infère la nuit des esprits
Par Daniel Desurvire
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Temps de lecture = 10 minutes
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La dégénérescence des mœurs (d)
infère la nuit des esprits
d) La règle d’or est une éthique de réciprocité, et la morale un art de vivre
Ne pouvant pas indéfiniment dissimuler une nature, ce fut sous les ovations et les contorsions de Brigitte Macron, fredonnant et se trémoussant à pas heurtés sur le perron de l’Élysée, que la Présidence française accueillit des exhibitions Gay Pride dans la cour d’honneur de l’Élysée, comme à l’occasion de la fête de la musique le 21 juin 2018. Une vidéo Le Figaro aura même taxé l’Élysée de « dernière boîte à la mode » ! Emmanuel Macron invita des associations LGBT+ le 20 novembre 2018 au Palais présidentiel, en présence de Marlène Schiappa, pour s’émouvoir des agressions LGBTphobes. N’est-ce pas ce même Exécutif élyséen qui autorisa la journée internationale de visibilité transsexuelle (TDoV pour Trans Day of Visibility), pour célébrer cet évènement désormais récurrent les 31 mars annuels ? N’est-ce pas aussi exactement ces pensionnaires de l’Élysées qui ovationnèrent jusqu’à l’hystérie depuis la tribune d’honneur, les trois drag-queens Nicky Doll, Paloma et Piche, lesquels animèrent l’ouverture de la cérémonie des Jeux olympiques à Paris 2024 ? Les occasions ne manquent pas pour susciter l’interrogation relative à l’intérêt prononcé des époux Macron pour ces manifestations LGBT+.
Alors pourquoi les résidents à l’ancien Hôtel d’Évreux, s’effarouchent-ils de se voir assimiler à ces extravagances au sujet d’une probable volte-face de genre ? Pourquoi ce chef d’État, le vendredi 8 mars 2024, a pris la peine de démentir, avec des propos indignes, les rumeurs qui courent sur le genre masculin présumé de son épouse, plutôt que de les ignorer avec le mépris que mériterait ce mensonge s’il en était un ? Ipso facto, pourquoi Brigitte, alias (?) Jean-Michel Trogneux, s’offusque-elle lorsque ce parallèle transidentitaire est subodoré à son endroit, alors que la Présidence de la République est l’incitatrice de cette mode, sinon le promoteur, et mieux encore le second législateur après François Hollande ? (Refonte de l’article 60 du Code civil [relatif au changement de prénom à l’état civil, d’où la facilitation accordée pour les personnes dysphoriques de genre] par l’article 56 de la loi n° 2016-1547 du 18 novembre 2016 de modernisation de la justice au XXIème siècle, réajustée par la loi n° 2022-92 du 31 janvier 2022 interdisant les pratiques visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne)
Reconnaissons que cette dernière réforme fut adoptée à dessein de freiner l’impact péjoratif de cet engouementpour la transidentité, dont le succès inattendu pose un vrai problème de société, avec de fâcheuses retombées sur la santé des « trans ». Cette vogue exerce assurément une fascination exacerbée etdéstructurante sur un jeune en âge de transition dans sa chair et son esprit, quoiqu’en peine de décoder les sensations de son genre physique, de sa pilosité et des troubles qui agitent sa fibre sexuelle. Devant les tribulations juridico-médiatiques de l’environnement LGBT+ et woke, ce monde verse dans le délire des mutations organiques. Un tel transport des sens, lorsqu’il s’accompagne de possibilités chirurgicales promises pour une réattribution sexuelle, active l’excitation d’une métamorphose corporelle, laquelle peut être vécue comme une métempsychose, voire un jeu par un adolescent qui n’y voit qu’une expérience.
Pris dans les mailles d’une indétermination, l’adolescent, en phase de transformation naturelle, pourrait se voir transposer dans un jeu de rôle, propulsé dans la peau d’un personnage de vidéo ludique en réalité alternative, confondu entre l’uchronie et la vraie vie. Sauf que là, il ne s’agit nullement d’une simulation, mais d’un voyage dans l’inconnu sans retour. Souvent pour le prospect, il ne s’agit pas d’une prédisposition hormonale à caractère homosexuel ; un état médian qui obéirait à des pulsions érotiques dans la fièvre d’un corps sexuellement opposé. Il arrive que des enfants en âge de s’interroger sur leur propre nature sexuelle, pensent souffrir d’une inadéquation entre leur genre vécu/ressenti et leur sexe biologique, le déclencheur pouvant être l’incitation sans autre vécu que les clichés LGBT+ ; et là se pose le véritable danger.
