Un virus qui n’aime pas les vieux et les personnes les plus fragiles, c’est assez banal, mais un virus qui devient le complice de la finance internationale, des politiques, des journalistes, des médecins et des scientifiques véreux, ça, c’est une première.
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Semaine du MENSONGE
Faudra-t-il faire un dessin ?
Par Claude Picard
Un virus qui n’aime pas les vieux et les personnes les plus fragiles, c’est assez banal, mais un virus qui devient le complice de la finance internationale, des politiques, des journalistes, des médecins et des scientifiques véreux, ça, c’est une première. Mais il faut se rendre à l’évidence : le virus qui provoque la maladie appelée Covid-19, est une opportunité rêvée, une véritable aubaine pour toute cette engeance qui ne sait plus à quoi se raccrocher pour imposer ses visées pernicieuses. Donc, ce sera ce virus qui deviendra le maître des horloges ! Et comme ce virus, qui, comme tous les virus, mute constamment pour retarder sa disparition, en faisant, quelques fois, des ravages avant sa mort programmée, les mondialistes effrénés, pour survivre, eux aussi, mutent sans cesse !
Désormais, le virus impose, aux gouvernements mondiaux, de se transformer en gardes-chiourmes et d’oublier la démocratie. En devenant extrêmement répressifs envers leurs populations et jusqu’à tirer, à balles réelles, sur des manifestants ! Là, nous atteignons des sommets dans l’abject. Pourtant, depuis bientôt deux ans que ces gouvernements sévissent en mettant en œuvre toutes sortes d’entraves aux libertés fondamentales et en infligeant aux réfractaires des contraventions aberrantes, on avait cru qu’ils ne pouvaient pas aller plus haut dans l’ignominie.
Pas de chance ! Leurs violentes réponses policières, à la crise sanitaire, mutent toujours de façon exponentielle. Pour contenir l’épidémie ? Curieuse façon de faire, car, jusqu’à ce jour, on a toujours soigné les maladies avec tous les traitements et médicaments possibles, pas par la contrainte à coups de matraque ou en ne privilégiant qu’une thérapie pour tout le monde : la vaccination. Qui, en l’occurrence, est une injection expérimentale. Et, pas de bol, celle-ci se révèle quasiment inopérante en ne tenant pas ses promesses de libérer le quotidien, puisqu’elle nécessite un rappel tous les cinq mois. Nous en sommes à la troisième dose et l’on nous parle déjà de la quatrième… Même les enfants sont concernés, eux, qui, normalement, ne courent aucun risque ! En agissant comme ils le font, les gouvernements mondiaux sont, soit, tombés sur la tête, soit, sous l’influence de scientifiques hystériques et alarmistes. Ces qualificatifs devraient-ils s’appliquer à des gens dont le métier, par définition, les oblige à être raisonnables et rationnels ? Mais peut-être, que ces scientifiques sont, un petit peu, en conflits d’intérêts et les gouvernements, aussi…
L’aubaine de ce virus est tout particulièrement avérée pour un Macron en perdition, car cela lui permet, pendant la dernière partie de son quinquennat, de faire oublier son bilan et de ne pas parler des problèmes de fond qui secouent la société française. Des problèmes qui n’ont jamais été résolus par le gouvernement actuel ou les gouvernements précédents, et qui ont été cachés sous un tapis de foutaises sociétales, idéologiquement improbables. Pourtant, Macron avait tous les pouvoirs pour changer la donne. Il ne l’a pas fait ! Ces problèmes auraient pu, au moins, être débattus. Même pas ! Peut-être parce que le virus est toujours là et qu’il veille au grain pour empêcher toute controverse ? Ben, voyons ! En tout cas, il donne à Macron une belle opportunité pour se présenter comme un sérieux décideur sanitaire et un imparable rempart contre l’épidémie, lui qui n’est qu’un vulgaire hâbleur de l’idéologie euro-mondialiste avec une vision politiquement approximative et obscure, de ce qu’est la France. Une France dont il déforme, selon son humeur, l’histoire et la culture. Et d’autre part, connaît-il un seul des besoins de la population française ? En dehors de sa petite personne qui l’intéresse ?
Virus ou pas, la politique de Macron reste fantomatique ou incompréhensible. Cela dépend du moment et du fameux « en même temps ». Mais serions-nous obligés de subir encore pendant cinq ans les incohérences politiques d’un adolescent attardé, pourtant élu président de la République, et laisser un virus devenir, à jamais, notre maître des horloges ? Une échéance capitale approche, elle peut donner aux Français la possibilité de renverser tous les diagnostics les plus alarmistes. Encore faudrait-il qu’ils ouvrent, enfin, les yeux sur la réalité infernale que la crise sanitaire leur fait subir et pour comprendre qu’ils se font flouer par une caste malfaisante, truffée de conflits d’intérêts et uniquement préoccupée par ses prébendes.
Cette caste maltraite la France et les Français depuis trop longtemps, il est temps de s’en débarrasser !
Claude Picard
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