… qui galvaude la démocratie, désinscrit les libertés naturelles et viole le droit à une vie privée

Le nouveau livre de Daniel Desurvire (existe aussi en format liseuse) :

Histoire d’un Président qui n’aime pas la France
Par Daniel Desurvire
Chapitre 12
II – La nuit du 4 au 5 août 1789 fait place à celle des 4 au 5 août 2021 :
privilèges vs discriminations
A) Le langage populacier de Macron et les échos béotiens de ses idiots utiles
Eu égard à mes analyses précédentes, et pardon si cet exerce vous paraîtra redondant, je vais néanmoins rappeler les grandes lignes de ce cheminement viral et la réalité sur la Covid-19 à ce jour, sans ambiguïté sur le danger potentiel de la vaccination, quelle qu’elle soit, contre ce virus :
– Le vaccin, génique ou autre parmi ceux qui sont proposés contre ledit virus, n’empêche nullement les personnes vaccinées de propager eux-mêmes la contagion. Cela est un fait confirmé par l’OMS et nombre de témoignages dignes de confiance s’ils n’ont aucun lien avec l’industrie pharmaceutique ou ne subissent de pressions politiques. Évidemment, cette réalité vérifiable est déniée sans argumentation recevable, seulement à l’aide d’assertions politiques haranguées par les profiteurs de comptes numérotés au paradis fiscal des sociétés extraterritoriales.
– Ces vaccins sont tous dépourvus d’essais clinique, car non randomisés, sans respect d’AMM (Sauf par l’État-Macron qui par décret a galvaudé 11 fois le Code de la Santé publique). Nonobstant, ces prétendus remèdes antidotaux, sortis du chapeau en quelques mois seulement, furent autorisés sans recul, ni expérimentation, ni rapports scientifiques. Ils furent délivrés avec une non-garantie de réussite, assortie d’une non-responsabilité en cas d’accident grave ou mortel sous couvert de juridictions arbitrales, mais prétendument susceptibles d’éviter des formes graves. Où sont les preuves de telles allégations ; puisque ces vaccins qui n’ont pas plus de recul avant d’être vendus, ne bénéficient pas davantage d’intervalle pour en témoigner après avoir été injectés, en particulier s’agissant des vaccins géniques ?
– Pire, sur la foi d’un rameau de l’UE, une Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments, 10 000 à 11 000 personnes sont portées décédées à la suite d’une injection de vaccins anti-Covid répertoriés en 2021 sur les territoires de l’UE (EudraVigilance, juin 2021). Par les données brutes de pharmacovigilance, les marques de vaccin incriminées sont Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen. Suivant les porte-voix des fabricants et promoteurs de ces antidotes, ce rapport serait entaché d’interprétations erronées sur la situation ante-mortem des disparus. Bizarrement, après cette révélation médiatisée par LCI, au grand dam de la Commission européenne, ces résultats publiés en ligne ont brutalement disparu, et furent retoquées avec moins de 900 morts !
Le diagnostic de létalité par comorbidité ne fonctionne que dans le sens des trafics de certificats de décès en France, sous l’impulsion monnayée des ARS « Mort de Covid », mais jamais dans le sens « mort après une injection vaccinale anti-Covid » ! Évidemment, ces derniers ne peuvent plus témoigner des affres de leur maladie, puisque ceux-là sont décédés par suite d’injections de ce poison. Chut ! Officiellement, ils sont tous morts de Covid-19… D’ailleurs, un certificat de décès établi selon ce critère sera récompensé par le ministère de la Santé. Aux petites Antilles française, à la Réunion, À Mayotte, en Nouvelle-Calédonie et en Guyane, les autochtones décédés de la dengue, du chikungunya, de dysenterie de paludisme et autres parasites et myiases vecteurs de maladies endémiques issues d’hématozoaires, seraient tous décédés de Covid ; exactement comme en Métropole où la grippe hivernale 2020/2021 n’aurait même pas existé ; une première depuis l’histoire recensée de l’influenza !
