La Suisse : une base arrière de l’Otan !


Nous n’aurons plus beaucoup d’amis après Ursula voici la Suisse…
Pour le chocolat, nous vous conseillons donc la Belgique !!!

SCOOP !!!

Par Daniel Desurvire



La Suisse : une base arrière de l’Otan !

La secte World Economic Forum (WEF), fichée au cœur du massif alpin, s’est focalisée dans le conflit ukrainien, à défaut des Nations Unies qui ont décidé de regarder ailleurs.

Première partie :

I – Quand la neutralité sert de casemate dans l’univers dystopique des Ursula, Emmanuel, Klaus, Joe et consorts

La secte World Economic Forum (WEF), fichée au cœur du massif alpin, s’est focalisée dans le conflit ukrainien, à défaut des Nations Unies qui ont décidé de regarder ailleurs. Cette guerre civile, hybride et d’attrition, s’est constituée le point de ralliement de cette synergie martiale, car les capitaux et les décideurs politiques de l’Ouest y sont présents et actifs pour coopérer depuis cet headquarters implanté dans un pays neutre : la Suisse. À l’appui de l’Otan, le WEF agit dans l’ombre martiale de ses moyens financiers et industriels colossaux, dont les apports d’armement et de logistique, puis des communications satellitaires, énergies et carburants. De sorte que le Forum de Davos s’est constitué à l’épicentre névralgique dans cette guerre intestine à l’Est de l’Europe, dont le séparatisme intérieur de cet État slave remonte à avril 2014.
Puisque les informations en France font l’impasse sur cette réalité, rappelons qu’il s’agit de ce côté du vieux continent d’un différend de culture interne depuis le sol d’un pays souverain ; où prétendre venir au secours des Ukrainien relève d’une mystification. Car de quelle Ukraine parle-t-on ? En l’occurrence, venir au secours des uns (des Ukrainiens euromaïdan) ne saurait se comprendre sans combattre les autres (des Ukrainiens russophones). Ce pourquoi la présence géopolitique, voire géostratégique de la Confédération helvétique se pose comme une anomalie en regard de son statut de neutralité. En hébergeant le WEF, la Suisse abrite cette nébuleuse tentaculaire qui fait circuler des armes, des missiles et des satellites-espions depuis les entreprises, et les banques occidentales qui financent, pour alimenter une guerre technologique à l’échelle de la révolution industrielle « 4.0 ». Car il s’agit bien d’y expérimenter des modernités militaires au mépris des vies humaines ; des civils déjà impactés après neuf années de guerre intestine.
Comment faire confiance à cette organisation arachnéenne aux ramifications politico-financières et martiales pour maintenir la paix dans le monde, ou ne pas jeter de l’huile sur le feu au cœur des conflits déjà existants, alors que ces mêmes individus fortunés et puissants, sont producteurs d’équipements de communication, d’artillerie (canon, missiles, roquettes, fusils mitrailleurs etc.) et des arsenaux lourds (marine de guerre, chars d’assaut, avions de combat…). D’autres sont propriétaires des ressources fossiles (pétrole, gaz, terres et métaux rares), entre exploitants de forages et de raffineries. Entre ces consortiums aux chiffres d’affaires souvent supérieur au PIB de nombreux États, et leurs commanditaires politiques quasiment tous regroupés autour du WEF qui leur fournissent la clientèle ; nous y-retrouvons les mêmes qui s’enrichissent de cette manière dans le conflit ukrainien ?



