infère la nuit des esprits
Par Daniel Desurvire
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La dégénérescence des mœurs
infère la nuit des esprits
Un préalable nécessaire
Pour beaucoup de nos concitoyens qui adoptent l’indifférence, par respect, neutralité ou désintérêt, quant à la vie privée et l’intimité des personnes publiques, sur le fond ils n’ont pas torts. Sauf que, lorsque les goûts sexuels de ces élites ont une proportion à répandre des mœurs et usages dans les populations, à la façon des phéromones entre le monde végétal et le règne animal, l’affaire devient notoire. Il en va ainsi des formules avant-gardistes et attrape-mouches, avec leurs effets de mode délétères dans les esprits fragiles et influençables, voire de pratiques monstrueuses qui se font jour. À l’appui de la communication et du langage woke, l’enseigne LGBT+ glorifie ces tendances marginales, parfois même contre-nature, s’agissant des réassignations de genre. Ces pratiques impactent les plus candides, perméables aux nouveautés, surtout en période de transition préadolescente puis de puberté.
Des collectifs associatifs et des centres de santé sexuel (CSS) proposent leurs services pour appâter les innocents en quête de nouveauté ou de réconfort, s’agissant de questions sur l’orientation sexuelle et d’identité de genre. Le propre de l’hypocrisie de l’État-Macron, c’est de promulguer des lois lénitives pour limiter la casse et se dédouaner, mais à l’opposé sur ce domaine en question, de laisser se propager des enseignes dans la rue, sur l’internet et les spots télévisés, pour inciter les jeunes de maturité sexuelle à consulter des professionnels de la remise en cause de leur sexe naturel, comme le Centre « Nogis LGBRQI+ » de Nantes et partout ailleurs sur le territoire ; tous subventionnés par les bons offices de l’État. Le slogan de ces boutiquiers transsexualistes affiche : « Viens aider pour la Pride ». Si ce n’est pas une incitation, c’est quoi ?
Puis des glissements s’opèrent dangereusement en direction de prétendues solutions chirurgicales de substitution sexuelle, précédées puis perdurées après intervention opératoire, de décoctions hormonales en posologie de fond, promettant des solutions jamais pérennes pour combler l’existence papillonnante de jeunes adultes instables en recherche d’altérité. À la poursuite d’un idéal existentiel par une autre identité, c’est tout le contraire qui se produit pour le néophyte, car sa captation dans un concept en vogue rejettera son originalité naturelle par enfermement doctrinaire. Entretenir sa différence reviendrait plutôt à ne jamais copier des clichés itératifs qui s’imprègnent dans les esprits subjugués, comme de suivre un cheminement qui s’impose par le matraquage infraliminaire des idéations, injectées dans le cortex des prospects.
Devant cette montée en charge des réponses chimiques et chirurgicales contre-nature qui abusent de la naïveté des enfants dysphoriques, incités à perdre leur identité pour ne devenir que des zombies asexués, donc stériles, une résistance s’organise parmi les familles et les citoyens, lesquels réalisent la détresse des transgenres, dont le sexe est bricolé aux hormones et/ou bistouri ? Pour exemple au Texas et en Floride, les électeurs ont obtenu d’interdire aux praticiens ces opérations « trans » sur des enfants, et les parents qui y souscrivent sont poursuivis pour maltraitance.
C’est au nom de prétendues libertés que la novlangue répand dans le public ses attrapes, jusqu’à imprégner la jeunesse candide d’une bien-pensance, qui se refermera sur eux à la façon d’une souricière. Ainsi fonctionne la social-démocratie qui impose ses desseins réducteurs et liberticides sous des dehors libertaires, avec ses modes et dérives, jusqu’à l’acratie (chute régalienne). Ce piège, qui flatte et rassure, fait illusion pour le candidat en quête d’une apparence marginale, tel un genre différencié. Or, dans une réalité feinte, les lobbyistes d’État, ainsi l’HAS, dispensent leurs clichés LBGT+ sous des extérieurs progressistes et libéraux, cela pour tendre vers une collectivisation de désagrégation des individus. Méthodiquement, ces stimuli suscités annihilent le sentiment d’appartenance, l’originalité de chacun, et brouille ses choix de société, car ces conceptualisations exogènes dévorent inconsciemment l’étoffe du sujet.
La promesse d’un libre accès aux différences, qu’exhortent les lobbyistes « trans »*, à l’appui de la Cancel culture, au nom d’un égalitarisme circonvenu, remet en cause la fibre structurelle de la société en se jouant de l’intimité des jeunes ; au détour d’un langage woke flatteur et lénifiant. Croyant adhérer à une sphère distinctive qui les idéalise, une seule voie -honorable, morale et culturelle, se fait accessible pour répondre aux clivages intergénérationnels et genrés des jeunes. Quant aux réfractaires qui résistent à leur absorption, ils se trouvent exclus et diabolisés, car piégés dans le filet inquisitorial du délit d’opinion, au seul motif de conservatisme. Nous en voulons pour exemple, la DILCRAH, une Délégation interministérielle dédiée à la lutte contre la haine anti-LGBT+, « La LGBTphobie (dont la transphobie) désigne toute manifestation de mépris, de rejet ou de haine envers une personne ou un groupe de personnes en raison de son orientation sexuelle ou de son identité de genre, réelle ou supposée ». Cette action menée pour la répression des provocations avec circonstances aggravantes, s’appuie sur l’article 132-77 du Code pénal (loi n° 2017-86 du 27 janvier 2017, renforcé par un décret d’application et d’extension du 3 août 2017). Sauf qu’étymologiquement « phobie », n’exprime pas la haine, le rejet ou le mépris, mais la « peur » ; une sémantique que le rédacteur institutionnel ignore, comme de bien d’autres savoir !
