Par Daniel Desurvire

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L’idiosyncrasie d’une présidence

Une Présidence anormale 7

Chapitre 7 final

VII – Les bacchanales présidentielles

Sous la caricature d’un chef d’État immature, versatile et confus, la France est moquée, ramenée à la médiocrité du sapeur Camember aux agissements absurdes (selon Eugène Le Mouël) : « Il y a un mois, il aurait été difficile d’imaginer le Président français Emmanuel Macron tenté de copier Volodymyr Zelensky » (Sources : Jacob Gallagher, in TMZ, Telegraph, Wall Street Journal…). Enplaçant en vedette l’audace d’un trousseur de farce depuis la presse étrangère médusée, la Tv française, sous le coup d’arrêt de l’Arcom, se garda de produire le burlesque de cette Présidence carnavalesque, pour ne pas compromettre son électorat déjà en berne, dont la dignité de l’État français dans une réalité offensante. Ce fut dans la dissimulation médiatique que ce cliché, et tant d’autres à son endroit, porteur d’une défaillance identitaire multiple (TDI*), échappa à des millions de Français qui votèrent une fois encore pour ce bateleur !

Certes, l’électeur pouvait se fourvoyer devant un inconnu sorti du chapeau en 2017, qui promettait un sursaut économique et social après le quinquennat catastrophique de son insignifiant prédécesseur, François Hollande, dont la dérive des finances semblait avoir touché le fond. Et pourtant non, puisque l’État-Macron aura réussi l’exploit d’aller plus loin encore dans l’échec et le déshonneur de la France. De sorte que le bateau de Bercy aura connu, sous l’amirauté du chef de l’Élysée, un second Trafalgar dans l’histoire de la République.

Eu égard aux fiascos répétés sur tous les fronts de sa gestion du pays, gageons qu’il y a quelque part un vice de forme dans le scrutin uninominal majoritaire à deux tours, car par un tour de passe-passe, ce fut à l’aide d’alliances contrenatures avec un parti d’ultra gauche qui ne ménage pas ses propos accablants et positions antisionistes, que ce diable s’octroya un quinquennat supplémentaire, toujours en trichant sur ses comptes de campagne. Certes, ses proches conseillers de McKinsey, dont une société privée en charge de R & D et communication, sous la direction française de Victor Fabius, lui aurait enseigné : « Comment mentir sans que personne ne s’en rende compte » ? et, « Comment être réélu en ayant accumulé que des fiascos » ?

Une altération de la communication embrouille la perception de cet individu partagé entre sa vision de lui-même qui alterne avec sa fiction théâtralisée, dont la nosologie relève d’une classification DSM-5*. S’agit-il de la traversée du miroir réécrit en 1871 par Lewis Caroll*, l’effet inversé d’une psyché où le regard anamorphosé s’en trouve dévié ; une résistance à croiser le regard, où de trouble borderline, entre le sentiment altéré d’une toute puissance, car fauché par un délire narcissisme ? N’y voyons ici aucune allégorie, mais une variable de réflexions qui ajuste des faits à la personne, car l’étudiant Macron fut l’élève de son professeur d’art dramatique, Brigitte (J.-M.) Trogneux, qui devînt son épous[e] LGBT+, notamment sur le plateau du théâtre au lycée La Providence où il joua la scène de L’art de la comédie du scénariste Eduardo de Philippo. Si les planches de théâtre peuvent reproduire à l’infini pareille gestuelle et forfanterie d’un acteur introverti, voire bipolaire pour mieux duper ou mentir en spectacle, l’incompétence et l’irresponsabilité de ce dernier en politique, dans le monde réel, auront raison du Peuple de France par ces improvisations et acrobaties de scène.

