De terrifiantes réalités 6


qui ne sont ni fiction ni complotisme

Par Daniel Desurvire



De terrifiantes réalités
qui ne sont ni fiction ni complotisme

Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité

Passé ce long cheminement alambiqué et phénoménal, dont l’apparition et la multiplication de la biologie sur notre macrocosme ne tient qu’au miracle, pourquoi laisser faire quelques individus élus et immensément riches, avec leurs élites scientifiques, qui n’œuvrent que pour leur célébrité, l’argent et le pouvoir. Leurs projets ont pour résultat d’anéantir ce maigre espoir de pérenniser la vie et l’intelligence génétique de notre patrimoine humain, cela pour mieux s’enrichir et se glorifier durant leur petit espace de vie. Pourtant, leur existence, aussi égoïste que pathétique car dénuée d’empathie et de compassion, n’est retenue que dans le commun d’une biologie mortelle, laquelle ne vaut pas davantage qu’une autre, en regard du foisonnement vivant de Dame nature.

Ces fines fleurs qui émergent des limbes de la société ordinaire, abritées dans le luxe de leur tour d’ivoire, lesquelles se prétendent progressistes, ne font que régresser la qualité de vie autour d’eux, à l’ombre de leur luminescence vertigineuse et d’exubérance pléthorique de biens. Or la loi du plus riche s’estompe inévitablement un jour venu, car tant d’opulence ne sauraient être consommés et profiter en un seul espace de vie, et pas davantage être récupéré de l’autre côté s’il en est. Le seul jeu qui les anime consiste à amasser et dominer toujours plus pour se hisser au sommet de la pyramide des Crésus et des empereurs. 1 % des plus fortunés ont capté 63 % des richesses produites dans le monde (Source Oxfam, 2020). Ce n’est ni un sermon, ni un appel à la lutte des classes, mais une triste réalité.


Ceux-là même qui ambitionnent, pour le genre humain en Europe, un mondialisme tricoté sur un canevas capitaliste, mais sur fond de collectivisme à la mode chinoise, ne font que laminer l’héritage de chacune des sociétés originelles chargées d’histoire et de culture ; berceau de l’une des civilisations les plus évoluées. Or, ces communautés, démocratiques et souveraines qui ont conquis assez durement leur liberté, fédèrent ensemble un patrimoine commun, des acquis individuels uniques et un savoir local original, dont la cohérence virtuelle et culturelle participe de la richesse de ce monde. Mais ces avancées à la conquête des meilleures démocraties tendent désormais à basculer à la faveur de quelques nababs et puissants individus, qui se voudraient plastronner à la tête d’un empire ! Nonobstant, le genre humain n’est pas fait pour rompre avec son indépendance et ses différences, à peine d’y perdre son âme et sa conscience.

La marque existentielle la plus courue pour chacun, c’est d’être identifié, reconnu ou discernable, sinon perceptible depuis une communauté. Or dans un système collectiviste, on ne remarque pas un seul maillon d’une chaîne, car seul le tout indissociable importe. Alors que c’est le collier qui assemble les maillons que sont chaque individu, comprenons que tout un chacun se fait indispensable pour constituer cet ensemble. Par cette allégorie, la démocratie, où l’individu est important puisque solidaire des autres, incarne une part essentielle au cœur d’une société finie. Mais la parabole ne s’arrête pas là, car imaginons les perles d’un collier se disperser en se fracturant.

C’est alors l’anarchie qui s’installe, où chaque bille de nacre roule n’importe où. De surcroît, la dislocation de celles-ci ne saurait se réassembler dans une logique globaliste – mondialiste ou collectiviste – en ignorant le particularisme de chaque individu, nonobstant indissociable de l’ensemble. La démocratie semble donc la seule issue puisqu’il faut d’abord reconnaître que c’est le Peuple qui instaure un ordre, chacun des citoyens devenant indispensable à ce tout, qui à défaut ne serait rien. Une gestion politique sans droit à la personne ne suffit donc pas pour constituer une société solide et durable, où l’homogénéité et l’absence de spécificité ou d’originalité remarquable et distincte ne peut que faire sombrer ce type de régime, comme il en fut avec tous les empires de l’histoire.

Pour ne pas sombrer dans cette défaillance où s’installe le désordre, l’entropie sociétale ou l’acratie politique, faut-il encore qu’un phénomène fractal s’organise par atavisme, tel un génome qui se reconstituera à partir de son modèle endémique depuis une cellule souche. Sur un plan social, la souche serait le fruit d’une révolution achevée. Mais comme une révolution au sens étymologique se comprend en un tour complet pour revenir à la case départ, évoquons plutôt le modèle d’un changement, bien entendu sur une trame démocratique. Par cette figure, il apparaît clairement que rien ne doit rester figé, même si l’histoire est pétrifiée de dates et de noms. Mais c’est précisément le cours de l’histoire, le paradoxe d’une fixité qui imprime un mouvement, une cinétique qui laisse sa trace dans les mémoires pour ne pas reproduire les mêmes erreurs et crimes.

Alors ne laissons pas le dogme mondialiste d’une secte dangereuse, la World Economic Forum et ses groupies comme Ursula von der Leyen, Joe Biden ou Emmanuel Macron, tous retenus par la ceinture par une conjuration de multimilliardaires, ramener notre civilisation à une seule entité globale. Un empire collectiviste ou mondialiste ferait de nous une ruche d’insectes sociaux, serviles et anonymes, avec le risque d’une résurgence de conflagrations, puis de la perte de nos droits et de nos valeurs au nom de quelques puissants et infatués qui détiennent l’avoir et le pouvoir. Entre guerre de territoire ou guerre de civilisation, seule la démocratie peut encore nous éviter le pire.

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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3 commentaires

  1. Avec Macron, c’est le showbizz qui a pris le pouvoir et peu importe les réalités que vivent au quotidien les Français et cela ne pourra qu’empirer. 

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  2. Vous écrivez à juste titre « Alors ne laissons pas le dogme mondialiste d’une secte dangereuse, la World Economic Forum et ses groupies comme Ursula von der Leyen, Joe Biden ou Emmanuel Macron… » Mais pourtant c’est bien ce qui se passe ici et ailleurs depuis tant d’années.

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  3. Macron ne gouverne plus rien, il cherche juste à masquer son incompétence par des stratagèmes idéologiques foireux.

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