infère la nuit des esprits
Par Daniel Desurvire
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La dégénérescence des mœurs (b)
infère la nuit des esprits
b) Que dit l’histoire à propos de la famille et des violences sexuelles ?
Non, la France n’est pas prête à abandonner les standards de la famille traditionnelle au profit de l’enseigne LGBT+. A fortiori un tel dévoiement autour des orientations sexuelles marginalisées, d’identité de genre inversée, de bisexualité ou d’intersexualité, en particulier depuis les plus hautes responsabilités de l’État, se vulgarisent de nos jours de façon outrancière depuis les territoires de l’Union. Cet effet de mode se révèle plutôt incitatif, avec des débordements aux excès multifactoriels, entre les bacchanales et la polytoxicomanie. Nombreux sont les pays où de tels retournements de genre, comme la masculinisation ou la féminisation d’un prénom à l’école, sont interdites voire criminalisées. La tapageuse « Marche des fiertés », dont les premières manifestations remontent aux émeutes de Stonewall dans la nuit du 27 au 28 juin 1969 aux États-Unis, préludèrent ces mouvements, pour commémorer et fêter l’évènement « Lesbian & Gay Pride », mais en y ajoutantles dérives LGBT+. Ces tonitruants et colorés cortèges festifs, carnavalesques et constellés de tenues provoquantes aux musiques fracassantes, sont de nature ludique, quoiqu’en toile de fond à connotation politique et contestataire.
De fait, dans les coulisses de ces mises en scènes pittoresques, se dessine encore, en toile de fond, une lutte farouche contre le conservatisme d’une normalité hétérosexuelle et familiale, que retiennent les racines civilisatrices de notre histoire multimillénaire. Si l’orthodoxie conformiste est une constante dans les religions, ce statisme cultuel sert toujours de garde-fou pour maintenir une rigueur, dont la décence et la morale. Certes, l’essence ontologique des croyances antédiluviennes stratifie les comportements, car ce sont habituellement les changements qui dérangent les habitudes, et la peur qu’inspire les tabous qui garantit l’ordre social. De surcroît, le spectre coupable de Sodome et Gomorrhe reste bien enraciné dans les esprits chrétiens depuis la chair de nos prédicateurs ; un conservatisme qui durera aussi longtemps que la prohibition du mariage des prêtres et magistères catholiques, depuis le concile de Latran en 1139.
Reste que 32 pays dans le monde, en majorité des théocraties ʾmusulmānes, condamnent et châtient l’homosexualité par l’emprisonnement, la torture, voire la mort infligée dans le déshonneur et la théâtralisation des exécutions comme en Afghanistan. Les Talibans scellaient l’anus des homosexuels à la colle cyanolite, après leur avoir fait ingurgiter des laxatifs, pour les voire se tordre dans de terribles convulsions jusqu’à la perforation mortelle des intestins (Sources : Human Rights Watch et OutRight Action International). Autant dire que les pratiques « trans » dans l’EGBTisme+ n’y échappent pas, sachant que seulement 25 États dans le monde, sur 193 pays ayant un siège à l’ONU, permettent aux personnes transgenres de changer d’état civil, en rapport avec leur nature physique modifiée. La difficulté de cette acceptation administrative, donc politique, résulte de visibilité, soit visuelle, soit biométrique, qui rend techniquement suspecte la personnalité du « trans », dans ses déplacements, sachant que changer de nom relève d’une normalité pour une femme mariée.
Bienheureusement, la recherche de l’égalité des genres et la dépénalisation de l’homosexualité étant à ce jour, dans la plupart des pays occidentaux, un droit acquis, il reste qu’une très large majorité des pays sur la Planète n’est pas alignée aux mariages de personnes de même sexe, a fortiori aux pratiques « trans » :
- 19,8 % de la population mondiale composée dʾislāmistes s’y opposent farouchement par la crainte de leur divinité ombrageuse.
- La Thora prohibe les travestissements et la détérioration des organes génitaux.
- Le christianisme juge l’idéologie néfaste du genre trans, dont les catholiques qui refusent, aux yeux de l’Église, la théorie du genre, en retenant que le Pape Benoît XVI avait explicité : « qu’estomper la distinction entre un homme et une femme constitue un risque de destruction de la race humaine ».
- Les cultes tantriques, de nature polythéiste et animiste, sont partagés quant à leur histoire cultuelle et traditionnelle, comme les transgenres indiens qui se marient rituellement d’abord avec leur divinité, en accord avec leur croyance au cycle des causes qui unit des êtres sensibles.
- Historiquement apparu à Chypre, l’Antiquité grecque avait donné le ton sur l’appareil bisexué du personnage mythologique Hermaphrodite.
Mais en France, que reste-t-il donc encore à revendiquer, puisque tout fut accepté, légiféré et réglementé, contre peu de circonstances et de faits pénalisés ? En tout état de cause, et contre l’opinion d’une grande majorité des citoyens, le bistouri fut autorisé pour changer le sexe des volontaires. Dans les familles, il en ressort une répugnance justifiée pour cette pratique monstrueuse, que peu de parents oseraient souhaiter pour leurs enfants perdus dans les fantasmes transsexuels, dont homosexualité qui n’y suffit même plus. Mais le législateur aura cédé à cette infime minorité de cette demande atypique, aux fins de se faire rectifier au scalpel ; une excentricité qui se répand néanmoins comme une trainée de poudre dès les classes d’études secondaires ; et là rien ne va plus !
