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L’État-Macron, chancre des fake news et du hacking #4
Par Daniel Desurvire
Chapitre 4
La liberté de la presse, le droit d’expression et le droit à une vie privée ont vécu. De 2015 (Loi n° 2015-912 du 24 juillet 2015 relative au renseignement) à ce jour (Loi n° 2021-646 pour une sécurité globale du 25 mai 2021), il ne reste plus rien de la loi du 29 juillet 1881. Après l’effacement constitutionnel de la loi dite Avia du 24 juin 2020, l’obstiné et enragé Emmanuel Macron, qui refuse tout débat contradictoire, aura réussi à se créer pour lui-même, outre l’AFP et le groupe Hachette, des oligopoles entièrement à sa botte, une super-autorité publique indépendante (API) en dotant le CSA de méga pouvoirs à l’aide de la loi organique n° 2021-1381 du 25 octobre 2021 créant une autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique. L’administration de Bercy ayant également été dotée de moyens inquisitoriaux renforcés par le décret n° 2021-148 du 11 février 2021, lequel remise au placard la CNIL, plus rien à ce jour ne peut échapper à l’œil électronique scrutateur, indiscret et interventionniste de l’État-Macron.
Si nous triangulons l’esprit du mensonge, nous y trouvons les ingrédients suivants : la désinformation, l’omertà et l’intoxication. Voyons-là le principe phare que retiennent les analystes des pratiques sectaires, ou les adeptes, qu’ils soient disciples spirituels ou électeurs convaincus. Lavé, rincés puis essorés, bien des citoyens ne parviennent pas encore à convenir de cette réalité, où le locataire du 55 rue du Faubourg Saint-Honoré aura au moins réussi cet exploit : celui d’endetter la France de 2 477,6 milliards d’euros en y comptant 68,1 Mds d’€ du second trimestre 2021. Autrement dit, chaque foyer fiscal, parmi les 39,3 millions recensés en 2017, se voit désormais dans l’obligation de devoir rembourser 63 000 €. En hypothéquant ainsi les revenus et la vie de ses concitoyens, cet élu ne se contentera pas de ponctionner les comptes bancaires, sinon de vider les avoirs des contribuables (assurance-vie et autres économies ou placements), puis encore de convertir en débiteur chaque bébé français à naître sur au moins deux générations.
2°) Le leitmotiv de l’État-Macron : vacciner, revacciner et re-révacciner…
Pourtant, de nombreux Français persistent encore à croire que cet avatar des élections 2017 serait un ange qui aurait sauvé les citoyens de la Covid, par son courage. Quel courage ?
– Celui d’avoir sacrifié au Rivotril nos ainés dans les Ehpad après avoir confisqué des milliers de lits dans les hôpitaux qui ne pouvaient plus les recevoir (Euthanasie ou sédation du pareil au même) ?
– Celui d’avoir fait trafiquer les certificats de décès de nos séniors entre autres, dans le seul but de majorer de plus de trois fois le nombre réel de décès par le virus susvisé, et par l’effroi répandu, d’inciter ainsi le plus grand nombre de citoyens à s’exposer à une vaccination de tous les dangers, jusqu’à même projeter de piquet nos enfants… en pourquoi, devant un tel acharnement qui confine à la folie, le fœtus à travers le ventre des mères ?
– Celui d’avoir complètement annulé tous les principes de précaution tels qu’ils existent dans le Code de la Santé publique, en décrétant onze dérogations à l’autorisation de mise sur le marché des vaccins dit anti-Covid ?
– Celui d’avoir contribué à tuer, via lesdits vaccins, 20 525 personnes vaccinées et d’endommager gravement la santé de 1 960 607 de celles-ci depuis le début de la crise à fin juillet 2021 (Sources : EudraVigilance / European Medecines Agency ; Health Impact News sous la plume de Brian Shilhavy).