Cette course vers de pseudo-libertés répandue par les transactivistes* qui imposent leur intolérance, et que diffuse la propagande d’État, est donc tracée dans les méandres d’un parcours balisé par cette nouvelle pensée unique. Ces choix apparents sont absorbés et convergent vers la même sphère d’influence : tout accepter et ne rien opposer ou dire contre une pratique contre-nature. De sorte que des groupes de pression s’imposent à l’aide d’incitations idéologiques que déverse un pouvoir dominant, lequel dispose de tous les médias vendus aux subventions, donc serviles.
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C’est dans le contexte étroit et sélectif d’un style comportemental, que s’insèrent, dans le cortex des jeunes des vibrations formulées avec des prêt-à-penser attrayants. Mais en bout de course, le politiquement correct se fait incontournable, s’étayant d’implications discriminatoires qui versent dans le non-obligatoire mais l’obligé ; ainsi en fut-il des vaccins-Covid durant la crise sanitaire qui ne fut qu’une mascarade. Tout le contraire est banni et frappé d’ostracisme. Ce Goulag mental fait du libre-penseur un sujet d’infox, car la vérité est déjouée pour verser du côté de l’avoir et du pouvoir. Subrepticement, il s’installe le ressenti d’un mal-être, ou d’un mal de vivre indéfinissable, que l’on ne s’aurait autrement imputer qu’à une campagne d’atomisation des valeurs sociales. Il s’agit d’annihiler la personne au tréfonds de son statut individuel, puis de contrôler l’initiative et le libre-arbitre, en gardant la mainmise sur la culture et les droits fondamentaux.
Aux fins de désintégrer l’essence des racines judéo-chrétiennes des nations sur le vieux continent, il s’agira aussi d’ébranler ses assises démocratiques et laïques. Voilà que se réinvente la « Grande purge stalinienne », certes sans la torture et les exécutions sommaires, maisoù l’illusion de liberté et d’égalité l’emporte sur une réalité que l’on ne saurait ni voir ni entendre, puisque rien ne transpire d’autre dans le public fasciné, depuis la Tv à la presse subventionnée. Ainsi, les diffusions directes sur TNT sont interdites par l’Arcom pour être visualisées et écoutées avant leur autorisation à l’antenne ou à Radio-France. Les producteurs indociles se font retirer leur fréquence d’émettre, et les éditeurs se voient infligés un berlusconisme fiscal qui financièrement les écrase.
Il s’agit d’abord, pour les mercenaires de l’Arcom, de se donner le temps de tout lire, tout voir et tout entendre avant d’accepter, sinon de flouter ou de censurer une émission ou une publication. Cette résurgence de la Stasi s’accommode encore mieux avec les moyens du numérique, de l’IA et de la 5G. Il en va ainsi avec la presse, l’audiovisuel et autres canaux de l’information et de la communication numérique. Voilà l’idée générale de cet ouvrage, où l’auteur risque à tout moment le couperet des ciseaux d’Anastasie. Fort de ce laissez-faire entretenu par l’État-Macron, la presse servile informe à sens unique, et la justice est remisée au placard. Sous le fer de d’absolutisme, les barbouzes de l’Arcom et des sleeping giants se déchoient à la faveur de la désintégration régalienne du pays au muséum de la démocratie. Ces miliciens se dispensent de commissions rogatoires pour procéder à leur sale besogne censoriale ou confiscatoire.
Ils se font les maître-à-penser d’une dictature en marche ; une renaissance du régime de Vichy, puisque l’occupant, qui a élu domicile à l’Élysée, prend toute la place et s’octroie tous les droits, jusqu’à faire vaciller les fondements de la sacrosainte Constitution. Non, la France, placée sous le joug autoritaire et inquisitorial de l’État-Macron, n’a plus l’étoffe d’une démocratie. Le psychiatre Adriano Ségatori s’en exprima ainsi : « Les personnes dotées de raison doivent avoir peur quand un président dit textuellement qu’il veut emmerder les non-vaccinés, et dit littéralement : nous limiterons l’accès aux non-vaccinés à la vie sociale en tant que non-citoyens ». À ce jour, pour la presse, le livre, les auteurs et les philosophes, ce vaccin est devenu l’encre de la plume.
A SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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Sommaire :
Un préalable nécessaire
a) Lui ou Elle … qui suis-je ?
b) Que dit l’histoire à propos de la famille et des violences sexuelles ?
c) Lorsque la nature du couple présidentiel devient un secret d’État
d) La règle d’or est une éthique de réciprocité, et la morale un art de vivre
e) Une terrible confusion : l’idiosyncrasie d’un chef d’État sous les feux de la rampe
Woke et LGBT+, et la charge présidentielle
f) La génétique de l’homosexualité
g) La folie « trans » dans un monde politique qui absorbe tout ce qui brille
1°) La résistance des femmes contre les assauts des « trans »
2°) Quand le lobbying pour la réassignation des genres se fait le rouleau-compresseur de la société traditionnelle
3°) La HAS sous le regard de la justice
4°) L’Adn et le bon sens au secours du genre humain
h) Lorsqu’une loi dédaléenne est promulguée pour défaire un droit équitable
i) La déchéance de la France porte un patronyme : « l’Erreur » incarnée par un chef d’État
En conclusion
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