Et la laïcité ? Bordel !!! #16


La laïcité est vraiment en danger : mais les Français ne semblent pas s’en rendre compte. La réalité va les rattraper.

Et la laïcité ? Bordel !!!

Par Daniel Desurvire

Chapitre 16

Le combat et de la répression ne seraient que justice, selon les lois d’Allah, pour préserver l’unicité de l’Islam contre l’idolâtrie, puis débusquer le paganisme (Ash-Shirk) et l’anéantir. La miséricorde, plastronnée en tête de chaque sourate, ne serait que le piège d’une purification ethnocidaire (l’Islam répandu par le sabre [LVIII.25]), pour qu’il ne subsiste plus d’association et que l’Islam ne devienne qu’un seul culte mondial, celui d’Allah soubhanahou oua ta’ala ! Faire preuve de miséricorde est un principe qui ne s’accorde qu’aux autres et non entre Musulmans, car ce serait se répandre en thuriféraires envers les impurs contre qui l’Islam demeure, par ses commandements, en guerre éternelle. Entre la Mecque de l’Hégire et Médine la revêche qui renforça l’âpreté du Verbe musulman, le chemin de l’intransigeance, pratiqué par Muhammad, ne fut jamais pavé de bonnes intentions !

L’Islam ne peut pas être une confession au sens commun où l’entendent les civilisations judéo-chrétiennes, tantriques et amérindiennes. Le dogme mahométan personnifie la conflagration généralisée jusqu’à l’extermination du dernier non-musulman. Cette prétendue religion s’apparente donc davantage à un manuel de combat, insulte l’intelligence et s’oppose à toute morale acceptable. Son inhumanité, son absence d’émotion, son irrespect des différences et des genres placent le Coran au pinacle de l’ignominie ; la pire des littératures de tous les temps. Mais de cela, le monde occidental persiste à l’ignorer. Pourquoi ? Est-ce l’immigration, les émeutes insurrectionnelles des cités arabophones et le terrorisme qui en découle qui affaiblissent le sens du discernement, ou les intérêts économiques qui font oublier les tensions géostratégiques devant la dépendance de l’Europe sous le joug khalifien du chantage arabo-pétrolier ?

Le Coran, tel un agent pathogène, agit comme une bactérie létale dans toute société infectée par les électrons sectaires de ce culte, dont les stéréotypes, aux intentions aléatoires donc imprévisibles, agissent à la façon de bombes à fragmentation. En usurpant la dénomination de religion, l’Islam a réussi depuis des lustres, à endormir la méfiance de l’humanité. En usurpant la qualité de Messager d’un dieu, le guerrier Muhammad s’est facilité le rôle de sergent recruteur, bravant les lois naturelles et la morale, dès lors qu’elles ne servent pas l’Islam. En discriminant tous les non-musulmans, ce fut l’intransigeance, la violence et le crime qui prirent place dans le mental des croyants extrémistes ; ce culte réussissant à corrompre tout ce qui peut y avoir de bon dans l’homme, comme l’acceptation de la complémentarité, de l’osmose, de l’égalité homme-femme et de la liberté de conscience.

L’inhumanité des séides du Prophète est à la mesure des bombes qui explosent partout dans le monde depuis le milieu du siècle dernier, cela à un rythme ininterrompu depuis les séditions islamiques qui œuvrent pour la destruction des acquis de l’Occident, mais qui gangrène concomitamment le corps même de l’Islam par ses divisions dogmatiques internes et sectaires. Les Musulmans ordinaires, parce qu’ils sont nés musulmans, ne prennent pas la mesure de cette réalité, soit parce qu’ils supposent qu’ils croient en un dieu comme tous les autres dans une normalité que soutient la liberté du culte, soit parce que, la peur au ventre, ils préfèrent taire à eux-mêmes cette destinée qui les a vu naître et qui les poursuit.

Cessons de laisser se propager la probabilité d’une tolérance islamique, alors même qu’il n’y a rien de négociable dans la parole du démiurge musulman, que les Écritures du Prophète seraient immuables, inimitables et intraduisibles pour le profane. Il est clairement consigné dans les versets coraniques et de multiples fois, que le kāfir (l’athée ou celui qui a foi en un autre culte) doit être asservi, enchaîné, tyrannisé, pourchassé partout, y compris expulsé de chez lui, de préférence physiquement éliminé à cause de ses idées contraires aux paroles de leur Prophète. Faire le mal et annihiler l’intelligence semble le propre de l’Islam fondamentaliste, obscurantiste et dégénérescent.

À suivre

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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Un commentaire

  1. C’est passionnant de vous lire, Monsieur Desurvire, et chaque semaine, j’attends avec impatience votre article. Merci!

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