Par Daniel Desurvire
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Bientôt l’Europe ne sera plus chrétienne !
Retour de l’UE à l’heure médiévale
Chapitre 1
1°) EES et ETIAS : une découpe passéiste de l’Europe qui favorise les réfugiés
Alors que le tonlieu, ou leude, consistait au Moyen Âge à percevoir un droit de passage ou de pontage aux commerçants, marins et voyageurs, cet impôt féodal vient d’être récupéré par l’Union européenne qui prend ainsi la place de la Seigneurie d’antan. La nouvelle donne « EES » et « ETIAS », dont l’analyse y est portée plus bas, en constitue la substance. De prime à bord, si le postulat du mondialisme consiste à gommer les frontières nationales et les identités, faisant référence à l’appartenance géographique, patrimoniale, patriotique, anthroponymique et linguistique, d’où l’extinction de la culture du continent, le programme de cette nouvelle donne semble préparé à se fondre dans cet ordre nouveau.
L’autre idée, mais sous-jacente de ce mondialisme rampant, revient à laisser l’immigration clandestine s’écouler subrepticement sur le vieux continent, pour déteindre sur la civilisation historique du terroir européen, et s’y immiscer durablement. Pour ce faire, il fallait rétablir un droit de passage, non pas pour les réfugiés apatrides et démunis, donc inexpulsable et insolvables, de surcroît protégés par le droit onusien (Convention du 28 juillet 1951, résolution 429 [V]), mais pour les Européens eux-mêmes. Fort de ce principe, le laisser-faire de l’État-Macron participe à ce raz-de-marée qui déferle sur la France ; un tiers-monde ʾmusulmān instable et réfractaire à son acculturation, qui asphyxie financièrement les États-membres.
Dans une réalité visible, la montée en charge des agressions antisémites et des attentats terroristes suscite une insécurité anxiogène pour les citoyens de l’Union. De fait en France, de plus en plus d’électeurs sont en rupture avec cette social-démocratie récupérée par un oligarques ; une résistance patriote que ne voulaient pas davantage entendre jusqu’ici la Commission et le Conseil (UE). Oui mais voilà, plutôt qu’entendre, l’Union tranche une nouvelle fois en faveur de l’accueil des étrangers du tiers-monde ʾislāmique. Depuis 1962, cette communauté confessionnelle apparaît inexpugnable depuis ses ghettos périurbains, avec des comportements prédateurs et de mentalité inassimilable dans la société judéo-chrétienne, à ce jour ébranlée depuis les assises de ses institutions constitutionnelles.
Pourtant, les grands élus ne peuvent plus taire l’étiologie de cette nécrose fondamentaliste importée, qui se targue d’être le fruit d’une religion, mais refuse l’intégration avec leur pays d’accueil, en s’opposant farouchement aux standards de la démocratie et de la laïcité. Ce pourquoi, en se réfugiant derrière une honorabilité de façade et au nom de l’écologie, la nomenklatura de Strasbourg à Bruxelles botte en touche, et décide de réguler, voire de trier les types de déplacement des citoyens de l’Union. En toile de fond, les élus européens font mine de stopper l’hémorragie de cette infiltration cultuelle que provoquent les coups de sabre des fondamentalistes, lesquels se glissent dans les hordes de réfugiés ʾislāmiques sur les territoires de la CE.
Ceux-là, s’ils n’ont pas de bagage, de savoir-faire productif ou d’argent, ni n’apportent la concorde pour une intégration durable et pacifique, nombre de leurs coreligionnaires activistes, à des fins prosélytes, déambulent le ʾCorān d’une main, et le cimeterre de l’autre en guise d’armoirie prophétique qui leur sert de passeport. Ce revirement de la bien-pensance dominante en social-démocratie, qui jusque-là défendait bec et ongles les valeurs de « pays d’accueil », de « défense des minorités » et de « melting pot », se renforce au fil des agressions létales commises par lesdits réfugiés ou enfants de réfugiés français, contre les Nationaux du terroir, leur intégrité, leurs standards socio-culturels et juridiques. Ce basculement de la vision humanitaire de tradition historique en Europe, donc en France, fut la conséquence de l’affaissement des valeurs laïques résultant des attentats ʾmāhométans importés sur la vieille Europe.
L’insécurité, qui en découle depuis plusieurs décennies, aura fait trembler les institutions avec un retour aux valeurs patriotiques des citoyens de souche devant les urnes ; mais un nationalisme culturel aux standards démocratiques, que ne veut admettre la fachosphère sociale-démocrate de l’Élysée qui se réclame du progressisme et du libéralisme mondialiste. Sans que les dirigeants de l’Union aient l’honnêteté de faire volte-face et amende honorable devant l’échec de leur politique d’immigration, les élus européens n’ont pas davantage le courage d’exprimer clairement sur le fond et le pourquoi de la réforme des systèmes EES et ETIAS. Ceux-là ont décidé de faire table rase des traités de Maastricht et de Schengen sur la liberté de circulation des biens et des personnes dans l’espace communautaire.
Il semble vraisemblable que la secte mondialiste WEF ait toujours caressé l’illusion que l’injection de Alʾislām dans la société judéo-chrétienne est un excellent moyen de raser les frontières nationales, puis d’éteindre les sentiments patriotiques, historiques et culturels, à la faveur d’un brassage multiethnique jugé favorable à l’extinction des souverainetés des États dans l’Union aux prétentions fédéralistes. Cette coterie de multimilliardaires qui œuvre pour un ordre nouveau installe, pour ce faire, des chefs d’État en finançant leur campagne politique à l’instar de Macron, qui en 2014 fit déjà parti des Young Global Leaders de ladite secte. Or, intégrer les communautés ʾislāmiques aux identités européennes fut une grave erreur, car le communautarisme ʾmusulmān refuse obstinément, par dogmatisme ʾcorānique, la notion de melting pot, puisque son intolérance conduit ce culte à refuser son
A SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Sommaire :
Sommaire :
1°) EES et ETIAS : une découpe passéiste de l’Europe qui favorise les réfugiés
2°) Le CO2 pour défaire l’espace Schengen
3°) Le mobile d’insécurité ou du CO2 impose un parcours du combattant pour le seul résident européen, excluant les migrants clandestins de cette épreuve
4°) Circuler librement devient un droit soumis au racket de l’Union
5°) EES et ETIAS : Un sésame pour l’immigration clandestine mais un casse-tête pour les citoyens de l’Union
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