Nous vivons dans un monde horrible où il est de bon ton de tuer l’autre.
“Celui qui soutient sa folie par le meurtre, est un fanatique.” Voltaire
Les assassins sont parmi nous.
Par Henri de Gramond
Nous vivons dans un monde horrible où il est de bon ton de tuer l’autre.
Ainsi une religion en guerre contre l’Occident commet des meurtres ici et là au nom de son Dieu et de ses principes.
Nous, aveuglés par notre repentance et ce besoin de pardon qui est propre à notre civilisation judéo-chrétienne, nous avons laissé s’installer cette situation dramatique.
Les tueurs tuent sans aucune distinction d’âge et d’origine. Ils n’ont pas ce besoin d’être excusés ou pardonnés.
Notre société malade agonise dans de multiples bains de sang que l’on fait mine de redécouvrir à chaque fois.
L’histoire hélas nous rappelle que les premiers attentats ne datent ni d’aujourd’hui ni d’hier mais de bien plus longtemps : en France cela a commencé avec l’attentat à la grenade au Drugstore Saint-germain à Paris, le 15 septembre 1974, Cliquez ICI pour voir la vidéo.
Comme il es difficile pour notre caste politico-médiatique d’accepter la réalité des faits : c’est bien une religion, l’islam, qui est en guerre contre l’Occident qui symbolise les mécréants à éradiquer.
A chaque fois le mirage du bien vivre ensemble perdure.
Comme je l’avais déjà écrit à propos du conflit israélo-arabe, pour faire la paix, il faut que les deux camps la veuillent réellement. Il arrive même un moment où les torts et les griefs doivent s’effacer pour cela.
Dès lors qu’un des deux camps ne veut rien entendre, la paix n’est pas une option.
Curieusement ce problème vécu au Moyen-orient par Israël, dont le voisin arabe ne veut pas entendre parler de paix, se reproduit en Occident maintenant.
Ce qui m’a fait dire il y a quelques années que les attentats, monnaie courante au Moyen-orient, notamment en Irak, en Egypte, en Israël, en Syrie et au Liban, risquaient fort de devenir notre lit quotidien. Il existe un réel danger de banalisation en ce cas.
Je n’ai pu que constater que nous sommes arrivés à ce stade ultime.
La banalisation signifie deux choses : les terroristes ont gagné et notre société est morte parce qu’il ne faut pas imaginer que l’un puisse aller sans l’autre. C’est une utopie dangereuse de plus.
Nous ne pouvons pas combattre le crime organisé avec des discours et encore moins avec des commémorations ou des drapeaux en berne.
Je pense au contraire que notre drapeau doit flotter fièrement aux vents signifiant : nous sommes toujours là debout!
Je sais que cela n’est pas simple dans un pays comme la France où les cerveaux sont endormis depuis si longtemps mais il n’y qu’une alternative : combattre ou disparaître. dans un cruel asservissement mental, sociétal et religieux.
J’invite nos parlementaires et autres élus, les médias aussi à voir et à écouter Marion Le Pen, même si je ne suis pas de son parti, parce qu’elle dit haut et fort cette vérité sur ce sujet tellement dramatique:
Enfin une élue de la République qui n’utilise pas la traditionnelle langue de bois.
La vidéo du courage
Nous ne gagnerons pas cette guerre avec la politique actuelle qui ne lui est absolument pas adaptée. Les gouvernements depuis 1974 ont refusé obstinément de reconnaître les faits. Professionnellement, ils se sont les uns après les autres discrédités. Ils ont été comme on dit à côté de la plaque. Le peuple ne s’y trompe pas qui maintenant conspue les responsables politiques au pouvoir.
Maintenant que cette politique de l’autruche a échoué, soit ils changent soit ils partent et ce qui est vrai pour eux, les socialistes au pouvoir, est aussi vrai pour tous les autres.
La cause est nationale, prioritaire et il faut agir sans tergiverser et sans faiblesse.
Prendre le problème comme il est et tant pis si cela doit affecter certains, plus dans l’esprit collabo que dans celui de la résistance.
Le moment n’est pas aux tables rondes et aux réunions.
Le moment est à l’action.
Parce que Les assassins sont parmi nous.
Henri de Gramond
*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE n’engageant que son auteur***
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