… qui galvaude la démocratie, désinscrit les libertés naturelles et viole le droit à une vie privée

Histoire d’un Président qui n’aime pas la France
Par Daniel Desurvire
Petit rappel du climat orchestré par l’État-Macron
Chapitre 23
III – Conseil constitutionnel et collabos
B) Conseil constitutionnel et passe-sanitaire : bien monsieur le Président, merci monsieur le Président…
Évidemment, pour les détracteurs de vérité qui emmènent la France dans le mur et mésestiment leurs concitoyens, ces propos ne peuvent être que l’œuvre de conspirationnistes ; seul argument que peuvent opposer des politiciens qui se gavent de bakchichs à l’abri de comptes numérotés dans les paradis fiscaux. En échange, ceux-là ne risquent pas de voir éventer le secret de leurs malversations, ou leur crime de parjure et de trahison contre leurs compatriotes, sachant qu’ils sont eux-mêmes initiés dans cette vaste conjuration. Gageons que les institutions comme la CNIL ou la CNCTR servent d’alibi à cette nomenklatura d’élus fourbes et malintentionnés, afin d’assurer que la confidentialité des citoyens est bien protégée, et que leurs données numériques sont à l’abri des regards indiscrets… sauf des leurs bien entendu !
Vivre normalement dans un pays libre, cela veut dire avoir accès aux cinémas, aux piscines, aux stades, aux amphithéâtres, aux zoos, aux cafés-restaurants, foires et salons, aéroports, trains et cars longs trajets, établissements médicaux etc. Tout cela est désormais suspendu au bon désir du ministre de la Santé, du préfet et des statistiques de contamination que fabrique leur staff, sans l’ombre d’une preuve ou d’une enquête diligentée par un institut indépendant. Ces chiffres et ces courbes de contaminations jetés en pâture au public, ne servent qu’à maintenir un état de psychose à l’aide de publicités anxiogènes et de promesses comminatoires, le tout pour abriter des mensonges phénoménaux, car rappelons-le, un testé positif est rarement un malade (1 %), et encore moins un mourant. Les hôpitaux et les cliniques sont à ce jour quasiment vidés de leurs ailes dédiées à Covid ; seuls peuvent subsister quelques cas rares d’intoxication sévère dont l’étiologie du mal reste souvent imprécise. Autant dire que cette situation sanitaire, en prétendue sortie de crise, ne mérite pas à ce jour la confiscation des libertés, les enfermements, les discriminations et de la violation des droits naturels et fondamentaux.
S’agissant des variétés de vaccins anti-Covid proposés à ce jour, leur soi-disant efficacité, qui était annoncée autour de 94 % à l’époque des commandes massives des pays demandeurs, est déjà passée sous la barre des ± 60 % puis de ± 40 % pour certains d’entre eux, face aux mutations dudit agent pathogène, de l’Alpha à Kappa en passant par Gamma et Delta. C’est ainsi que ± 40 % des nouveaux contaminés par la Covid-19 en Israël sont pourtant déjà vaccinés contre ce virus. Or, ce constat se répète un peu partout en Europe, comme en Grande-Bretagne et à Malte, là où les taux de vaccinations sont les plus élevés, qu’ils soient de type génique ou à virus inerte.
Les États qui ont réalisés le meilleur score de vaccinations anti-Covid, dont Israël entre autres, sont précisément ces pays qui désormais mettent un frein à leur campagne de vaccination. La raison est détenue par les pouvoirs publics et les autorités médicales des ARS de ces pays, ayant fait le constat que les virus mutants indiens se sont avérés les variants les plus contagieux, quoique sans répercussion aggravant quant au virus lui-même quasiment inoffensif. Il en ressort que les vaccins anti-Covid, ont favorisé le système de défense des agents infectants comme vu plus haut, faisant naître de nouvelles variétés épidémiques, dont nul politique ou professionnel de santé perspicace et honnête s’en inquiéterait, si le Gouvernement cessait d’inciter et d’exiger des tests complètement inutiles, mais fortement anxiogènes.
Autre observation, la Coronavirus et ses mutants présentent les caractéristiques d’évolution identiques aux virus de l’influenza, comme pour la plupart des virus en général. La grippe saisonnière est une réplique fonctionnelle de ce qu’il se passe avec la Covid-19, lorsque ce virion au fil de ses voyages, s’affaiblit dans sa membrane lipidique et se cherche d’autres moyens, à l’aide d’enzymes et de protéines, pour attaquer d’autres cellules et survivre dans les organismes qu’il pénètre au fil de sa propagation. De sorte que tous les ans, il faut réinventer un vaccin contre l’influenza en rapport aux nouvelles souches qui se propagent, en rappelant que la recherche va moins vite que le virus peut se modifier. Ce processus explique que les vaccins contre la grippe A(H1N1) ne sont rarement efficaces au-delà de 60 %.
La réaction immunitaire des anticorps faisant progresser ledit virus – toujours quel qu’il soit, – le vaccin ne fait que renforcer ce mécanisme délétère de défense. En l’occurrence, le virus réagira chaque fois qu’il sera combattu, a fortiori lorsqu’un agent vaccinal vient s’ajouter aux défenses naturelles de la personne infectée. Il en résulte que les vaccins se transforment à leur tour en agents propagateurs, en obligeant ledit virus à muter toujours plus vite et de façon encore différente. Déjà de nombreux États lucides, moins obstinés et non impactées par la corruption, se posent la question à savoir, s’il ne faut pas ralentir le rythme des vaccinations, voire cesser les commandes de vaccins anti-Covid s’agissant d’un virus à faible létalité – au surplus des thromboses occasionnées avec Astra Zenica – ou présentant peu d’implication dans la santé des personnes infectées.
Les tests positifs se multipliant de façon irrationnelle en France, l’explication coule de source :
« + de vaccins = contagion accélérée »
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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