Par Daniel Desurvire

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Il faut dire ce qui est et là on assiste à un crime contre l’Humanité !

L’UNRWA : nerf de la guerre du terrorisme

Chapitre 6

6°) Il faut plonger dans les viscères de l’UNRWA pour disséquer l’imposture

L’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine au Proche-Orient (UNRWA : United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees in the Near East) est un organisme dédié qui a pour raison d’être de répondre aux besoins de santé, d’éducation, d’aides alimentaire et sociale aux seuls réfugiés palestiniens. Oui mais lesquels ? Les exilés volontaires revenus chez eux en Palestine ou ceux qui vivent à l’extérieur et qui revendiquent un droit de retour pour eux-mêmes et à leurs descendants qui vivaient en Palestine sous mandat de l’UK ? Doit-on y voir un apartheid intra-palestinien ? Transposé au HCR qui a pour mandat ad hoc d’aider les réfugiés de tous horizons à se défaire de leur statut d’assisté par intégration dans le pays où ils vivent, ou se réinstaller dans un pays tiers, l’UNRWA transmet ce privilège aux descendants de réfugiés d’hériter de ce statut, comme on percevrait la succession d’un parent, sinon un encouragement à l’apathie, voire à passer son temps à guerroyer contre l’ennemi héréditaire du Coran !

Institué dès la première guerre israélo-arabe de 1948 par la résolution 302 (IV) de l’AG des Nations unies du 8 décembre 1949, le mandat de cet organisme devait être temporaire, mais fut sans cesse renouvelé. Nombre de candidat musulmans à ce statut juteux de réfugié, viennent sans cesse grossir les rangs de cette population palestinienne, sous des usurpations d’identité et de faux certificats de naissance. Mais l’UNRWA n’est pas regardante, même si cette population s’enfle plus vite que le ventre fertile des musulmanes des fratries polygames ne peut enfanter. Rappelons que ces conflits unilatéralement engagés ou provoqués par les arabes de la région (Six-jours 1967, Kippour, 1973), et les milliers de roquettes lancées par cet islam belligérant durant ces ± 80 dernières années, furent la conséquence de la fin du mandat britannique le 14 mai 1948. Ce retrait ou cette décolonisation engendra de jure la création de l’État d’Israël, notamment pour restituer à ce Peuple défait par la shoah, une terre légitime qui fut la leur depuis des temps immémoriaux.

Cette proclamation d’indépendance légitimée par les instances internationales, fut rejetée par les ressortissants arabes de Palestine, lesquels avaient fermement refusé la même offre que celle accordée au Foyer juif. Depuis, l’UNRWA dispense ses services dans 59 camps qui souvent n’en sont pas ; puisque dans les faits, il s’agit de quartiers urbains ordinaires, ni clos ni pauvres de Gaza et de Cisjordanie, mais aussi de Syrie, du Liban, de Jordanie, mais encore dans bien d’autres régions en dehors des camps reconnus. L’UNRWA est de loin la plus dotée des agences de l’ONU, avec plus de 30 000 salariés, dont 99 % sont essentiellement des Palestiniens, militants d’une action milicienne au sein de mouvements armés. La plupart sont des réfugiés chez eux, recrutés localement et grassement rémunérés par ce corridor onusien. Parmi ceux-là, il se compte surtout des miliciens du Hamas, du Fatah et du Djihâd islamique ou des martyrs d’Al-Aqsa ; autant dire une armée de terroristes financée par les Nations unies.

L’UNRWA est aussi la seule agence humanitaire de l’ONU perfidement militarisée, puisqu’une part importante des fonds, comme indiqué plus haut, sert à négocier de l’armement et des munitions ; un arsenal consacré ad hoc à un groupe spécifique de réfugiés pas même déplacés, mais lourdement armé. Selon la définition de l’UNRWA, « un réfugié de Palestine » est une personne dont le lieu de résidence habituel était la Palestine entre juin 1946 et mai 1948, et qui aurait perdu à la fois son domicile et ses moyens de subsistance en raison du conflit israélo-arabe de 1948. La définition de réfugié de l’UNRWA couvre également les descendants des Palestiniens qui sont de facto considérés être des réfugiés de 1948. Ne s’agit-il pas là d’un remake à ce qu’il se passe en France avec les réfugiés musulmans apatrides et clandestins ; des migrants politiques ou économiques, là où le regroupement familial profite aux réfugiés islamiques dans l’UE comme en Palestine ?

De fait, le nombre de réfugiés palestiniens enregistré est passé de 350 000 en 1950, sur les 720 000 de l’ensemble de l’exode palestinien, à plus de 5 millions en 2005, et continue à augmenter du fait de l’irrésistible croissance démographique polygame, et d’une fabrique virtuelle de cousins providentiels ; oncles et collatéraux déferlant depuis des pays arabes voisins qui revendiquent une généalogie palestinienne. Il en fut ainsi avec le multicarte Yasser Arafat (du nom de guerre Abou Ammar) né en Égypte et petit-neveu du grand mufti de Jérusalem Mohammed Amin al-Hussein, lequel participa au génocide Juif au côté d’Adolf Hitler dont il fut le caudataire. Pourtant, ce félon qui se sera enrichi des deniers humanitaires de l’UNRWA (entre 800 millions à 1,3 Milliards d’US-$), aura même réussi à duper la conscience internationale en recevant le prix Nobel de la paix en 1994.

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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Sommaire :

Préambule

1°) Les réfugiés ne furent pas ceux que la bien-pensance cherche à nous faire croire

2°) Comment l’islam d’aujourd’hui reprend le cours de son histoire nazislamiste

3°) Gommer l’État d’Israël de la carte ; un graal antisioniste du monde arabo-turc qui a la vie dure

4°) Tuer l’ennemi auto-proclamé dans le Coran, suffit à combler l’existence obscurantiste des décérébrés mahométans

5°) L’argent de la guerre concentré autour de l’UNRWA

6°) Il faut plonger dans les viscères de l’UNRWA pour disséquer l’imposture

7°) Le Coran, chancre de la dégénérescence d’une civilisation perdue

8°) Épilogue

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