Rappelons que l’Europe, pas plus que la France, n’a rien à voir dans ce conflit, sachant qu’aucun lien politico-diplomatique ne lie notre communauté avec un pacte d’alliance avec l’Ukraine, et que d’autre part les échanges industriels et économico-financiers entre l’Occident européen, et cet État slave oriental en conflit sont quasiment nuls. Ainsi l’Hexagone ne totalisa en 2019 que 1,8 Md d’€ d’affaires commerciales avec l’Ukraine. Autrement dit rien ne justifie ce couloir martial emprunté dans ce pays slave d’Europe orientale, pas même un quelque motif historique pouvant légitimer un protectorat bilatéral, autre que des considérations d’ordre onusien ou humanitaire, comme l’envoie d’émissaires diplomatiques, l’intervention de la Croix-Rouge et l’accueil de réfugiés. Sous couvert du préambule de la Charte des Nations Unis, du respect des souverainetés, de non-agression mutuelle et d’amitié entre les peuples, mais absolument rien ne saurait justifier une ingérence armée des forces de l’Otan en Ukraine, pas plus que de la Russie ; dès lors que la sécurité de ces nations n’est pas menacée (Chapitre VII, article 39 à 51 de ladite Charte).

Le seul alibi vraisemblable qui conduisit cette ingérence de l’Europe dans le nœud de cet antagonisme, n’a d’autre excuse que la volonté de rattachement de l’Ukraine au titre d’État-membre de ce pays à l’UE ; autrement dit un alibi irrecevable vu sous le jour d’une conquête de territoire à la façon des seigneurs féodaux d’antan. Quant aux séparatisme qui se manifeste à l’Est du pays, la question revient unilatéralement à l’option d’un référendum, une vox populi déjà exprimée les 23 et 27 septembre 2022 par les ressortissants du Donbass (les oblasts de Kherson et de Zaporijjia), que la conscience internationale – d’accord ou pas – devrait respecter.

Il en fut ainsi avec les Mahorais de Mayotte qui votèrent le 29 mars 2009 leur rattachement à la France, nonobstant le refus de l’archipel des Comores précédemment opposé par référendum du 22 décembre 1974. De surcroît, la dénégation de l’ONU contre cette initiative d’annexion (résolutions du 21 octobre 1976 et de l’AG du 6 décembre 1994), fut appuyée par les territoires voisins de l’Océan indien et de l’ensemble des États insulaires du Pacifique Sud (Voir p. 74 à 77, « La République en danger » ; aux Éditions Observatoire du Mensonge). L’histoire prendra acte de la légitimité ou non de ces opiniâtretés sécessionnistes, en vertu de la Charte de San Francisco du 26 juin 1945. Cependant, seuls les choix des intéressés sont humainement acceptables en termes de culture, de patrimoine et d’éthique, non les ingérences, pressions et intérêts extérieurs, surtout lorsque ces motivations sont emmenées à des fins politiques, industrielles ou stratégiques.

Ne voyons-nous pas à présent se constituer l’œuvre commune d’une ingérence dans cette partie du monde en fusion, où des sectateurs du WEF, comme Ursula von der Leyen, Emmanuel Macron et d’autres pis-aller outre-Atlantique ainsi Joe Biden, qui soutiennent un chef de guerre corrompu depuis Kiev aux commandes de cette guerre civile ; Volodymyr Zelensky, un pilleur de banque proche de la mafia locale (Voir p. 21 à 29, « L’idéologie néfaste du Président Macron » en bibliographie in fine) ? Ces responsables politiques à l’Ouest parviennent à convaincre leurs propres électeurs de leur prétendue légitimité dans une guerre intestine, où les armes et munitions livrées ne peuvent inférer que des métastases fratricides dans les populations encore gangrénées par le cancer de l’histoire soviétique.

Sur ce registre, rappelons que le WEF n’occupe pas une place légitime dans ce couloir plénipotentiaire douteux, car il enferme sans aucun doute tous les ingrédients industriels et financiers pour s’enrichir aux dépends des civils en Ukraine, lesquels se font déjà massacrer depuis près d’une décennie par leurs concitoyens euromaïdan. l’Union européenne et les États-Unis, tous des génuflecteurs de la secte WEF, y participent activement depuis l’entrée de la Russie le 24 février 2022 sur ledit territoire voisin. Quant aux actions caritatives, sanitaires et de sécurisation pacifique aux frontières, seules les Organisation non gouvernementales (ONG) y auraient un rôle légitime, sous le bénéfice des instances internationales donatrices et pourvoyeuses de soulagements.

