infère la nuit des esprits
Par Daniel Desurvire
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La dégénérescence des mœurs (a)
infère la nuit des esprits
a) Lui ou Elle … qui suis-je ?
En incrustant dans le mental perturbé des plus fragiles, l’idée qu’ils peuvent muter de sexe, le risque est grand de répandre une imprégnation forte jusqu’à contaminer la prime génération depuis les collèges et lycées. Et c’est là que s’échangent des ressentis que des enfants ne comprennent pas, mais qu’ils parviennent à s’inventer pour eux-mêmes dans une société permissive, au nom d’un laissez-faire débridé. Le processus de cette prise de conscience « trans » sous l’acronyme LGBT+ commence par le questionnement, puis prend forme dans la tentation, puis enfin dans l’obsession jusqu’à la détresse qui s’installe dans les familles. Les changements de prénom de certains élèves, qui permutent d’identité sexuelle durant une année scolaire, ne sont plus des faits rarissimes, car il s’en compte parfois jusqu’à 2 par classe. S’agit-il d’une tentation sous l’impact de publicités LGBT+ incitatives, agrémenté d’un spot Tv, une exploration de l’inconnu, sans pulsion métabolique ni de ressenti existentiel, mais que conditionnerait une approche « trans » ?
Trop jeunes pour être capables de discerner un artifice d’une réalité sexuelle, mais surtout de se projeter dans l’avenir et de peser les conséquences d’une tendance exogène, la victime sera éconduite par une prise en charge endocrinienne et/ou chirurgicale. Celui-là ne peut en saisir les réelles implications, possiblement issu de cellules familiales recomposées, donc disloquées. Ipso facto, il s’installe insidieusement une perte des notions élémentaires d’identité et de normalité, de repères par dispersion ou implosion du foyer familial. Le démantèlement des statuts sociaux, les couples à orientation mixte, et la polygynie ʾislāmique y contribuent. Puis par évasion, un intru s’invite dans le cortex du jeune gagné par aboulie (la folie du doute), d’où le ressenti d’un « trans » qui se met à germer sur l’appareil naturel du genre depuis le cerveau d’un gamin contaminé par le lobby LGBT+.
Et là, le mal-être incrusté dans la folie du doute (aboulie) d’un jeune en état d’incertitude et gagnés de contradictions, sera pris en charge par les institutions, y compris par la Sécurité sociale qui financera la destruction d’un corps, comme s’il s’agissait d’une maladie. Gageons que cet épiphénomène n’est pas de source virale ni ne provient d’une lésion métabolique, mais d’un dérèglement psychique induit et canalisé par l’imprégnation forte de clichés LGBT+ déviants. Ce conditionnement découle d’une contamination des esprits par un wokisme prédateur, lequel profite de la faiblesse psychologique de jeunes et de leur manque de connaissance, pour s’enchâsser dans leur cortex. Par cette confusion psychosomatique, légiférée et réglementée, voire incitée, tout se mélange dans l’idéation des jeunes qui ne veulent ou ne peuvent plus se reconnaître pour ce qu’ils sont vraiment, dans la confusion d’une identité reçue. La nature serait-elle si laide ou imparfaite, que l’on veuille la déformer, la convertir pour la flétrir ? L’homosexualité pourtant acceptée n’y suffit plus, car il faut désormais trancher dans le vif des organes sexuels. Tout se contrarie, et les standards de la famille sont désinstitutionnalisés.
Quant à ce glissement des futurs transsexuels vers une conversion irrémédiable, comprenons que ces imprudents refusent de correspondre à l’habitacle de leur corps perturbé, jusqu’à provoquer une sorte d’apoptose métabolique (l’autodestruction cellulaire). Changer artificiellement de genre sexuel par injection d’estrogènes ou de testostérones, puis d’ablation et de reconversion de leur appareil génital, c’est ne plus jamais avoir d’enfant naturel, sinon par des procédés alambiqués in vitro ou ectopique (extra-utérin), de l’un des parents porteurs, insémination et adoption. Des combinaisons existent, mais pourquoi ces charcutages pour inverser une nature originelle, parfaite et fiable ?
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Le démembrement du concept napoléonien de la famille suppose une stigmatisation socio-culturelle du XXIème siècle, laquelle pourrait justifier de telles dérives, en retenant que le statut domestique de la femme méritait certes mieux, et davantage que de procréer et d’élever des enfants, puis de vaquer à des travaux domestiques. Mais en réponse inadéquate, cette fragmentation sociétale se fait l’œuvre d’un progressisme débridé, avec pour conséquence de renverser les standards du droit et de l’éthique élargis et/ou renversés par une propagande mondialiste fourre-tout. Cette voie viciée vers une déstructuration sociale, et peut-être demain génomique, œuvre pour introduire un libéralisme de désintégration identitaire, autant dans les mœurs que dans la sacro-sainte famille traditionnelle, à ce jour frappée d’oikophobie. Cette société revisitée tend à annihiler les assises naturelles de l’espèce, avec ce vent « trans » sous les jupes LBGT+ et la déconstruction de Macron qui y participent.
Ce catalyseur d’une révolution sociogénétique fut aiguillonné par vaccins à vecteur Arn messager, en appuis sur le précurseur SARS-CoV-2 ; un frankenvirus fabriqué en laboratoire par des apprentis-sorciers. Qui à ce jour peut mesurer les désastres à venir en termes de démographie, de verticalité génomique et de futur anthropologique ? Par ailleurs, si les cités grecques, à l’ère de Périclès, s’accommodaient de l’homosexualité, cela autorisait les élites et philosophes sous l’Acropole à éduquer des éphèbes, à sponsoriser les athlètes et à contribuer à l’effort martial. Néanmoins, cette brillante civilisation n’échappa pas à son déclin ; une décadence de mœurs partagée avec l’Empire romain pour des motifs idoines. Que devient ce monde sexuellement altéré, où la société hétéro-cisgenre, dans cette valse transidentitaire, cohabite dans l’indifférence avec des zombies impuissants, car affreusement mutilés ?
