L’abs Con’Art Gallery news présente une nouvelle oeuvre intemporelle du Grand Maître Kishillâ Nu-Lähr.

« Transparence »

Œuvre en  Verre Blanc (recyclé) du Maître Kishillâ Nu-Lähr (1875-1930)

 (© Texte et image Le Zoung)

Devant cette œuvre d’une rare beauté, où l’habilité artistique rejoint la subtilité de l’esprit, on ressent une confusion de  sentiments, mélange de peur et de puissance

La transparence c’est le désir de voir, de savoir, de percevoir, de comprendre.

Mais c’est aussi la peur de voir, de savoir, de révéler.

Le jardin secret que l’on veut tenir secret se révèle dans la Transparence.

La force et la puissance, fondées sur le secret et l’obscurantisme, se désintègrent dans la transparence qui rabat les masques de la supercherie.

Dans la Transparence le Maître Kishillâ Nu-Lähr nous place face à nous-mêmes, sans nous agresser, sans subodorer,  sans insinuer.

A chacun de se voir en pleine transparence ou de voir la transparence des autres.

L’élément réfléchissant dont la toile est constituée, reflète notre image et celle de ceux qui  nous entourent.

L’œuvre rappelle qu’il faut transcender les apparences trompeuses et aller au-delà du miroir des mots qui déguisent la pensée ; au-delà de l’image trompeuse qui trouble la vue ; et au-delà des perceptions qui encombrent nos sens, notre esprit et notre discernement.

Cette toile nous interpelle et semble nous interroger non pas sur des questions telles que celles posant l’énigme de notre origine ou de notre destin, mais sur des questions bien plus existentielles :

– Quelle honorable réputation résisterait-elle à la transparence des révélations secrètes auxquelles elle est redevable ?

– Quelle fabuleuse et enviable fortune résisterait-elle à la mise en transparences des moyens obscures qui l’ont formée ?

– Quelle décision de justice prise « sans mobile apparent » résisterait-elle à la révélation des motifs sous jacents qui l’ont inspirée  dans le secret du délibéré, les manœuvres en coulisses et les influences souterraines ?

Le Maître Kishillâ Nu-Lähr nous confronte à la transparence et c’est en cela que son tableau est un chef d’œuvre précieux !

Cette œuvre a été adjugée en 2011 à dix huit millions de dollars à l’illustre mécène grand amateur d’art Hasdrubal le Pigeon descendant de l’illustre lignée fondée par Hubert du Gazon Tondu de la veille qui a épousé Madame la Duchesse de la Fermeture de Monsac pour sa collection privée.
Le ZOUNG©

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