– Enfin S’agissant des variétés de vaccins anti-Covid proposés à ce jour, leur efficacité présumée, qui était annoncée au début autour de 90 % à l’époque des commandes massives des pays demandeurs, est déjà passée sous la barre des 60 %, puis de 40 % à rien pour certains d’entre eux, face aux mutations dudit agent pathogène, de l’Alpha à Kappa en passant par Gamma et Delta. C’est ainsi que 40 % des nouveaux contaminés par la Covid-19 en Israël sont déjà vaccinés. Mais la violence de ce virus s’étant quasiment éteinte, vaccinés ou pas, le coronavirus a vraiment cessé de tuer sauf exceptions qui confirment la règle. Ce pourquoi à ce jour en France, où mentir et tricher sont devenus une discipline obligée depuis les commandes de l’Élysée, nous n’entendons plus les statistiques compter les morts… seulement de tests positifs assimilés à des malades, pourtant sans signe clinique ou hospitalisés, mais en congés maladie avec 38° C de fièvre dans les cas les plus significatifs. Qui paie la note, outre les assurés, dans cette gabegie des fonds sociaux et des contributions à travers ce marché de dupes ?
Enfin, pourquoi devoir vacciner une personne qui a déjà contracté la Covid, alors qu’il ne saurait y avoir meilleur vaccin que le virus lui-même ? a-t-on déjà vacciné un malade de la grippe 15 jours à un mois après être sorti de sa maladie ? Quel autre motif trouver à cette aberration que celui de vendre à n’importe quel prix un vaccin inutile ? N’y aurait-il pas ici la preuve indiscutable d’une corruption derrière cette fièvre compulsive de piquer tout le monde ? La quasi-totalité des pandémies virales s’épuisent à l’issue de mutations successives du virion qui érode son potentiel d’agressivité au fil de ses progressions géographiques et calendaires. La Covid n’échappe pas à cette loi naturelle, sachant que le genre humain a toujours survécu et même progressé en nombre aux attaques meurtrières des micro-organismes, sans lesquels l’homme ne pourrait pas survivre. La croissance démographique mondiale de l’humanité n’en fournit-elle pas une preuve évidente ?
Or, Cette fin programmée dans l’horloge interne de Covid, où le vaccin, outre ses effets possiblement réducteurs de la maladie, suscite le risque de réveiller la bête qu’il est censé combattre en l’amenant à se modifier selon un mécanisme de mutation, autrement dit d’auto-défense de ce vecteur viral pour survivre. Ce phénomène correspond au processus d’évolution des espèces. Abusivement renommé « variant » pour des raisons politiques plus que scientifiques, la Covid mutante poursuivra son chemin dans le temps et la géographie. Ce phénomène évolutif du virion qui se transforme est naturel, ce pourquoi ces mutations se répètent un peu partout en Europe ; là où les taux de vaccinations par habitants sont les plus élevés, qu’ils soient de type génétique ou à virus inerte. Les parades et gesticulations hasardeuses, entre les masques, les distanciations, les tests et les carnets vaccinaux ne font que tétaniser les populations et rendre les gens hypocondriaques, sachant que plus on aseptise, plus on affaiblit le système immun des personnes, donc en réduisant leur moyen naturel de lutter contre les agents bactériologiques et viraux.
Faudra-t-il 2, voire 3 injections espacées de 21 à 84 jours en suivant, sinon réitérer cette vaccination tous les semestres ou annuellement, comme pour l’influenza, afin de prétendre éradiquer une infection devenue ordinaire ? La calamité n’est-elle pas plutôt les lobbies du Big Pharma et les aigrefins expectants, lesquels, propagent le syndrome de la peur encore plus contaminant que ledit virus ? Doit-on accepter cette obsolescence programmée et concertée par des élus malveillants aux fins d’éroder les démocraties ?
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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