Ce rétropédalage politique du législateur du 31 janvier 2022 fut la prise de conscience de cet impact délétère sur le mental de certains jeunes, sachant que toute nouveauté qui scintille dans l’imaginaire, agit comme un déclencheur émotionnel, à la façon, d’un stimulus hypnotique dans une phase de transition chez les adolescents. Les jeunes sont plutôt réceptifs aux effets de mode et aux exhibitions démarquées du statut normatif qu’imposent les schémas sociaux de règles bien établies. Les conflits de générations en sont des exemples douloureusement vécus par les parents. Or, cette fascination compulsive pour le changement, que proposent les mouvements LGBT+, et que la loi désormais autorise voire galvanise, impressionne l’imaginaire et l’évasion, à un âge où l’on se découvre des sensations physiologiques et des émotions fortes.
Mais cette loi de 2022, sinon pour dédouaner ses instigateurs des risques induits par les réassignations sexuelles, n’aura en rien amélioré la protection des jeunes. Pour ses promoteurs, il s’agit d’une diversion stratégique pour se soustraire de l’intérêt que ceux-là portent sur la dysphorie de genre. En l’occurrence, les institutions sociales et associatives incitatrices à la transition LGBT+ ont pignon sur rue, et harcèlent la jeunesse qui se sent en perdition, de la même manière que procèdent les sectes dangereuses. Les boutiques pour accueillir les candidats à une conversion « trans » font désormais pléthore, ainsi les codes de l’éclairage bisexuel dans les thématiques coming-out des queers, gays, lesbiennes et trans. Tout cela risque fort d’imploser une jeunesse en mal de stabilité, poussée dans les retranchements de fausses solutions, de réconfort par promesse d’une meilleure vie, en passant par des idéations « trans », mais dont la chute sera abominable, comme l’assuétude pour une potion psychédélique.
Comparable aux activeurs triggers warning, c’est en éveillant des pulsions à l’âge où se produit la puberté, que des réactions psychophysiologiques impulsives difficiles à réguler, peuvent catalyser les esprits durant la période de maturité sexuelle. Une décompensation psychotique peut alors installer un doute entre l’appréhension du genre d’un individu en mal-être, ou dans le besoin de se démarquer. De sorte que des phantasmes « bi » ou « trans » se répandent dans la confusion de bouffées délirantes, et de sensations induites par des transactivistes à des fins doctrinaires ou mercantiles. Une manne de profits juteux s’est offerte pour des praticiens peu scrupuleux, psychologues et adeptes du bistouri dans les cabinets de chirurgie esthétique. Il ne s’agit plus de médecine, mais de destruction d’individus abusés, à qui l’on voudrait offrir la panacée à coup d’hormones et de bricolages sexuels, dans le siège d’un désir qui sera à jamais écrasé par un charlatanisme légalisé en droit.
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En revenant à ce changement de paradigme juridique et sociétal, il ne saurait désormais être admis comme insultant de qualifier quelqu’un d’homosexuel de pervers ou de travesti, sauf usage d’un vocabulaire blessant. Alors pourquoi Brigitte Macron aurait-elle honte d’avoir changé de sexe ou pas, jusqu’à engager des procès truqués contre deux de ses concitoyennes, voire menacer une journaliste people américaine à la recherche d’un fait controversé ? En opposant des répliques cinglantes et comminatoires hors de propos, pour faire taire ces rumeurs sans portée blessante ni intérêt national, l’épouse de Macron ne fait que leur restituer une audience ? De telles réactions s’avèrent suspectes, troublantes et pathétiques ! Ne serait-ce pas plutôt qu’Emmanuel Macron n’aurait sûrement jamais été élu chef d’État, si ce pieux mensonge avait été révélé lors de ses campagnes présidentielles, ou même s’il avait eu l’audace de rendre public cette réalité subodorée, qui certes n’aurait certainement pas été du goût d’une grande majorité des électeurs français ?
