Il n’y pas que des problèmes sentimentaux à HOLLYLAND…
Dans son meeting de mercredi 27 mars 2012, François Hollande s’en est pris, une fois de plus, aux riches et aux rémunérations des patrons. Il a évoqué et violemment dénoncé le bonus de 16 millions d’Euro qui vient d’être octroyé à Maurice Lévy, patron de Publicis, et en a profité pour marteler que Nicolas Sarkozy n’était que le président des riches.
Sa tirade lui est revenue en pleine figure comme un boomerang : le bonus a été voté par les actionnaires majoritaires, dont le plus important n’est autre qu’ Elisabeth Badinter, présidente du conseil de surveillance du groupe Publicis.
Elisabeth Badinter, encartée au PS, dont le mari est l’avocat Robert Badinter, ancien ministre de la justice de François Mitterrand, et ancien sénateur PS des Hauts de Seine.
Le couple ne s’est pas gêné pour faire part, aux proches d’ Hollande, de ce qu’il pensait de l’exemple choisi pour fustiger les riches.
D’ autant plus, qu’ Elisabeth Badinter a touché, le 30 juin 2011, 13 millions d’Euro de dividendes, et elle se serait bien gardée de cette publicité.
François Hollande a été prié de mieux choisir ses cibles quand il veut démontrer que son principal ennemi est la finance.
Cette passe d’armes en appelle d’autres et les électeurs pourront assister, comme spectateurs, au combat : président des riches contre actionnaires de gauche.
Les médias sont restés silencieux sur un sujet qui fâche.
HOLLYLAND, ton univers impitoyable…
Les médias sont les complices de cette idéologie foireuse.
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copyright: Alexandre Goldfarb

















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