Depuis cette dernière décennie, parmi quelques pays d’Occident, le chef d’État s’engagea de façon plutôt énigmatique à vulgariser sa propre conception du couple LGBT+ dans la société française, nonobstant sous des dehors quelconques, au motif dissimulé de dévaster le symbole familial en répudiant les valeurs coutumières. Pour ce faire, le secret de Polichinelle de son couple devait résolument demeurer un secret d’État, car la charge présidentielle s’accommode mal avec des mœurs marginales, que le conservatisme majoritaire du corps électoral ne saurait accepter. Il en coûte que ces dissimulations par mauvaise conscience, confine aussi à la malhonnêteté de ce candidat, qui lors de ses campagnes suborna ainsi les électeurs. Sur ce registre, où la frustration participe du mépris, une campagne LGBT+ s’organisa en provocation au décor napoléonien (NE) du Salon doré de l’Élysée, à dessein d’exploser le Code civil promulgué le 21 mars 1804.
Face à la dispersion des ordonnances royales sous l’Ancien Régime, au registre du droit des personnes et de la structure juridique des familles, il fallut au sénatus-consulte (14 thermidor de l’an X ou 2 août 1802) du régime impérial de France, rendre une cohérence matérialisée et consultable pour les citoyens au système juridique dynastique puis révolutionnaire. Pour ce faire, il fallut abroger l’Ancien Droit issu des lois romaines et coutumier, que le droit oral, prétorien ou jurisprudentiel, ne pouvait alors plus suffire pour répondre aux nécessités d’une société administrée. Cependant, la résurgence des mentalités machistes et ses pratiques violentes apparurent sous d’autres hospices, avec des changements fréquents et sans transition, donc maladroits d’une législation à l’autre, pour tenter de coller au plus près avec les mœurs et les traditions populaires. Il en découle que l’inceste et le viol sont confondus d’incertitude, quant à classer ces brutalités au degré d’infractions délictuelles, dans le fouillis des normes d’âges et de circonstances, ou plus gravement dans celles des sanctions criminelles, où les délais de prescription diffèrent.
Cette dernière décennie, les mœurs LGBT+ semblent s’accommoder de toutes les dérives et de tous les goût, en se parant des vertus libertines, dont certaines sont précisément propagées par le parangon de l’Élysée. Ce pourquoi, Macron et son épouse, quelle que soit l’appartenance sexuelle de cette dernière, se trouvent placés dans une situation tellement ambiguë, non en droit mais en politique, que la mystification se fait imposture, à défaut de confiance pour le Peuple, auquel le chef d’État y préfère l’attachement à sa fonction. Ce pourquoi cette Présidence s’acharne à modeler les citoyens à son image, d’où pétrir les institutions sociales dans le modèle de son enseigne intime. Adapter un électorat à l’idiosyncrasie du couple présidentiel n’est pas une mince affaire, d’où la censure indéfectible et inique de l’Arcom, pour tout ce qui évoque un malentendu sur la nature de ce binôme élyséen ; tel un tabou que l’on ne saurait voir et en transgresser les reliefs par la plume.
La commentatrice Nord-américaine Candace Owens, reconnue pour son militantisme contre le cyberharcèlement, publia une vidéo sur le thème détonnant de « Brigitte Gate », qu’elle titra « Le plus grand scandale politique de l’histoire de l’humanité ». Pour illustrer sa campagne censée divulguer une supposée vérité cachée, la vedette nationale de l’écran US fit imprimer des milliers de teeshirts à l’effigie de la Dame de France. Relayée par le « Time », l’estimable éditorial newyorkais afficha le portrait de Brigitte Macron en l’élevant au pinacle de « L’Homme de l’année » ! La revue Nexus du 15 janvier 2025, un journal d’information indépendant, affiche Candace Owens exhibant sur le teeshirt de sa poitrine ladite couverture du Time susmentionné, toujours visible sur la toile et des millions de fois exhibée. Sauf que sur l’Hexagone, les médias Français, plutôt dans la gêne, s’efforcent d’ignorer ce que la plupart des nations étrangères savent et commentent, pour la raison que rien ne s’écrit ni ne se diffuse ou s’entend à ce propos, sous la garde rapprochée des sentinelles de l’Arcom.
A SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Sommaire :
Un préalable nécessaire
a) Lui ou Elle … qui suis-je ?
b) Que dit l’histoire à propos de la famille et des violences sexuelles ?
c) Lorsque la nature du couple présidentiel devient un secret d’État
d) La règle d’or est une éthique de réciprocité, et la morale un art de vivre
e) Une terrible confusion : l’idiosyncrasie d’un chef d’État sous les feux de la rampe
Woke et LGBT+, et la charge présidentielle
f) La génétique de l’homosexualité
g) La folie « trans » dans un monde politique qui absorbe tout ce qui brille
1°) La résistance des femmes contre les assauts des « trans »
2°) Quand le lobbying pour la réassignation des genres se fait le rouleau-compresseur de la société traditionnelle
3°) La HAS sous le regard de la justice
4°) L’Adn et le bon sens au secours du genre humain
h) Lorsqu’une loi dédaléenne est promulguée pour défaire un droit équitable
i) La déchéance de la France porte un patronyme : « l’Erreur » incarnée par un chef d’État
En conclusion
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