Les dissimulations du chef de l’Élysée ; entre ses comptes de campagne, la déclaration de son patrimoine et de la réalité de son couple, sont autant de pratiques disqualificatrices à son investiture, une duplicité envers les électeurs circonvenus. Doit-on accepter que la plus haute charge de l’État soit altérée par de telles mystifications ? Que sommes-nous loin de la probité exigée outre-Atlantique à la White House, lorsque Bill Clinton frôla la démission, face au risque d’une destitution pour avoir menti sous serment sur ses relations intimes avec une collaboratrice, Monica Lewinski ! Entre le droit d’expression, la probité morale et le respect des électeurs, la France a tout à envier à la démocratie américaine, notamment avec le Premier amendement sur la liberté d’expression, ou la règle procédurale de l’Impeachment qui condamne le mensonge d’un président américain, comme dans l’affaire du scandale du Watergate en 1974.
Loin de l’éthique politique, de la bienséance et du protocole de l’Oncle Sam, quels évènements pourraient excuser les écarts de langage, les avanies et les menteries à répétition du chef d’État français envers ses concitoyens (Voir p. 71/72 et 81, « Si la France pouvait parler… », en bibliographie in fine). Outre son incompétence dans la gestion du pays mis à sac pour satisfaire ses capricieux délires de guerre, la France est moquée par la communauté internationale. Les rancunes de ce chef d’État envers ses compatriotes, que l’Arcom – son chien de garde – censure sans procès ni égard à la moindre réponse négative à son endroit, fait écho à ses échecs qui constellent chaque étape de ses mandats. Au syndrome d’hubris, son trouble borderline et les penchants révélateurs du couple présidentiel autour d’une mode LGBT+* ; le tout frise une altération comportementale, ajoutant au désordre orchestré depuis le 55 rue du faubourg saint-Honoré, sur une société qui se perd dans les méandres de familles démantelées, d’une démocratie dans le déclin et d’une Présidence sans honneur ; là où la débauche et le vice se répandent à la faveur du tout-laissez-faire.
Pour exemple, toujours du côté du palais de l’Élysée, rode une étrange créature au parcours glauque. Ainsi, Michèle Marchand (dite Mimi) fut en garde à vue le 5 juin 2021 pour subornation de témoin, mise en examen pour association de malfaiteurs, placée en détention provisoire le 18 juin suivant, puis de nouveau écrouée le 12 août 2021 pour recel, extorsion et détention de stupéfiants… cette ancienne épouse du braqueur Maurice Demagny (alter ego de Jacques Mesrine) fut incarcérée dans les années 1980 pour falsification, vol et émission de chèques sans provision, faux et usage de faux en écriture, ainsi que pour avoir transporté une ½ tonne de cannabis. Possible que l’Élysée soit l’endroit des absolutions, dont le business people de Mimi (revues lubriques, club de rencontres…), etgrande amie de Pierre Palmade accro aux stupéfiants et à la sexual debauchery. Pour sacrer cette célébrité de la photo hard, surnommée l’« Écurie des paparazzis », cette conseillère, accréditée par l’Élysée, fut photographiée en juillet 2021 derrière le bureau présidentiel en exhibant le « V » de la victoire ! Depuis, il règne un silence assourdissant autour de cette relation au sommet du pouvoir.
A SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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Sommaire :
Un préalable nécessaire
a) Lui ou Elle … qui suis-je ?
b) Que dit l’histoire à propos de la famille et des violences sexuelles ?
c) Lorsque la nature du couple présidentiel devient un secret d’État
d) La règle d’or est une éthique de réciprocité, et la morale un art de vivre
e) Une terrible confusion : l’idiosyncrasie d’un chef d’État sous les feux de la rampe
Woke et LGBT+, et la charge présidentielle
f) La génétique de l’homosexualité
g) La folie « trans » dans un monde politique qui absorbe tout ce qui brille
1°) La résistance des femmes contre les assauts des « trans »
2°) Quand le lobbying pour la réassignation des genres se fait le rouleau-compresseur de la société traditionnelle
3°) La HAS sous le regard de la justice
4°) L’Adn et le bon sens au secours du genre humain
h) Lorsqu’une loi dédaléenne est promulguée pour défaire un droit équitable
i) La déchéance de la France porte un patronyme : « l’Erreur » incarnée par un chef d’État
En conclusion
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