Si le discours sur le séparatisme islamique du président de la République, par son diagnostic, a donné l’impression d’une prise de conscience de la menace dont il a stigmatisé et dénoncé les manifestations, il est cependant désespérant et consternant de constater les conclusions qu’il en tire et les remèdes inadaptés qu’il préconise.
Par le Général (2S) Antoine Martinez
