La corruption, une gangrène qui gagne toutes les sphères politiques

Macron s’en va-t-en guerre : il se croit au cinéma 

mais la réalité va le rattraper et tous les Français vont en subir les conséquences…

Par Daniel Desurvire

Un livre sans concession mais tellement réaliste !

Délitement de l’État-Macron et déconfiture de l’UE

Chapitre 7

2°) La corruption, une gangrène qui gagne toutes les sphères politiques

Quant à Emmanuel Macron, les investigations judiciaires en cours font enfin apparaître diverses implications entre des tricheries électorales et des délits de favoritisme, et vraisemblablement aussi de trafics d’influence. Mais ces malveillances ne sont que la partie émergée de l’iceberg en regard de ses mensonges, mystifications et promesses jamais tenues, puis son incompétence caractérisée en termes de gestion du pays ; une carence qui aura placé la France en situation de banqueroute et de pénuries. Au-delà de ses inaptitudes avérées, ses manquements et la gouvernance chaotique du pays, il y a plus grave encore avec les violations constitutionnelles et des lois scélérates qui ont poussé l’Exécutif hors des clous. Nonobstant la ruine nationale dont le pouvoir régalien est manifestement responsable, Sa Seigneurie ne se prive pas de gaspiller l’argent public pour vaquer à ses distractions et hobbies personnels, comme avec son incursion au Qatar pour assister à un match de foot qui eut lieu le 18 décembre 2022, et qui aura coûté au contribuable français ½ million d’euros, rien que pour la seule personne de ce « champion du monde de la gêne », selon l’expression du député Benjamin Lucas.

Pendant ce temps, 9,2 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté ; un taux de misère élevé à15 % de la population nationale (Source : Insee, 2019). Observons au passage que ce chef d’État français aura séché un sommet à Bruxelles entre l’Union européenne et l’Asie du Sud-Est, autrement plus important avec des enjeux économico-financiers incontournable pour le pays, au profit d’une distraction sur les gradins d’un stade. Les gesticulations excitées de cet énergumène censé représenter la France, fit la part belle de son homologue allemand, le Chancelier Olaf Scholz, lequel se sera taillé la part du lion au profit des intérêts germaniques, aux dépends de la France représentée par ce dernier abandonnée dans sa déconfiture présidentielle. Quid du Premier ministre, du ministre des Affaires étrangères, voire de l’ensemble du Gouvernement tous remisés au placard car non sollicité pour cette mission internationale, dans le mépris souverain d’un autocrate qui préfère les cabinets privés comme McKinsey lourdement rémunérés sur le dos des citoyens contribuables, plutôt que de faire appel aux représentants de l’Exécutif français à sa disposition ?

Pour se plaindre de sa prétendue faillite gouvernementale, ce pensionnaire de l’Élysée pleurnicha au micro du journaliste Mohamed Bouhafsi début décembre 2022, être « … en train de faire le travail de tous les ministres et du Premier ministre » ! Or, cet avatar des régimes absolutistes, entre oligarchie et kleptocratie, avoua imprudemment gérer la France comme un despote à s’en rendre malade, se faisant passer pour unevictime d’un prétendu burn-out. Plus vraisemblablement gagné par le syndrome borderline, que complique sa névrose mégalomaniaque et narcissique, cet immature confia être plongé dans une « très grave dépression » comme en mars 2019, subornant les Français sur la faillite de ses compétences à chaque créneau de ses responsabilités. Sans doute la France depuis 2017 à ce jour, selon les données incontestables des indicateurs indépendants internationaux, est frappée de fiascos et de banqueroute à tous les étages de ses attributions. Au résultat, son incurie est globale, avec un surendettement public jamais atteint dans l’histoire, un chômage et un PIB en déroute, une inflation galopante, des faillites en cascade et une baisse vertigineuse du pouvoir d’achat, puis enfin l’ensemble des secteurs sociaux, sanitaire en voie de désintégration.

Nonobstant ce désastre consommé, ce chef d’État français gratte chaque sou vaillant au fond de la cale sèche du bateau de Bercy pour financer l’immigration islamique, participer à l’hécatombe de civiles dans son uchronie ludique en Ukraine, comme après avoir épuisé près de mille M^ds d’€ pour partir en guéguerre contre un virion de 0,07 à 0,14 micron de diamètre. Au bout du compte, une débâcle sanitaire génère encore davantage de victimes ; non pas des cohortes de virus et de mutants Covid toujours indemnes et actifs, mais de citoyens vaccinés par cette prétendue prophylaxie à répétition pathogène et létale. Imperturbable devant ses échecs à répétition, l’hurluberlu – par empreint de son propre langage – se comporte à la façon du ridicule Empereur africain Jean-Bedel Bokassa, lequel se faisait transporter en chaise à porteur ou en Rolls-Royce.