Selon l’analyse du Professeur Adriano Ségatori, Psychiatre, psychothérapeute italien, E. Macron ne ressemble en rien à l’image qu’il renvoi lors de ses fréquents one man’s show devant les caméras de télévision absentes de contradicteurs, donc confortables face à lui-même. En échange, lâché dans la rue, le vocabulaire mortifiant du pensionnaire de l’Élysée se constelle d’injures blessantes, jetées en pâture face à l’inattendu d’une adversité qui le déstabilise, l’irrite jusqu’à vomir le fiel de son acrimonie. Pour bien fonctionner, ce personnage irracible a besoin de sa milice ; l’Arcom, une garde rapprochée, convaincre les mordus de ses interventions Tv,et de sa presse servile. Pour ces collabos, il faut soutenir ce régime régalien quoiqu’il en coûte, car seul le chef d’État prétend savoir ce qu’il croit être bon pour le peuple. Cela serait encourageant si la réalité, sur l’État de délabrement du pays n’était pas aussi éloignée de ses annonces prometteuses, car ni la vertu ni le respect ne sont au rendez-vous de l’individu.

Le psychiatre près des tribunaux italien (op. cit.), fit une analyse pondérée sur le profil de Macron : « Ce chef d’État est très dangereux pour l’Europe », eu égard aux variations chaotiques de ses discours géopolitiques. Des psychanalystes s’accordent pour reconnaître que les plus grands psychopathes sont des capitaines d’industrie et généraux d’armée, lesquels occupent les plus hautes fonctions. Ils servent d’abord une carrière personnelle, avec un cynisme et une capacité de séduction qui procèdent de l’illusion, voire exagérément pour frapper l’imaginaire et semer le trouble quant à comprendre la vraie nature de l’individu et l’explication de ses excès ; « Les personnes dotées de raison doivent avoir peur quand un président dit textuellement qu’il veut emmerder les non-vaccinés, et dit littéralement, nous limiterons l’accès aux non-vaccinés à la vie sociale en tant que non-citoyens ». Le professeur ajouta que qualifier un individu de psychopathe ne constitue pas une insulte, car il s’agit d’une maladie.

Certes, nul ne peut plaire à tout le monde, mais il est une incompatibilité aussi troublante qu’inquiétante, s’agissant d’une personne censée diriger un pays, mais qui ne saurait même pas tenir un kiosque à journaux, eu égard aux résultats désastreux de sa gestion politique globale ! Des personnalités qui ont côtoyé ce président observent bizarrement la même analyse ; ainsi l’ancien député européen Philippe de Villiers, lequel jeta le même regard sur ce personnage au regard fuyant. De fait, Macron joue sans cesse la comédie pour receler un mécanisme d’auto-défense, un trouble de la personnalité paranoïde, ainsi décrit par le psychothérapeute autrichien Alfred Adler dans Understanding Human Nature et Social Interest.

Il ressort de ces témoignages que Macron n’aurait pas la dimension d’un président responsable, eu égard au danger majeur que présente la force de dissuasion nucléaire de la France. Ce danger, interpelle de hauts responsables quant aux conséquences d’une inaptitude de ce chef d’État, même si ce dernier ne saurait être seul pour appuyer sur le bouton. Aujourd’hui la Covid, et quoi d’autre demain encore nous attend avec l’Ukraine, dont cet irresponsable ne cesse de clamer qu’il affrontera la Russie aux fins de servir son ami Zelensky, lequel bombarde et assassine ses compatriotes de l’Est depuis 2014, comme du côté des Euromaïdan, en arrachant des jeunes de 16 ans à leur famille, avec des milices néo-nazies qui procèdent à des rapts d’enfants dans les rues pour en faire de la chair à canon ? Sommes-nous encore, sous la coupe de Macron, du côté des gentils ?

FIN

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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Sommaire :

I – Alerte à la spoliation des deniers publics !

II – Lorsque les impôts servent l’oligarchie à racketter les forces vives de la Nation

III – De l’illusion à l’échec, le pire reste à venir…

IV – … et le pire vient ici, entre une immigration prédatrice et le leitmotiv martial d’un petit caporal bis aux commandes de la Nation française !

V – Le côté inventif des banqueroutiers en France et dans l’Union

VI – Des postures élyséennes ubuesques qui font honte à la France

VII – Les bacchanales présidentielles

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