la Russie, sur un territoire étranger, la France, sous l’égide de son Président, se place parmi les États prédateurs, autant que l’Otan et la Communauté européenne qui semblent se diriger vers une conflagration doctrinaire. Pourquoi la France soutient-elle le régime de Volodymyr Zelensky dont les troupes militaires sont emmenées par 10 % de néonazis dans les troupes légalistes de Kiev (les brigades Azov) ? Pourquoi ce régime martial recrute des enfants à partir de 16 ans pour les emmenés se faire tuer au front ?
Côté légitimité, Macron ne mérite pas sa charge, car même élu, nonobstant les tricheries présumées sur ses comptes de campagne, les électeurs désinformés par une presse servile au pouvoir dominant, auront porté au pouvoir un individu d’une rare dangerosité, jamais en panne d’indélicatesses. Ne perdons jamais de vue que les intrigants en politique disposent d’un arsenal de moyens technico-juridiques et de parrainages pour financer leur campagne électorale. Comment un chef d’État peut-il assumer librement sa fonction et sans pression s’il doit récompenser en retour d’investissement, ceux qui l’ont porté par l’argent au pouvoir ? En cas de fraude des comptes de campagne des candidats indélicats aux élections, ceux-là pourront déjouer les commissions de contrôle ainsi que le Conseil constitutionnel, car leur avis rendu ne parvient que trop tard, et ne sera justiciable qu’au terme du mandat de ces tricheurs.
Ainsi il en fut possiblement avec Macron, car le Parquet national financier indiqua, le 30 novembre 2022, avoir ouvert le 20 octobre de la même année, une information judiciaire sur les campagnes présidentielles de Macron en 2017 et en 2022, pour « Tenue non conforme des comptes de campagne ». Les liens entre ce Président et ses cabinets conseils sont fortement suspects de malversations financières, entre délit de favoritisme, concussion voire de népotisme (article L313-6 du Code des juridictions financières) ; de graves entorses politiques au droit des marchés et d’ententes illicites, momentanément protégés par l’immunité de la fonction, nonobstant usurpée par vice de procédure électorale. Ursula von der Leyen se trouve également impliquée pour des motifs similaires, en raison de ses commandes à milliards d’euros passées par SMS, en violation des procédures de marché. « Qui se ressemble s’assemble » !
FIN
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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Sommaire :
I – La France, bientôt dépendante des aides de la Banque mondiale pour le tiers-monde
II – Pour Charles De Gaulle, « La civilisation musulmane se posait comme un corps étranger, inassimilable à l’histoire de la Nation française, produit de la civilisation chrétienne ».
III – Du collectivisme communiste à la social-démocratie des États capitalistes, le mondialisme ne saurait correspondre à la vision d’une civilisation achevée
IV – À l’effondrement des outils de production, succède la braderie des forces vives de la Nation
V – À ce jour, il faudrait remonter au Gouvernement provisoire de Vichy pour trouver une situation sanitaire, sociale et économique aussi désastreuse en France
VI – la France de Macron n’a plus d’argent, plus guère de performance industrielle, ressemble à une friche d’usine, mais avec un faste présidentiel à la Ceausescu ou à la Bokassa
VII – Idiosyncrasie présidentielle et catapultage des valeurs honorables vers les soubassements glauques de l’Élysée
VIII – Question débauche, la mode LGBT et le wokisme ne font pas dans la dentelle !
IX – Les bacchanales d’un chef d’État en ricochets de son égérie Ursula von der Leyen, et en réponse aux intrigues du Build Back Better Plan de la secte WEF
X – Destituer Macron ne suffirait pas à réparer les horreurs commises, car la justice devra prendre le relais au ban d’infamie, pour répondre des dommages infligés à la France et aux Français
XI – Psychologie sociale et endoctrinement fondamentaliste à la croisée des chemins
XII – Épitaphe en guise d’épilogue

Statines*, frankenvirus, vaccins… le lobbying du Big pharma a de beaux jours !
* Il faut savoir que les statines sont parmi les médicaments les plus vendus au monde
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