Ici, il ne saurait s’agir d’une fausse information, puisqu’elle émane directement d’une institution sous l’égide de la Communauté européenne. En échange, l’Exécutif français persiste à nier ces mortalités et ces accidents graves provoqués par ces vaccins, sachant que le recensement de cette hécatombe post-vaccinale dans l’Union ne compte que des cas dument avérés en milieu hospitalier, donc formellement diagnostiqués dans un court intervalle. Il en résulte un comptage de ces accidents qu’il serait raisonnable de démultiplier car non immédiatement associé audit vaccin, eu égard à la mauvaise foi des corps politiques, pour lesquels la santé de leurs électeurs passe après la santé de leur portefeuille… qui se garni au rythme des vaccins depuis les paradis fiscaux insulaires. D’ailleurs, quel autre motif pourrait expliquer cette obstination à vouloir piquer les gens avec des vaccins pourtant jugés inefficaces par le corps médical non stipendié, a fortiori devant les mutations de ce coronavirus, alors même que ces « mutants » ne sont guère mortels ?
Outre-Manche, le gouvernement britannique dissimula une étude scientifique produite par l’Organisme de surveillance des statistiques du Royaume-Uni (Office of Statistics Reguation [TOSR]), par laquelle il est avéré que les vaccins anti-Covid-19 ont augmenté la mortalité, toutes causes confondues de 15 %, précisant que nul ne meurt directement du Covid, mais de maladies opportunistes, comme il en va du Sida et autres affections dues à un dérèglement du système immunitaire. Les personnes vaccinées pourraient développer ce syndrome d’immunodéficience acquis. Après examens cliniques et statistiques, il apparaît clairement que ce sont essentiellement les rappels qui provoquent un affolement des anticorps, induisant des sujets immunodéprimés, alors que les porteurs sains ou infectés asymptomatiques disposent d’un barrage naturel immun qui peut sauter dès le premier vaccin anti-Covid imposé pour l’obtention du passe sanitaire. D’ailleurs, s’agissant de la prévention contre les attaques virales, vaccine-t-on habituellement deux fois à la suite contre l’influenza (la grippe hivernale A et B) ?
Mais le profit n’est guère conciliable avec les objectifs financiers chez les gens de pouvoir, plus proches du Big Pharma que motivés par la santé de leurs électeurs. Tandis qu’Olivier Véran, ministre de la Santé, osa annoncer que 8 personnes hospitalisées sur 10 sont des personnes non-vaccinées (9 sur 10 aura surenchéri Emmanuel Macron), la réalité est tout autre vue sous l’angle non anamorphosé de la réalité statistique des organismes de tutelle et de veille sanitaire des établissements de santé (la Direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins [DHOS], la banque de donnée hospitalière de France [BDHF] et l’observatoire régional auprès des ARH). De fait, ceux-là s’entendent plutôt autour d’un pourcentage de 60 % de la population de vaccinés contre la Covid qui hantent les couloirs d’hôpitaux. Pour l’Exécutif, le mensonge semble servir davantage la propagande électoraliste du Président-candidat que les citoyens-électeurs pour lesquels l’accès à la vérité leur sont interdit.
Sans essais cliniques, sans AMM, sans recul ni rapport scientifique et d’un minimum de randomisation, le Big Pharma aura réussi à engranger des milliers de milliards d’euros ou de dollars, tout en préservant leur responsabilité contre les risques post-vaccinaux par des clauses arbitrales – certes léonines – contresignées par leurs commanditaires politiques. La complicité de chefs d’États irresponsables, sous l’égide des promoteurs d’un ordre nouveau installé en Confédération helvétique à Davos (World Economic Forum), s’augmente de médecins vendus à coup de 500 € la vacation de 4 heures en centre vaccinal. Quant aux élus de toutes les sensibilités, de fonctionnaires des ARS et des ministères pour la plupart rattrapés par la prévarication, ceux-là n’auront pas hésité à sacrifier une partie de leurs concitoyens devenus des cobayes à leur insu. Entre l’avoir et le pouvoir, le profit des commissions occultes faramineuses et/ou l’accession à de hautes responsabilités politiques, moyennant un silence complice, ce système pervers se perpétue à la faveur de cette vaste conjuration génocidaire, où fleurissent des comptes numérotés que leur offrent les sociétés extraterritoriales, alimentées par l’industrie pharmaceutique et ses sponsors financiers.
À suivre
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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