Telle une razzia de barbares, la Macronie, en selle sur la secte WEF, se fait le chancre de la dégénérescence des valeurs de France

Macron s’en va-t-en guerre : il se croit au cinéma mais la réalité va le rattraper et tous les Français ne sont plus dupes

Par Daniel Desurvire

Le livre qui fera date !

Délitement de l’État-Macron et déconfiture de l’UE

Chapitre 11 (FIN)

4°) Telle une razzia de barbares, la Macronie, en selle sur la secte WEF, se fait le chancre de la dégénérescence des valeurs de France

Enfermer tout un peuple sous l’office d’une loi dite sanitaire, sans rien connaître du motif allégué d’une pandémie ramenée au rang d’une peste noire ou du virus Ébola, relève d’une hystérie politique, alors même que ce virus n’a jamais provoqué plus de dommages que l’influenza ou une rhinite. La corruption vénale des laboratoires et de leurs commanditaires politiques, les mensonges, les certificats de décès tronqués et les injections vaccinales aux principes de précaution déréglementés auront pesé plus lourd que les mortalité virales. De surcroît, prétendre que le vaccin-Covid n’est pas obligatoire, mais en le rendant obligé pour vivre et jouir de ses droits civils relève non seulement de l’hypocrisie et de l’oppression, mais d’une insulte à l’intelligence du Peuple. Ce Président, impulsif et versatile, n’est pas en phase avec sa fonction, certains le taxent de psychopathe. Peut-être éprouva-t-il une ASMR (Autonomous Sensory Meridian Response), sorte d’orgasme cérébral selon le manuel MSD, à paralyser tout le pays par un stimuli de 139 jours, de claquemurer ses concitoyens, de les humilier à devoir produire des attestations aux forces de l’ordre, de la même manière que les nazis imposaient des ausweis en France occupée ?

Des surfeurs et une octogénaire assise sur un banc furent sanctionnés d’une lourde contravention par des gendarmes zélés, les premiers pour avoir contaminé… l’Océan ; la seconde pour s’être reposé sur un banc public pour reprendre son souffle avant de rentrer chez elle. Je fus moi-même inquiété, non par défaut de mon attestation dûment remplie, mais parce que mon épouse handicapée, encartée malvoyante, ne peut se déplacer sans son accompagnant légalement désigné qu’elle ne peut quitter du bras ; étant de ce fait associée à mon attestation qu’elle ne peut remplir elle-même. Comprenons que lorsqu’un chef d’État frise la névrose entre les abus de pouvoir et l’incohérence de mesures pénales envers des civils qui ne sont pourtant pas des délinquants, tout est permis et le pire reste possible dans la rue. Les abus d’autorité, comme les déviations morales des représentants de l’ordre gratifiés de pouvoirs exorbitants, font dérailler la démocratie, au profit d’un régime qui ne fait plus aucun discernement.

Nous ne saurions exposer trop de similitudes entre les horreurs du nazisme et la législation autoritaire d’un chef d’État qui légifère dans la discrimination et le viol de l’intégrité physique des Français, forcés à recevoir des injections plusieurs fois par an pour récupérer leurs droits citoyens, et avoir la possibilité de vivre normalement. Mais en privant les Français du droit de disposer de leur corps, nous rentrons dans cette logique de l’absolutisme des césars ou des führers, et ici, Emmanuel Macron entre dans cette spirale autoritariste et criminelle. Le prétexte, ressassé mille fois, de préserver la vie des autres en se vaccinant est contraire à l’esprit du droit commun, notamment à l’appui de l’article 16 du Code civil et l’article 1111-4, 2^ème alinéa du Code de la Santé publique, où le corps humain est protégé contre l’obligation chimique, bactériologique et immunologique des médicaments, dont les vaccins (Voir p. 68 à 77 de « Covid – la poule aux œufs d’or – le business des vaccins », voir en bibliographie in fine).

« Une étude révéla que 79,4 % de tous les enfants décédés du syndrome de mort subite du nourrisson ont reçu un vaccin la même journée » (Voir p. 72 à 74 « L’idéologie néfaste… », op. cit. bibliographie) selon Advitae Santé. À ce propos, une alerte fut diffusée par le Pr Luc Montagnier, (Source, Revue médicale suisse, 11 sept. 2019, n° 662). Ce qui ne peut pas être une coïncidence, inclut les risques des vaccins-Covid, dont nombre cas de létalité précoce furent observés dans le monde après l’injection contre le SARS-CoV-2 à des enfants dès 5 ans, conseillée par le ministère de la Santé. Ô paradoxe, il est avéré que les rappels-Covid, abattent le système immunitaire et tuent dans de fortes proportions, sur la foi de statistiques des instituts de veille sanitaire et de contrôle des médicaments. Par cette attitude malveillante, le chef d’État offre ses concitoyens au lobbying du Big Pharma et à la corruption politique qui l’accompagne ; un fait inouï qui relève d’un crime contre la Nation.