À l’appui de cette dérive, les ostentations marginales de l’Oligarque français depuis son investiture en 2017 prévalent sur l’opinion de ses concitoyens, qu’il redoute aux urnes, plus qu’il ne les respecte. Si le mariage homosexuel s’est répandu dans le monde, et n’appelle plus guère de réactions hostiles, comment croire que ces traditionnelles célébrations juridiques (articles 63 à 76 du Code civil) aient été nécessaires, alors que le « Pacs » aurait dû y suffire. Aucune famille découlant de l’acte marital, établi par un officier ministériel, ne portera le vrai sens solennel d’une famille naturelle, pour ne pas dire normale, si l’on s’en tient à la faveur des enfants qui naissent dans un environnement coutumier, entre mère et père d’union sexuelle hétérogène. Cependant, avec une ascendance respectueuse de ce principe historique, transmettre ce conservatisme n’est pas une atteinte aux libertés, ni une intolérance au plein sens du terme, mais un gage d’assurance pour une stabilité sociale.
Comment la transsexualité pourrait promettre à la société de demain la même harmonie en osmose avec la nature, dès lors que ces individus sont en désaccord avec leurs propres attributs ; un caractère sexuel acquis à leur naissance, précisément qu’ils doivent à ceux qui les ont enfantés ? Au sens du droit et de l’éthique, le conformisme traditionnel de la famille reste un gage de sécurité et d’honorabilité encore de nos jours, pour un bon nombre des citoyens nationaux. Cette résistance remonte notamment au code de 1804 du premier Empire. La famille était alors perçue comme le relai du pouvoir régalien, soucieux de mettre en place une société où l’ordre règne : « Le mariage est l’institution qui donne un père aux enfants que les femmes mettent au monde … Nous avons voulu promouvoir l’esprit de famille qui est si favorable » écrivit Portalis, l’un des rédacteurs dudit Code.
Il fallait certes impérativement parvenir un jour à dénoncer ce patriarcat tenace du chef de famille, et restituer à la femme l’égalité de genre dans toutes les sphères de la société moderne, dite civilisée et démocratique. Mais après la libéralisation de la femme (droit de vote du 21 avril 1944, son émancipation bancaire par une loi du 13 juillet 1965, l’IVG par une loi argüée du 17 janvier 1975), de la légalisation de l’homosexualité et la réparation judiciaire des victimes de cette ségrégation par une loi du 4 août 1982 (n° 82-683), il restait aux transactivistes à renverser le dernier bastion de Dame nature, d’où le droit à changer, par chirurgie et/ou biologie de sexe. Notons que la loi susvisée, qui abrogea l’article 331, alinéa 2 du code pénal, dispose que les actes impudiques, et contre nature, commis avec un mineur du même sexe ne seront plus punis de peines correctionnelles, ce qui n’exclut nullement les actes répréhensibles de violence sexuelle et des viols, car faut-il encore que le mineur soit consentant, a fortiori avant sa seizième année.
Cependant, la marge pénale vient ici de fondre en peau de chagrin. Quant à l’homosexualité, un yoyo juridique déclina une première phase provisoire de dépénalisation durant la Révolution française, puis un retour à la discrimination durant le régime de Vichy le 6 août 1942 sous l’emprise du nazisme (incarcération dans 90 % des cas jusqu’en 1992, d’où ladite loi de réparation). Puis le renouveau d’une légalisation, sous la législature de François Mitterrand, aura remis la pendule à l’heure révolutionnaire. Mais à ce stade avancé des réformes, rien ne va plus, car à trop vouloir instaurer de droits égalitaristes jusqu’à l’anarchie, le chaos s’installe, faisant de ce paradigme libertaire des incohérences de choix fugitifs qui se contrarient dans le chevauchement des situations. Enfin, l’article 1er de la loi n° 2008-496 du 27 mai 2008 (modifiée à l’article le 70 de la loi n° 2017-256 du 28 février 2017), qui définit toutes les formes de discrimination et les inégalités de traitement, inclut « l’identité de genre » à l’orientation sexuelle en termes de protection juridique.
Raymond Aron explicitait que : « L’égalitarisme doctrinaire s’efforce vainement de contraindre la nature, biologique et sociale, et il ne parvient pas à l’égalité mais à la tyrannie ». Il ne fait aucun doute que l’égalité homme-femme relevait d’une nécessité impérieuse dans un régime constitutionnalisé. De même que l’homosexualité ne pouvait plus être considérée comme un délit, pas plus que le concubinage. Mais il aurait fallu que le législateur marque un coup d’arrêt dans cette course anarchique aux libertés, qui dans le fond n’en est pas une, mais une surenchère d’avancées sociétales pour céder aux extravagances nourries de provocations et de perversions. S’il est notoirement admis que le Pacs avait sa place dans sa formulation entre partenaires de même sexe, mais un contrat également ouvert aux hétérosexuels, le mariage civil entre ces premiers semble plutôt un anachronisme à cette association conjugale hors normes, et « contre nature » selon la définition du Code civil ancien.
A SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Sommaire :
Un préalable nécessaire
a) Lui ou Elle … qui suis-je ?
b) Que dit l’histoire à propos de la famille et des violences sexuelles ?
c) Lorsque la nature du couple présidentiel devient un secret d’État
d) La règle d’or est une éthique de réciprocité, et la morale un art de vivre
e) Une terrible confusion : l’idiosyncrasie d’un chef d’État sous les feux de la rampe
Woke et LGBT+, et la charge présidentielle
f) La génétique de l’homosexualité
g) La folie « trans » dans un monde politique qui absorbe tout ce qui brille
1°) La résistance des femmes contre les assauts des « trans »
2°) Quand le lobbying pour la réassignation des genres se fait le rouleau-compresseur de la société traditionnelle
3°) La HAS sous le regard de la justice
4°) L’Adn et le bon sens au secours du genre humain
h) Lorsqu’une loi dédaléenne est promulguée pour défaire un droit équitable
i) La déchéance de la France porte un patronyme : « l’Erreur » incarnée par un chef d’État
En conclusion
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