Ainsi fut-il remarqué que le sieur Macron se déplace avec foule et cérémonie dans les espaces éthérés à l’aide de deux jets chargés de ses groupies, ou qu’il circule sur route dans un convoi de dizaines de voitures et de bus. Ces mascarades consistent à s’assurer un parterre d’adulateurs devant les caméras, avec la mise en scène des acclamations de ses fans ; des recrues stipendiées pour un casting propagandiste. Depuis les observateurs étrangers, le coût exorbitant de ces fantasmes présidentiels dans une France délabrée fait surgir le cliché d’une république bananière, en retenant que la corruption se traduit ici par le pillage systématique des deniers de la France. Pour ce faire, l’État-Macron se dédouane derrière un budget imparti à l’Élysée, comme de se rendre au Qatar dans une arène où se jouerait le destin de la Nation, entre baballe et tocade olympienne ! Mais qu’importe, les fonds élyséens sont systématiquement regarnis par les deniers votés en LOLF à destination des 17 ministères, cependant spoliés à chaque caprice ou vaticination jaillissant depuis le 55 rue du Faubourg Saint-Honoré.

De son côté, Ursula von der Leyen se présente comme la pourfendeuse de la corruption, à l’instar de son protégé Volodymyr Zelensky qui avait bâti en 2018/2019 sa campagne en Ukraine sur ce registre, alors que ce saltimbanque commença par piller les fonds d’une banque de son pays). La pratique pour se blanchir de telles imputations de malhonnêteté en politique, consiste à battre pavillon contre les dérives crapuleuses, alors que le donneur de leçon se comporte comme le pire des malfaiteurs. Ces félons parviennent ainsi à convaincre leurs électeurs de leur prétendue probité, tout en pratiquant à leur aise bien des formes de corruption que sont, à l’instar de la Présidente de la Commission européenne, les concussions, les abus de pouvoir et le népotisme, avec au bout les conflits d’intérêts et le trafic d’influence. À l’échelle de l’UE, cette corruption fut évaluée en 2009 à ± 1 000 M^ds d’€ par an.

Les liaisons glauques et dangereuses entre le corps politique de l’UE et les industriels fournisseurs de masques, de tests et de vaccins durant la crise de Covid, ont contribué à enrichir, dans l’ombre d’une urgence mondiale fomentée, les élus nationaux selon Transparency International. Cette pandémie alimente la corruption dans toute l’Union, mais avec de solides ramifications au sein des dirigeants que sont les personnels politiques en tête de liste, puis des fonctionnaires stipendiés chargés des marchés publics, puis enfin une partie du corps médical vaccinant, commissionnée par les premiers. 6 % des personnes interrogées déclarent avoir versé des pots-de-vin ou joué de leurs relations personnelles pour accéder aux soins médicaux dans l’Union, outre les dépassements d’honoraires, selon un sondage réalisé par l’ONG susvisée. Dans une fourchette plus large des prospects du sondage, 81 à 83 % des citoyens de l’UE considèrent que la corruption gangrène les institutions et la finance des États membres (Source : Tendances Trends).

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« Tricher mais ne pas se faire prendre » ; telle est la devise des malfrats en politique, mais un jeu qui ne réussit pas à tout ce petit monde lorsqu’ils se font pincer en flagrant délit. Pour d’autres, les procédures et les indiscrétions leur laissent le temps de préparer le terrain, d’effacer les preuves compromettantes avant une perquisition parfois longtemps anticipée à la faveur des médias et des taupes qui violent le secret d’une instruction. Tant pis pour les imprudents qui se font alpaguer, mais la plupart sont relaxés parce que responsables mais non coupables, avec une possible reconversion afin de se faire oublier, voire parfois revenir aux affaires une fois cette période trouble de leur existence évaporée des mémoires. Ainsi en fut-il avec de nombreux politiciens comme Alain Juppé, Laurent Fabius, Nicolas Sarkozy… Ceux-là bénéficient dans l’ombre d’une protection discrète, que renforce les avoirs dissimulés depuis les comptes numérotés de sociétés extraterritoriales. Les vieilles complicités sont là pour couvrir d’éventuelles fuites, dénonciations et délits d’initié en Bourse comme en politique. Il s’agit de ne pas gripper la machine à corruption, afin qu’elle continue à fonctionner pour nombre des élus véreux qui ne se font jamais prendre car solidaires entre eux !

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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Sommaire
1°) Il n’y a pas de relent complotiste à pressentir le collectivisme dans l’idéation mondialiste
2°) La corruption, une gangrène qui gagne toutes les sphères politiques
3°) Une intrigue manichéenne où l’emprise chtonienne du pouvoir et de l’avoir l’emporte sur la morale et l’honneur
4°) Telle une razzia de barbares, la macronie, en selle sur la secte WEF, se fait le chancre de la dégénérescence des valeurs de France.

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