C’est la colère de la mère d’Adrien, ce jeune de Grenoble lâchement assassiné par des racailles qui m’a, vivement, interpellé.
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Attention ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur et en aucun cas Observatoire du MENSONGE
Pour l’instant, nous ne voyons que le pire de l’ancien.
Nos enfants se font assassiner et toujours par les mêmes !
Par Claude Picard
Ce cri déchirant est celui d’une mère qui pleure son enfant, ce désespoir est celui d’une citoyenne qui n’a plus rien à perdre, mais qui a encore un peu d’énergie pour essayer d’alerter l’opinion.
Elle nous dit que la coupe est pleine et qu’il est grand temps d’agir.
Cette femme, Patricia Perez, pleure son fils, Adrien, assassiné par des racailles, poignardé en plein cœur, parce qu’il avait osé s’interposer pour défendre un ami à la sortie d’une discothèque grenobloise.
Adrien est la énième victime d’une série trop longue de crimes commis par des barbares décérébrés, nourris de propagande raciste et haineuse, qui méprisent et insultent tous ceux qui n’ont pas leurs mœurs, ni les mêmes codes.
Ces incultes font des ravages dans nombre de quartiers et de banlieues de France où ils font régner la terreur.
Ils se comportent comme de véritables petits caïds et s’adonnent à toutes sortes de trafics délictueux.
En toute impunité et à la barbe des autorités.
Depuis trop longtemps !
Le pire, c’est que ces voyous sont confortés par la bienveillance de tous les gauchos de service, qui sévissent dans tous les rouages de l’administration et au plus haut de la hiérarchie de nos institutions.
Résultat : le laxisme est devenu la norme de notre République et l’État de droit n’existe plus dans notre pays.
Tous les gouvernements qui se sont relayés, depuis des décennies, ont appliqué, peu ou prou, la politique de l’autruche au sujet de la délinquance communautaire et, finalement, toutes les élites ont érigé le déni en méthode de statistique.
En ne voulant pas voir la réalité, même quand les faits sont avérés, elles refusent de qualifier le coupable.
Et les petits commissaires de la pensée veillent !
Gare à vous si vous osez dire que ce sont toujours les mêmes qui « foutent le bordel » dans le pays.
Aussi, quand une citoyenne a le courage – l’énergie du désespoir – de dire : « nos enfants se font assassiner, et toujours par les mêmes « , ça mérite d’être salué !
Si cela pouvait permettre à d’autres de passer au-dessus de ce politiquement correct qui étouffe notre société et qui l’empêche d’avancer vers une vraie justice, nous aurons fait un grand pas.
Si notre gouvernement, sans faillir à sa mission, au lieu de fermer les yeux pudiquement sur les évidences, punissait sévèrement les perturbateurs, la vie en société serait plus sereine et plus calme.
Il est inadmissible que des assassins, des voyous, toujours les mêmes, puissent, en toute impunité, continuer à gangrener notre société.
L’impuissance des autorités à renverser les rôles n’est plus à démontrer, mais ce n’est pas une fatalité que nous devrions subir ad vitam æternam. Aujourd’hui, oui, la coupe est pleine : les barbares ne doivent plus faire la loi en France !
La complaisance de nos élites envers toutes les dérives laxistes doit être dénoncée avec force et détermination.
Ça suffit !
Claude Picard
Auteur de Un colonialisme qui ne dit pas son nom
et Les tartuffes de la compassion
A lire aussi : 2034 l’année où…
Claude Picard pour Observatoire du MENSONGE
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