Un monde irréel 2.4


EXCLUSIF : l’inexorable déclin, entre le désengagement des peuples et la dégénérescence morale des élites… Chapitre 2- suite

Un monde irréel

Par Daniel Desurvire

Chapitre 2 quatrième partie

II – La guerre des tranchées se perpétue sur notre territoire

A fortiori s’agissant de l’islam, puisque l’aniconisme de ce culte vomit l’idolâtrie, le Coran demeure une chose représentative d’une expression divine ; un objet de culte et non un être vivant, même déifié. D’où l’évocation d’outrage ou de blasphème par les croyants musulmans ne saurait être recevable, eu égard aux interdits islamiques qui subodorent qu’une reproduction évocatrice de leur culte ou de leur dieu relève du paganisme… donc le Coran aussi ! En clair, la loi susdite pose une contradiction entre les personnes victimes de discrimination et l’objet de la discrimination qui ne saurait souffrir d’une attaque jugée diffamatoire. En outre, puisque le Coran est truffé d’injures et d’appels à la violence contre les non-musulmans, en particulier contre les Juifs, l’objet de ce culte ne saurait échapper à la critique, voire à la censure eu égard à cette disposition législative. Mais aussi vrai que cela puisse l’être, déclasser l’islam de son rang de religion à celui d’une secte dangereuse emmènerait le monde civilisé d’Occident dans une fâcheuse posture face à plus d’un milliard et demi de Musulmans dans le monde.

Sur ce chapitre, rappelons que les Français de souche musulmane, intégrés et actifs, socialement indiscernable dans la population, ne sauraient faire l’objet d’une discrimination haineuse en regard de leurs origines, de leur condition ou des actes barbares de leurs coreligionnaires. Cette suspicion attentatoire ne doit pas davantage conduire à un amalgame entre les islamistes fondamentalistes et les millions de ressortissants étrangers d’origine diverses, productifs de richesses pour le pays qui les a accueillis, leurs ascendants ou eux-mêmes, dans lequel ils doivent se sentir inclus et égaux. Cependant, ces Musulmans lambda seraient mieux avisés, à l’instar de tous les Français, s’ils pouvaient appréhender le danger que constitue le Coran, dont la lecture ne saurait laisser indifférent les croyants dès lors qu’ils en ressortent indemne, mais au risque pour les plus fragiles de verser dans le radicalisme, ou dans l’islamophobie eu égard aux horreurs que contient ce livre sacralisé.

En résumé, l’observateur doit savoir distinguer « la personne » de « l’objet », autrement-dit ne jamais confondre un croyant, personne physique et présumée respectable, lorsqu’elle pratique paisiblement sa tradition, d’une religion instrumentée par les arabesques d’une confession chthonienne qui verse manifestement dans un sectarisme apocalyptique (Voir en bibliographie in fine : « Les pages noires du Coran à bannir du XXIe siècle » ; puis « Et la laïcité ? Bordel ! »). Les personnes douées de lucidité et d’honnêteté intellectuelle ne devraient jamais accepter que des relais médiatiques autorisés laissent passer des messages affirmant que l’islam est une religion de paix. À la simple lecture du Coran, pareille assertion est à ranger parmi les fake news que nous injectent les faiseurs d’opinion du Gouvernement ; gardiens d’un politiquement correct dont ils ont façonné le contenu.

À l’aune des invasions migratoires des hordes d’islamistes déferlant depuis les régions moyen-orientales et africaines, l’effondrement du capital historique et culturel de la vieille Europe, depuis l’Atlantique à l’Oural et de la Scandinavie au nord de la Méditerranée, semble irrésistiblement programmé du fait de l’irresponsabilité de quelques illuminés qui font le jeu des passeurs de réfugiés clandestins (ONG, élus politiques, employeurs [travail dissimulé] et particuliers [charitables mais complices]) ; le laxisme des institutions y pourvoyant. Ce que les pays de l’Europe refusèrent à l’Allemagne nazie, l’Union européenne est en voie de le concéder à l’islam radical emmené par des activistes belliqueux et prêts à toutes les audaces et crimes. Pour ces derniers, chaque avantage octroyé est considéré comme une victoire sur l’impur : le dhimmi, l’esclave soumis à un droit de vivre moyennant l’impôt (la zizya). En terre d’islam, faire son chahâda (allégeance à Allah), c’est rejoindre la fratrie musulmane pour ne pas subir les canons discriminatoires de la shari’a, voire survivre. De sorte que c’est le peuple des mécréants qui accueille des Musulmans qui devient l’imposteur sur le territoire ainsi occupé et accaparé par l’islam.

Le radicalisme confessionnel aura ainsi pris le relai de l’idéologie nationale-socialiste raciste du IIIe Reich, en occultant les vertus de l’indépendance, des libertés inaliénables, dont l’égalité des genres et le respect des convictions ontologiques ou existentielles de chacune et de chacun. Tandis que les cinq piliers de l’islam constituent la pierre angulaire des impératifs religieux, le devoir solennel du bon Musulman ne saurait être dissocié de l’obligation de chasser voire d’éliminer les Juifs, les parias, les idolâtres, et les réprouvés. Véritable manuel de guerre et de tortures, le Coran met en scène le rôle consubstantiel du Musulman dévot et conquis par le djihâd, avec la mission purificatrice du combattant, lequel, outre-tombe, sera sexuellement gratifié des faveurs sexuelles de 72 houris, avec lesquelles il pourra forniquer dans l’au-delà coranique. Comment pourrait-on mieux fabriquer des sociopathes frustrés et enragés qu’en lui ouvrant la voie d’un prétendu bien, en l’imprégnant de haine, en l’honorant d’une mission divine, tel le bras armé d’un dieu tout à la fois tutélaire et vengeur ?

