Par Daniel Desurvire

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L’idiosyncrasie d’une présidence

Une Présidence anormale 4

Chapitre 4

IV – … et le pire vient ici, entre une immigration prédatrice et le leitmotiv martial d’un petit caporal bis aux commandes de la Nation française !

Avec nombre de demandeurs d’emploi en hausse vertigineuse, et une liste de défaillances d’entreprises qui inexorablement ne cesse jamais de croître sous l’empire du déconstructeur national, la France est vitrifiée. Cette dégringolade accélérée de toutes les forces vives de la Nation, à l’inverse des annonces propagandistes d’une Présidence délirante, laisse présager d’autres reculs inéluctables des marqueurs autour de l’avenir économico-financier de l’Hexagone. Seule la « déconstruction de la France », voulue par cet antipatriote Macron, s’avère avoir été son succès, au vu de sa seconde mandature présidentielle et de l’absence de perspective de redressement.

Certes, la béquille de Macron, Ursula von der Leyen, se doit d’amortir le choc, et le gourou de la secte WEF d’offrir un accessit pour son catéchumène dit le déconstructeur. Quant aux macronistes politiques et leurs ententes cordiales avec les protagonistes d’extrême-gauche à la droite, puis des fonctionnaires, médecins et autres opportunistes qui auront cru ou profité de cette rafle sur les caisses de l’État et de la Sécurité sociale durant le Covid, la carotte des commissions occulte aura cessé de produire des promesses. Quand donc le Peuple de France prendra-t-il conscience du désastre et de l’ampleur de l’héritage négatif laissé à la postérité, celle de nos enfants ?

Macron aura, à lui tout seul, doublé le déficit de la France depuis 2017, mais aussi le chômage débité en tranches de A à E pour dissoudre l’étendue réelle des sans-emplois et des sans-abris, comme des travailleurs salariés qui couchent dans leur voiture pour se préserver de quoi se nourrir, se soigner et se vêtir. Même le nombre de foyers allocataires du RSA, qui a augmenté de 7,4 % de 2020 à 2021, et dont le nombre toujours croissant, bien que camouflé par le jeu des chiffres tronqués de la Dress, se chiffre à 1,84 million d’âmes en juin 2024, n’aura pas même endigué l’hémorragie. ± 1 demi-million de cessations d’activité furent enregistrées à la Bourse du commerce en 2024, sans repreneurs.

Outre la dette abyssale de la Sécurité sociale, avec un cumul de débits de 264 M^ds d’€ en 2023, toujours en progression exponentielle (+ 18 M^ds d’€ en une seule année en 2024), sans doute que le PLFSS pour 2025 explosera assurément au terme de l’exercice le montant des prélèvements sociaux, et ponctionnera une part des remboursements de prestations pour les cotisants ayant droits, alors qu’il n’est rien prévu pour réduire les gratuités de soins aux millions de migrants. Si d’aucuns y voient là une solidarité envers le tiers-monde, le vocable assistanat serait mieux approprié.

Puis il y a la chute vertigineuse des exportations à défaut de produire, accélérant les fermetures d’entreprises avec des alertes, des plans sociaux et sans redressement à l’horizon. À défaut d’un dépôt de bilan, d’autres entreprises sont promises aux délocalisations et cessions des actifs français en bourse. Toujours dans la mire de la déconstruction engagée par Macron, l’assistanat improductif, surtout pour les réfugiés, et démobilisant pour les nationaux actifs, y est préféré à l’incitation à l’emploi et à l’investissement, sachant que les subventions et les formations sont aléatoires, car souvent bridées par des normes fixées pour n’ouvrir que des droits restrictifs. Le pays s’assèche au rythme des braderies d’entreprises, comme des OPA et OPE et OPR ; prise de contrôle, fusion-acquisition de sociétés au profit de l’étranger, dont les noyaux durs d’actionnaires votent la confiscation des outils de travail pour les déménager, là où la réduction des coûts de production participent d’un dumping social.

Qu’importe, Macron n’y voit ni n’entend rien, lâchant des M^ds d’€ par an pour financer le coût de l’immigration, et ce dont on parle moins ; la prévention du terrorisme et les réparations matérielles et humaines après les attentats racistes. À cette insécurité montante dans le pays, il faut également ajouter le narcotrafic et le recèle d’armes amplifiés par des réseaux de réfugiés. Puis encore, d’autres M^ds d’€ sont pillés dans les caisses de l’État pour alimenter en armes et munitions la guerre intestine en Ukraine, mais aussi à l’ordre du jour, son réarmement après la débâcle du fou de Kiev. Ce pourquoi Macron annonça fin novembre 2024 que cela ne cessera pas, et qu’il persistera à vider les coffres de Bercy jusqu’au dernier sou. N’est-ce pas dans l’espoir de prolonger sa dernière investiture présidentielle par une guerre s’éternisant aux calendes grecques ? Oui mais c’était sans compter sur l’élection de Donald Trump à la White House qui met fin à ce stupide conflit !

En prétextant lutter contre la Russie dans cette guerre asymétrique, cet excité de la guéguerre* participa au massacre des Ukrainiens en conflit interne depuis 2014. Ainsi, lorsqu’il est dit depuis l’Élysée que la France vient au secours de l’Ukraine, Macron omet de préciser qu’il participe activement à l’élimination des séparatistes ukrainiens, en prétextant au passage que le danger vient du Kremlin, non de l’Otan ou de l’UE qui pourtant jouent la même symphonie expansionniste ! En alléguant défendre les valeurs souveraines, alors que cet irresponsable dénie tout sens patriotique et refuse la culture française, dont il préfère celle du wokisme et de LGBT*+ depuis son graal mondialiste, ce personn

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Sommaire :

I – Alerte à la spoliation des deniers publics !

II – Lorsque les impôts servent l’oligarchie à racketter les forces vives de la Nation

III – De l’illusion à l’échec, le pire reste à venir…

IV – … et le pire vient ici, entre une immigration prédatrice et le leitmotiv martial d’un petit caporal bis aux commandes de la Nation française !

V – Le côté inventif des banqueroutiers en France et dans l’Union

VI – Des postures élyséennes ubuesques qui font honte à la France

VII – Les bacchanales présidentielles

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