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La roue tourne, et ceux qui étaient hier les maîtres, deviendront petit à petit des égaux avant d’être dépassés.
Par Thérèse Zrihen-Dvir
OBAMA – LA FRUSTRATION RACIALE
Il a fallu que le monde moderne passe à l’action et qu’il s’octroie le privilège de corriger la Création dans toutes ses formes.
Il a fallu que le blanc cesse de faire du noir un esclave qu’il avait importé d’Afrique… ce qui au bout d’un certain temps, contraignit les grandes puissances blanches à abolir l’esclavage et à fendre le tissu habituel de leur race. Fente qui en réclamerait d’autres avec le soutien de tous ceux qui voyaient en cet aspect une monstruosité. Et c’en était une en vérité surtout d’un point de vue objectif et naturel, puisque ces noirs avaient été déplacés de force. Ces noirs tant bien que mal, s’étaient intégrés en dépit du racisme violent dont ils étaient l’objet avant d’accéder à leur complète assimilation dans la société des blancs. La roue tourne, et ceux qui étaient hier les maîtres, deviendront petit à petit des égaux avant d’être dépassés.
Hitler, qui lui aussi avait ses lubies, rêvait d’un monde où seule prime la race aryenne. Le blanc est toujours le maître dans une Europe accrochée encore à ses heures de gloire, et cela dérange beaucoup d’entre ces races qui ont du mal à l’admettre, à se soumettre à sa merci.
La frustration des autres races hormis celle du noire, réussit sur plusieurs échelons, à se dissoudre et à s’amalgamer. C’est une bête que l’on essaie d’endormir mais qui ronronne dans tous les domaines et surtout dans toutes les revendications judiciaires.
Vint Obama, visiblement contrarié par la suprématie du blanc et sa maîtrise du monde, peu importe si celui-ci lui a accordé la position de président de la plus grande puissance –véritable pied de nez aux blancs- la frustration demeure et il faut poursuivre la réparation desdites erreurs de la Création.
Obama entreprit la tâche inimaginable de cette démolition, en mettant sur les rails la diversité, suivie de près par le multiculturalisme, ensuite vint l’abolition des frontières, du genre, le mariage pour tous, de l’identité, pour culminer avec l’anéantissement du concept nation.
Brusquement tout ce qui nous était familier, ordonné et avalisé, est parti en fumée.
Il faut croire qu’Obama a bien étudié les bons et les mauvais aspects démocratiques qu’il a mis en action pour réussir à détruire ce monde qu’il haït. Car, il faut le dire, il a réussi à saper les assises des USA et de l’Europe entière, qui d’une seule voix l’a suivi aveuglément.
Et le nucléaire iranien ? Oh, il le veut surtout pour prétendument créer un certain équilibre entre l’Occident nucléaire et les pays arabo-musulmans qui traînent encore derrière.
Cela sert aussi ses desseins secrets envers le minuscule État juif qu’il faut absolument détruire… C’est de toute façon une fausse démocratie : Un État Juif ne peut jamais être une démocratie. Il doit d’abord ouvrir ses frontières à toutes les races et toutes les religions… Il le fait mais pas à un niveau qui puisse contenter le monde progressiste, puisqu’il réussit tout de même, à conserver sa suprématie démographique- Le Juif doit disparaître, comme le chrétien…Quant à l’Islam, c’est une autre question. Ne touche pas à mon Islam ! D’ailleurs, les pays musulmans ne sont pas démocratiques, ce qui dans un sens, les préserve de la prolifération néfaste du progressisme, entre autres heurts et malheurs.
Le métissage va bon train et la diversité cause au monde libre bien du tort… mais il faut l’accepter et ne pas interrompre sa course démente.
Le blanc a depuis longtemps renoncé à sa suprématie… Il lutte à l’heure actuelle à demeurer en surface… Les démocraties sont devenues de véritables pots-pourris, saccagées, corrompues, brûlées, violées, l’arbitraire y gagne du terrain… les conflits intestinaux grossissent au point de les mener directement face au risque patent de guerres civiles. Les pays arabo-musulmans ont compris la faiblesse de l’Occident et en font usage pour mieux le maîtriser.
Et puisqu’il n’y a ni loi ni foi, autant se laisser emporter par la dérive, une dérive qui entraînera dans son sillon le monde entier, libre ou pas.
Car, si nous nous référons à cette minuscule expression – notre responsabilité l’un envers l’autre, nous constaterons que nos défaites et nos malheurs se reflètent sur tout notre entourage, qu’il le veuille ou pas.
Les guerres n’ont pour vainqueur que la mort…
Que fera un monde islamique, despotique sans les lumières de l’Occident. Il retournera à l’âge de la pierre ? Non, il tentera de le faire revivre.
Et c’est toujours la même histoire, le même refrain… Coin, coin…
Thérèse Zrihen-Dvir
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