Dans les pages de la sourate II, versets 37 à 286 et beaucoup d’autres chapitres, puis dans les hadîths, dont El-Bokhari 56 il se lit : « L’heure du jugement n’arrivera pas tant que vous n’aurez pas combattu les Juifs et à tel point que la pierre, derrière laquelle s’abritera un Juif, dira : Musulman, voilà un Juif derrière moi, tue-le » ! Bien des Palestiniens du Hamas et fondamentalistes du Maghreb, entre autres factions terroristes sunnites et shi’ites, arborent la croix gammée et font l’apologie du nazisme. Cela se constate aux salons du livre à Casablanca et sur la péninsule arabique où « Mein Kampf » y est érigé en best-seller (Voir in fine en bibliographie : « L’histoire vraie sur Israël »).

L’asservissement des résidents endémiques, en totale immersion dans un dogme discriminatoire et hautement pathogène, induit une hiérocratie totalitaire avec pour corolaire l’esclavagisme, la torture, les pratiques infamantes sur les femmes comme la polygynie, la répudiation, l’excision, l’infibulation, la répudiation ; le seul droit pour une femme étant de revendiquer d’être la moitié d’un homme (Voir en bibliographie in fine : « La malédiction de naître femme en Islam »). Ces usages sont des pratiques ignobles en vigueur en Égypte, dans les théocraties islamiques, les pétromonarchies du Golfe entre autres, avec pour seules règles de vie ; celles qui s’inscrivent dans le Coran. Quant aux hadîts transposés en droit positif, ces traditions orales, prétendument supérieures aux standards temporels, y refondent un nouvel ordre de vie rétrograde dans les sociétés occidentales, car placées sous le joug de la shari’a et du fiqh, dès lors que ces populations s’agglutinent sur des zones péri-urbaines.

Derrière cette illustration – ici succinctement explicitée – du produit délétère d’une religion sectaire aux desseins expansionnistes, sous des dehors victimaires ce culte, s’emploie à contraindre ses bienfaiteurs de manière intraitable. Dans le cours de ses incursions migratoires, le dogme mahométan aura explicitement pris le pas sur les institutions politiques et sociales des pays qu’il occupe ; celles-là mêmes qui se réclament de la démocratie, de la laïcité et du droit d’asile. Chaque pan de la démocratie concédé à l’islam est reçu comme un aveu de faiblesse de l’impur, non pour un geste de compassion. Selon la parole prophétique, les kouffar (les non-musulmans) doivent verser un impôt aux Musulmans (la djizîa) ; sorte de bienfait que réserve l’islam à ses sujets. L’instauration d’un grand khalifat planétaire constitue, pour les séides du prophète Muhammad, guerrier et sanguinaire, la seconde étape qui suivra l’envahissement du vieux continent par les réfugiés et leur croissance démographique.

De sorte que chaque privilège accordé, aux ressortissants mahométans, ne saurait faire l’objet de leur reconnaissance, car il se comprend comme un devoir venant des mécréants à leur égard. Les nazis qui pillaient les biens des populations juives, devaient être remerciés pour ne pas de surcroît violenter, déporter ou assassiner les malheureux ainsi dépouillés et condamnés à l’exode. Voilà ce qui aurait pu être le sort de l’État d’Israël s’il ne s’était pas vaillamment défendu, alors même que dans les manuels scolaires de Palestine, d’Iran et de beaucoup d’autres régions islamiques, la Nation cartographiée héritière des Hébreux, souveraine depuis son indépendance le 14 mai 1948 n’y figurent toujours pas. Au grand dam de la social-démocratie, huit millions d’israéliens ont le grand tort de se défendre avec succès contre trois cent millions de Musulmans qui cernent ce petit pays en cherchant par tous les moyens à le vaporiser !

En imprimant une Palestine arabe sur toute cette zone géographique qui inclut Israël comme terre d’islam, comprenons également pourquoi cette logique musulmane s’étend aussi à la Couronne d’Espagne revendiquée par les intégristes arabes du Maroc à l’Égypte (côte méditerranéenne du Maghreb sous domination ottomane du XVIe au XVIIe siècles), nostalgiques de l’al Andalus des VIIIe au XVe siècles. La quasi-totalité des pays musulmans, y compris l’actuelle Turquie, rejette l’histoire de la Reconquista. Ce pourquoi le Coran est à l’humanité du XXIe siècle, ce que le nazisme fut à l’Europe durant la dernière Grande Guerre. L’islam hégémoniste, antisémite et ethnocide dans les grandes largeurs, entre autres altérations mentales et cruautés machiavéliques, n’a rien à envier à l’auteur de Mein Kampf.

Et si l’Europe, dans une réalité alternative, s’était fabriquée autrement ? Ce que les Euro-convaincus persistent à associer l’Union à une réussite économique, géopolitique et sociale, la construction subcontinentale de l’Europe n’est en réalité qu’un échec permanent, là où seuls les technocrates et les politiciens y gagnent en salaires disproportionnés et en produits de corruption. Depuis 1951, la gabegie des institutions européennes n’est plus à démontrer, face à l’absence d’entente entre les partenaires nationaux et à défaut d’une constitution fédérale que la règle de l’unanimité rend impossible. Déjà, ce monument instable s’effrite avec le Brexit. L’euro, pourtant promise pour concurrencer le dollar US, perd la confiance des investisseurs, quoique demeurant une monnaie d’échange, principalement sur les territoires de la Communauté. De sorte que la plupart des paiements commerciaux et convertibilités boursières étalonnées dans le monde s’effectuent encore avec quasiment la seule devise américaine.

À suivre

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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