Précisément, évoquons le profil du Président Macron, dont les comportements et les propos ont tout pour soulever l’interrogation des psychothérapeutes. Outre les déclarations méprisante de ce chef d’État envers ses concitoyens, retenons ses maintiens inadéquats et révélateurs de l’idiosyncrasie douteuse du personnage. Cela rappelle son passage à l’île de Saint-Martin où il s’afficha en octobre 2018, enlacé et provoqué par un doigt d’honneur et autres signes indécents par des individus patibulaires, dont un braqueur à peine sorti de prison, à l’appui de clichés témoignant de positions équivoques (Voir p. 83 ibid., « l’idéologie néfaste… », Le Parisien, crédit Twitter). Ce fut dans l’accoutrement de nudité partielle de ses invités collés à lui pour la photo, que le Président devant les caméras se produisit honteusement en spectacle. Ces ostentations indécentes, ou ridicules comme de s’affubler en soldat hirsute et suant un soir dans un salon des Champs Élysées, ajoutent à cette flétrissure (Voir p. 83, « La République en danger – Alerte : une taupe de la secte WEF grimée en soldat parachutiste siège à l’Élysée ».

Lors d’un match de foot au Qatar, durant « 57 secondes de gênance », (in, Le Soir du 29 décembre 2022), ce chef d’État français, par ses comportements hystériques, fut couvert de déshonneur par les médias qui le taxèrent de grotesque et de contenance déplacée. Ses gesticulations excitées et ses braillements tonitruants au côté de l’émir local abasourdi soulevèrent l’indignation du cortège plénipotentiaire français. Puis encore lorsque ce chef d’État se produisit en cajoleur palpitant et câlin au-dessus de la tête du joueur Kylian Mbappé effondré d’avoir perdu le match, cette scène pathétique fit le tour du monde. Du terrain aux vestiaires, Emmanuel Macron s’est produit dans le ridicule devant les photographes, collé à ce fils de Camerounais et de Kabyle algérien, lequel ne lui adressa pas même un regard ni un mot devant un tel empressement à caractère ambigu. Ces clichés insolites laissent pantois bien des observateurs, dont le comportement d’Emmanuel Macron devient suspect, de profil douteux, sinon de récupération médiatique, notamment comparé à celui produit à l’île Saint Martin susmentionnée.

Ces images déplorables rabaissent la fonction présidentielle, autant qu’elles souillent la réputation de la France indignée, car moquée sur la scène internationale. Ce pourquoi le profil psychologique d’Emmanuel Macron pose bien des interrogations (Voir p 150 à 155, « L’idéologie néfaste du Président Macron »*). Symptomatiques mais révélateurs sont les messages injectés à travers les vidéo-clips publicitaires sur fond LGBTQIA+ (Voir p. 13, ibid.*). Le wokisme en est porteur, et le multiculturalisme y apporte également une touche omniprésente sur les écrans Tv, en y concoctant la recette itérative du couple mixte black & whith qui se vend assez bien sur les écrans avec des voitures ou autres produits de consommation, afin de fédérer la société lambda dans ce moule au parfum d’un melting pot paroxystique. Hormis la mixité qu’il faut soutenir sans réserve contre les clichés crasses, il n’est aucunement fait ici de démonstration partisane quant aux virages exhibés des genres sexuels et des cultures décalées comme imbibées des tendances woke, aperçus sous la lorgnette d’un chef d’État. Pour ce faire, il faudrait interroger Jean-Michel Trogneux (www.pressibus.org), ou plus sérieusement s’enquérir sur le bien-fondé des reprises mercantiles depuis ces panels de prospects élargi par la campagne fourre-tout du parti Renaissance (via LREM) qui y fait subtilement recette.

Pour cette Présidence, ces reliefs libertaires suscitent un effet buzz, gay ou stay woke, pour s’offrir un électorat multicolore tout azimut prônant l’excellence des minorités. Derrière cette affiche d’honorabilité à la mode permissive mais abusivement appuyée, où la morale homosexuelle y est injectée à coup de pixels censés faire de l’ombre aux mentalités conservatrices, cette vertu n’est absolument pas partagée par l’islam que ce chef d’État croit pouvoir imprimer à notre société à coup de wagons de réfugiés. De fait, la mixité et l’assimilation de nos mœurs polyculturelles, où prône l’égalité raciale, des cultes et des sexes, demeure indigeste pour ce culte intolérant, non miscible à nos lois séculières et nos traditions. Ce pourquoi restons-en à l’analyse de ce Président, où le courant sociétal LGBT semble être son leitmotiv récurrent, sinon une empreinte freudienne, sinon quelque part une disposition œdipienne, conforme à la symptomatologie du personnage.

FIN

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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Sommaire
1°) Il n’y a pas de relent complotiste à pressentir le collectivisme dans l’idéation mondialiste
2°) La corruption, une gangrène qui gagne toutes les sphères politiques
3°) Une intrigue manichéenne où l’emprise chtonienne du pouvoir et de l’avoir l’emporte sur la morale et l’honneur
4°) Telle une razzia de barbares, la macronie, en selle sur la secte WEF, se fait le chancre de la dégénérescence des valeurs de France.

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