Ce pourquoi les fondations et autres partenaires affidés au WEF, lesquels ne sont même pas implicitement autorisées par les Nations Unies dans une opération d’interposition, sont tous indistinctement assujetties aux règles coutumières du droit international humanitaire, lesquelles enferment 161 dispositions ayant vocation de protéger autant les forces belligérantes que les intervenants, mais non d’y faire la guerre et encore moins d’y activer des tisonniers hégémonistes ou suprématistes. En quoi le WEF se permet-il, et sous quelque mandat informel de l’UE et/ou de l’Otan, pour se substituer à l’ONU ? Quel mandat onusien, autre que les encouragements des fabricants et trafiquants d’armes, autorise les membres de l’Otan à livrer des armes via ses adhérents étatiques, à grand renfort d’exhortations partisanes au sein de son Forum, dans une guerre entre États ? Pourquoi l’Ukraine sert-elle de champ de tir entre les rivalités de l’Otan et de la Russie ?

Comment confier la paix dans le monde à des fournisseurs d’armes sous le manteau du WEF, là où la diplomatie de cette secte est en lien direct avec des corrompus politiques impliqués, car eux-mêmes engagés dans l’idéologie de ladite secte ? Cette présentation de l’avenir avec cette secte, grimée en Fondation, se confond à un scénario catastrophe, mais une direction pétrifiante qu’acheminent visiblement les évènements d’actualité qui s’orientent irrésistiblement vers l’axe fédérateur du WEF. Le pré carré de ces gens de pouvoir et d’avoir s’élargit à bon nombre de fortunes et d’oligarques du monde occidental, puisque tous s’en enrichissent. Une sorte de pôle d’attraction semble réunir, dans une accélération concentrique, une poignée de crésus et de chefs d’États qui voudraient prédestiner le monde à leur seule avidité.

Pourquoi la Suisse tolère-t-elle une telle activité martiale sur son territoire ? Doit-on comprendre que la plus belle institution politique du monde, avec son principe de subsidiarité et de l’organisation du dialogue et de l’intelligence sociale (Unus pro omnibus, omnes pro uno), celle qui a instauré une démocratie directe et/ou participative, qu’elle se laissera ainsi, et sans réagir, annihiler par la corruption et l’autoritarisme ? Les antagonismes idéologiques autour d’une secte mondialiste, la cupidité des prédateurs industriels et financiers, puis la violence de la guerre auront-ils raison de l’âme pacifiste et du cœur démocratique de cet État fédéral planté à l’épicentre historique et géographique de la civilisation judéo-chrétienne de l’Europe ?

À propos de la Suisse, si cet État à l’épicentre de l’Europe prétend vouloir conserver sa neutralité internationale, ce pays aurait intérêt à déloger cette organisation sectaire, laquelle ne fonctionne qu’entre l’avoir et le pouvoir, qui arbore sur son territoire des instructions guerrières, en se portant partisan du côté de l’Alliance Atlantique. En abritant des représentants de pays comme les États-Unis et la France, principaux apporteurs d’armements lourds et autres émissaires pro-occidentalistes, dont Ursula von der Leyen* pour l’UE ; tous pourvoyeurs d’arsenaux militaires pour perpétrer une guerre sur un pays étranger, la Suisse y perd son rang de Nation non belligérante, un peu comme si Berne hébergeait une base de l’Otan !

*Sauf que Jeanne d’Arc combattait l’ennemi dans le Royaume de France et non pour se constituer un empire jusqu’aux frontières de la Mère Russie.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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Suite et fin


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2 commentaires

  1. Décidément ce monde ne tourne plus rond ! Maintenant le mondialisme a supplanté l’homme pour son plus grand malheur.

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